Jeux Olympiques
Guislaine Westelynck : « En club handisport, on parvient à exposer son corps transformé, différent, amoché. »
Ancienne nageuse de haut-niveau, médaillée aux Jeux Paralympiques de Séoul en 1988, entraîneure de l’équipe de France féminine de para-natation pendant dix ans, première femme présidente de la Fédération Française Handisport… elle était à la manoeuvre pour les JP de Paris. Guislaine Westelynck qui vient de sortir son autobiographie revient pour nous sur sa vie de militante pour le handisport et sur ces Jeux 2024 mémorables.
Loane Payet : « Pour moi, ça a été très vite l’haltérophilie et rien d’autre. »
Il faudra compter sur elle pour Los Angeles dans quatre ans. Loane Payet, 21 ans, grand espoir de l’haltérophilie française a fait ses gammes au sein du pôle France Relève de Toulouse et espère poursuivre son chemin à l’INSEP. Le début d’une nouvelle aventure pour un seul objectif : les JO de L.A 2028. Rencontre avec une jeunette qui avance poids à poids.
Louison Cazaly : « C’est grâce à mes profs de sport si je suis championne de pentathlon aujourd’hui. »
Ça n’a pas été Paris, ce sera L.A ! Elle fait partie de cette nouvelle génération qui devrait représenter la France aux Jeux Olympiques de Los Angeles en 2028. Louison Cazaly, 21 ans, a longtemps rêvé d’évoluer au plus haut niveau en équitation avant de se tourner vers le triathlon, puis le pentathlon. Rencontre avec une jeune athlète qui a la compétition dans la peau.
Anne-Caroline Chausson : « Personne n’est imbattable, malgré mon palmarès en BMX et VTT, j’avais des failles moi aussi. »
Elle est considérée comme la plus grande descendeuse de tous les temps. Pendant des années, Anne-Caroline Chausson a cumulé les titres de championne du monde en VTT et BMX, jusqu’à l’or olympique à Pékin en 2008. Seize ans plus tard, la Dijonnaise, en rémission d’un cancer des ovaires, continue de faire du vélo, sa bouffée d’oxygène.
Camille Andrieu : « Il ne faut pas vivre le sport féminin dans son rapport exclusif au sport masculin. »
Magistrate à la Cour des comptes avant de devenir directrice de cabinet dans le secteur privé, sa vie professionnelle intense n’empêche pas Camille Andrieu, ex-basketteuse de haut-niveau de militer pour un sport féminin plus visible. Sa recette ? Actionner le triptyque médiatisation-financement-féminisation des instances. Rencontre.
Jeux Paralympiques de Paris 2024, le grand récap’
Des rires, des larmes, de la joie et du désespoir. Voilà, c’est fini. Après onze jours de compétition, les Jeux Paralympiques de Paris 2024 ont permis à des milliers d’athlètes de s’exprimer comme jamais auparavant. En particulier, nos championnes. Les Bleues ont tout donné, régalant un public à la hauteur de leur talent. Retour sur ces Jeux historiques.
Valentina Petrillo, celle qui court pour l’inclusion aux Jeux Paralympiques
Elle est la première athlète transgenre à participer aux Jeux Paralympiques. Sprinteuse déficiente visuelle, l’italienne née dans un corps de garçon il y a 50 ans, court avec l’espoir d’être une source d’inspiration et d’inclusion pour le monde sportif.
Angelina Lanza, le rayon de soleil du para-athlétisme français
Elle souffre depuis la naissance des séquelles d’une polio, mais une fois placée sur la piste, spécialité sprint et saut en longueur, Angelina Lanza ne s’arrête plus, multipliant les podiums. Aujourd’hui, la Française à la joie communicative veut montrer toute sa puissance pour ses 3e Jeux Paralympiques.
Souhad Ghazouani, la para-haltérophile qui met la barre haut
Cette fille-là, c’est 5 médailles paralympiques dont 1 en or, un record du monde, une foison de médailles en Championnats. La para-haltérophile franco-tunisienne Souhad Ghazouani est une force de la nature. Née tétraplégique, elle porte sa vie à bout de bras, envoie du lourd et espère soulever de l’or aux Jeux Paralympiques de Paris !
Marie Ngoussou, l’ado surdouée du para-athlétisme
Sa rentrée des classes a lieu sur les pistes d’athlé. À 15 ans, Marie Ngoussou Ngouyi, plus jeune sportive de la délégation tricolore pour ces Jeux Paralympiques 2024, veut affoler les chronos lors du 100m et 200m. Attention, Haut Potentiel Athlétique !
Clémence Delavoipière, la para-escrimeuse qui fait mouche
À la fin de l’envoi, elle touche ! Clémence Delavoipière, 24 ans, est l’un des grands espoirs français de l’escrime fauteuil. Amputée d’une jambe, elle a découvert la discipline par hasard il y a trois ans et a déjà décroché l’or à l’Épée en Championnat du monde. La voilà en place pour disputer ses premiers Jeux Paralympiques, à l’épée, au fleuret et au sabre. Allezzzzz !
Héloïse Courvoisier, la para-triathlète guidée par l’amour
C’est une histoire digne d’une comédie romantique. Déficiente visuelle et championne d’aviron, Héloïse Courvoisier se lançait, il y a quatre ans, dans le para-triathlon en rencontrant son compagnon Thibaut Rigaudeau, lui aussi malvoyant, adepte de la discipline. Le scénario fait rêver, surtout lorsqu’on apprend que c’est également un couple qui les guide… L’aventure de ces Jeux Paralympiques de Paris se vit doublement pour ces duos en miroir. Moteur… action !
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14 août 1982 : deux femmes en tête du Rallye du Brésil
La conduite et la direction sont leurs atouts. Depuis quatre jours, pilotes et copilotes sont lancés dans la 4e édition du Rallye du Brésil. L’arrivée de la course est plus attendue que jamais. D’autant plus quand, dans la première voiture, deux acharnées sont à la manoeuvre, Michèle Mouton et Fabrizia Pons !
Best-of 2022, elles ont donné de la voix sur ÀBLOCK!
Pour faire bouger les lignes, tout le monde doit être ÀBLOCK! Championne ou pas, l’important, c’est de se dépasser et de se faire entendre ! Place aux témoignages de sportives tout sauf ordinaires qui ont illuminé 2022.
Deauville Sport Doc Festival : le sport fait son cinéma
Du 3 au 5 avril, la ville de Deauville, terre de cinéma, accueille un événement de taille en cette année olympique : la 1ere édition d’un festival consacré aux docus sportifs, le Deauville Sport Doc Festival, labellisé Grande Cause Nationale 2024. Le sport, en haut de l’affiche !
Kadidiatou Diani, la prodige bleue
Parisienne de cœur, Kadidiatou Diani partage son temps entre le PSG et l’équipe de France. Après la Coupe du Monde U17 en 2012 et le Championnat de France 2021, l’attaquante rêvait d’un nouveau trophée collectif. Et elle a bien failli être décisive lors de la demi-finale de l’Euro 2022 avec les Bleues… Ce n’est que partie remise.
Le Best-of ÀBLOCK! de la semaine
Une reine des courts de tennis, un sprinteur français qui a fait ce qu’il a pu pour le sport féminin, la fameuse question qui tue, trois initiatives entre océan, montagne (la Pierra Menta sur notre photo) et à l’ombre d’une cage et puis, le plus attendu de l’année…roulement de tambours : l’anniversaire d’ÀBLOCK! Bref, on ne s’ennuie pas et on vous offre (encore) de quoi lire en attendant la suite !
Dominique Carlac’h : « J’ai fait Sciences Po en survet’, on s’est dit who’s that girl ? »
Elle est en pleine campagne pour rafler la présidence du Medef. Mais au micro du podcast ÀBLOCK!, elle partage bien plus que ses ambitions de cheffe d’entreprise engagée, elle se confie sur son passé d’athlète de haut-niveau, une période bousculée qui lui aura apporté autant de joies que de désillusions. Confidences.
Plonger dans l’eau glacée, c’est bon pour la récup’… C’est vrai, ça ?
En été, utiliser le froid pour accélérer le processus de récupération sportive a tout d’une super idée. Hé oui, il parait que l’eau glacée stimule la reconstruction musculaire. Mais avant de plonger dans une baignoire pleine de glaçons, on démêle le « frais » du faux…
Ce soir, le rugby ne rendra pas hommage à Simone…
Les Bleues devaient jouer ce soir à Glasgow contre l’Écosse. Le résultat positif d’une joueuse écossaise pour le coronavirus contraint l’Equipe de France de rugby à reporter. Et à renoncer à porter un maillot très spécial prévu pour l’occasion…
Nina Kanto
Après un parcours junior dans le club de Noisy-le-Grand, Nina Kanto commence sa carrière professionnelle en
Emeline Delanis : « L’athlé, c’était juste un loisir, je n’imaginais pas où ça allait me mener ! »
C’est l’athlétisme qui l’a choisie et non l’inverse. Emeline Delanis s’est mise à courir parce qu’elle était douée. Tout simplement. La jeune Francilienne, 24 ans, est rapidement montée en puissance… et en distance. Passée du 800 mètres au 10 000 mètres avec succès, double championne de France espoir 3000m steeple et 5000m en 2017, 3e aux Championnats de France élite l’an dernier, elle ne compte pas s’arrêter là et lorgne désormais du côté de la course sur route, mais aussi du marathon avec, dans un coin de sa tête, les Jeux Olympiques. Rencontre avec une fille endurante !
Le Best-of ÀBLOCK! de la semaine
Notre classique retour sur l’histoire sportive du mois d’août, une piqûre de rappel pour une course en Capitale (le joyeux événement La Parisienne sur notre photo), le bilan des grandes compétitions estivales et l’ouverture d’un slalom au fil de l’eau, c’est le meilleur d’ÀBLOCK! cette semaine. Bon rattrapage !
Charlotte Cormouls-Houlès : « Pour aimer la voile, il faut savoir s’émerveiller. »
Elle a donné un an de sa vie pour la Transat Jacques Vabre qui vient de s’élancer du Havre. Elle, c’est Charlotte Cormouls-Houlès, 27 ans, navigatrice passionnée qui n’aurait jamais imaginé pouvoir s’embarquer dans pareille aventure. Nous l’avons rencontrée deux jours avant son grand départ. Avec sa co-skippeuse Claire-Victoire de Fleurian, la voilà à flot pour voguer vers un rêve devenu réalité.