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Il était une fois l’haltérophilie… féminin
Jusqu’au 17 septembre se disputent les Mondiaux d’haltérophilie en Arabie saoudite, c’est le moment de rappeler que le monde du muscle a eu bien du mal à accepter les femmes robustes et puissantes.
Petite histoire de ces « phénomènes » qu’on a fini par prendre au sérieux.
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Charlotte Yven : « Les courses au large, ça te transforme. »
Après avoir remporté la Transat Paprec, disputée en équipage mixte pour la première fois, elle vient de s’élancer pour sa 3e Solitaire du Figaro.
Navigatrice professionnelle, membre du programme Skipper Macif, Charlotte Yven espère que son exemple ouvrira la voie à d’autres femmes, trop rares au départ des courses au large.
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Guillaume Vallet : « À travers le muscle, on affirme que les hommes sont supérieurs aux femmes. »
Il est l’auteur de « La fabrique du muscle ». Dans cet essai passionnant, Guillaume Vallet, ce professeur en sciences économiques à l’Université Grenoble-Alpes, également bodybuilder, interroge notre rapport au corps en le mettant en perspective avec le système économique qui gouverne nos sociétés.
Rencontre éclairante.
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Alice Finot : « Les jalousies, la prise de risque, ont été des moteurs de ma performance en athlétisme. »
Elle est l’une des seules athlètes françaises à avoir bien figuré aux Mondiaux de Budapest disputés fin août. Alice Finot, 32 ans, 5e du 3000m steeple en Hongrie, record de France et minima olympiques en poche, peut désormais se tourner sereinement vers Paris 2024.
Rencontre avec une fille venue à l’athlétisme par hasard et qui se joue des obstacles.
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Valérie Domain : « Le female gaze est un contre-pouvoir aisément transposable dans le sport. »
« Apporter un vent nouveau dans la narration, écouter, lire, s’intéresser à d’autres types d’histoires, découvrir des vécus différents des hommes, le monde du sport en a besoin pour faire évoluer l’image stéréotypée de la sportive et, plus largement, de la femme. »
C’est la nouvelle chronique de la fondatrice d’ÀBLOCK!
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Il était une fois le rugby… féminin
La Coupe du monde de rugby masculin commence, mais ce n’est pas une raison d’oublier le rugby féminin. Petite histoire express du ballon ovale en mode demoiselle.