Jeux Olympiques

Maame Biney, la black short-track attitude
Elle est la première femme noire à faire partie de l’équipe olympique américaine de patinage de vitesse sur piste courte et le revendique haut et fort. Cette reine du 500 m, sa discipline préférée dans le short-track, est une étoile de ce sport fascinant, toujours le sourire aux lèvres et la foulée explosive. Maame Biney sait comme personne briser la glace.

Sandrine Gruda : « J’ai toujours su que je voulais mettre toute mon énergie dans le basket. »
Une fille exigeante, un palmarès en or massif. Fraîchement médaillée olympique pour la deuxième fois, Sandrine Gruda est un monument du basket français. Un monument compétitif, qui ne se satisfait de rien et cherche éternellement à se dépasser. La capitaine mythique de l’Equipe de France revient sur une vie qui a valeur d’exemple.

Manon Disbeaux : « En natation synchronisée, on se soutient, on se relève ensemble. »
Ce qui la motive, c’est la compétition. Et les Jeux Olympiques de Paris 2024. Manon Disbeaux, 21 ans, est l’un des visages de l’équipe de France de natation synchronisée. Un condensé d’énergie et de détermination dont l’ambition est de ne jamais rien regretter.

Le Top 10 de la Culture Handisport
Les Jeux Paralympiques de Pékin battent leur plein. Il est plus que temps de se pencher sur la biblio-vidéo-audio-thèque idéale pour tout, tout, tout savoir sur le handisport, ses héros et héroïnes qui dépassent des limites souvent inimaginables. Go !

Marie Bochet : « Quand je glisse sur mes skis, j’ai l’impression de danser sur la neige. »
À 28 ans, la multi-médaillée paralympique en ski alpin est auréolée d’une belle image de sportive à la fois zen et déterminée. Avant qu’elle ne s’élance pour les Jeux Paralympiques de Pékin, Marie Bochet, dernièrement double médaille d’or aux Championnats du monde de para sports en Norvège, se livre avec la fraîcheur de sa glisse désormais légendaire. Marie fonce tout schuss !

God save Channel 4 !
La chaîne anglaise Channel 4 ne s’engage pas à moitié. Pour les Jeux Paralympiques de Pékin, tous ses consultants seront des para-athlètes. Aux côtés des commentateurs de l’équipe des sports, ils viendront offrir une expertise des plus pertinentes. Une première.

Jeux Paralympiques d’hiver, deuxième épisode bleu sur les pistes chinoises
Après les Jeux Olympiques, voici venu le temps des Paralympiques. Et encore une fois, la délégation française arrive en force avec des champions et championnes (comme Marie Bochet sur notre photo) déterminés à laisser leur empreinte sur les pistes chinoises. Mais qui brisera la glace ?

Jeux Paralympiques d’hiver, une naissance tardive
Alors que Pékin verra se mesurer les meilleurs para-athlètes de la planète à partir du 4 mars, ÀBLOCK! vous propose de jeter un regard dans le rétro avec l’histoire des premiers Jeux Paralympiques d’hiver qui ont eu lieu en Suède. C’était en 1976.

Diane de Navacelle de Coubertin : « Coubertin n’était pas là pour faire un débat sur la place de la femme dans la société, pourtant c’est ce qu’on lui reproche. »
Elle est l’arrière-arrière-petite nièce du Baron Pierre de Coubertin. Diane de Navacelle de Coubertin, membre du bureau de l’association Familiale Pierre de Coubertin, a pour mission de s’assurer que l’idéal olympique imaginé par son glorieux aïeul continue à être respecté. Alors que nous venons de boucler les Jeux Olympiques d’hiver et juste avant que ne soient lancés les Jeux Paralympiques à Pékin, elle revient sur les rapports, parfois complexes, entretenus par le rénovateur des Jeux avec la femme sportive.

Claire Supiot : « Mon parcours peut faire évoluer le monde du sport et au-delà. »
En participant aux JO de Tokyo, l’été dernier, elle devenait la première athlète française à avoir participé aux Jeux Olympiques puis, trente-trois ans plus tard, aux Jeux Paralympiques. Claire Supiot est une force de la nature. Souffrant depuis 2008 d’une pathologie évolutive qui entraîne une faiblesse musculaire, elle a pu sortir la tête de l’eau grâce à la natation qui lui offre de quoi vaincre les flots de la maladie. Un exemple de résilience dans le monde du sport 100 % ÀBLOCK!

Il était une fois le ski… féminin
À l’heure où les meilleures skieuses de la planète jouent des bâtons pour remporter une médaille aux JO de Pékin, faisons un petit saut dans le passé, histoire de saluer les premières dames à pouvoir fouler les pistes enneigées et les podiums olympiques.

Marielle Goitschel : « À 7 ans, j’écrivais déjà sur des papiers que je serais championne du monde de ski. »
Elle a marqué l’Histoire du ski. En à peine dix ans de carrière, Marielle Goitschel (au centre sur notre photo) a tout raflé. Multiple championne du monde et olympique, l’Avaline continue d’espérer qu’une skieuse française lui succède sur la plus haute marche du podium de géant et de slalom à l’heure où les meilleures de la planète dévalent les pistes de ces JO de Pékin. Conversation avec une légende.
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Mandy François-Élie, reine de la piste handisport
Doublement médaillée – dont un sacre en or – lors des deux précédentes éditions des Jeux Paralympiques, la championne du 100 et 200 mètres va tout donner pour décrocher l’or aux Jeux paralympiques de Tokyo. Elle vient de commencer par le bronze, en décrochant la 3e place en finale du 200m. Et nous donne maintenant rendez-vous au 100m et relais 4x100m. Prêt, feu, partez, Mandy François-Élie est dans les starting-blocks.

Marie-Amélie Le Fur, une vie (sportive) à cent à l’heure
La présidente du Comité Paralympique et Sportif Français (CPSF) était très attendue pour ces Jeux Paralympiques de Tokyo, ses derniers. La reine française du saut en longueur et ambassadrice du handisport n’a pas démérité et a remporté sa neuvième médaille paralympique, venant couronner une carrière exemplaire.

Il était une fois le canoë-kayak…féminin !
En mars, on pagaie ! Le week-end dernier, l’Open de France lançait la saison 2022 de nombreux ceïstes et kayakistes sur les plans d’eau. Parmi eux, des femmes aujourd’hui à l’aise sur les flots. Mais ne l’ont-elles pas toujours été ?

Colette Besson, la tornade de Mexico
Personne ne misait sur elle. Colette Besson a pourtant mis le monde à ses pieds lors des Jeux de Mexico en 1968. Engagée sur 400 mètres, la protégée d’Yves Durand Saint-Omer s’est offert, en finale, une dernière ligne droite d’anthologie pour aller décrocher les lauriers olympiques. Portrait d’une athlète qui ne manque pas d’air.

Axelle : « Grâce au softball, j’ai retrouvé en moi cette petite fille pleine d’énergie… »
Elle a fait du softball sa passion. Un sport qui a changé sa vie. Car sur le terrain rien n’est anodin : gestion de la défaite, construction d’un collectif, prise de conscience de ses capacités physiques et mentales. Témoignage d’une fille, toujours en mouvement, qui frappe fort et juste !

Élisabeth : « J’ai saisi la boxe comme une bouffée d’air. » (Premier Crochet. Épisode 4)
Ancienne danseuse classique, elle a trouvé sur le ring une nouvelle façon de s’exprimer, plus en accord avec elle-même. Dans ce quatrième épisode du podcast « Premier Crochet », Élisabeth se confie sans prendre de gants.

Caroline Ciavaldini : « En escalade, quoi qu’il m’arrive, c’est mon choix et je l’assume. »
Elle est pétillante, touchante, rafraîchissante, pêchue et on en passe ! Issue de la compétition, Caroline Ciavaldini est devenue grimpeuse outdoor de profession par la grâce d’une rencontre, celle avec James Pearson, son mari. Conversation au sommet avec une première de cordée engagée sur tous les fronts.

Le Top 23 des livres pour être ÀBLOCK! en 2023
Dans quelques jours, 2022 fera de la place à 2023. Pour fêter ça, un Top des livres autour du sport s’impose. BD, autobiographies, romans, guides, essais et même poèmes. De quoi, à la fois, réfléchir et se bouger. La tête et les jambes, en somme !

Le Best-of ÀBLOCK! de la semaine
Une pionnière de la planche, une fille de la glisse qui n’a peur de rien (Capucine avec ses copines les Shreddeuses sur notre photo), un récap’ de l’Euro de hand, une runneuse toujours ÀBLOCK! (même en diagonale) ou une Question qui tue spécial insomniaques… C’est le meilleur de la semaine sur ÀBLOCK!

Basketteuses françaises, Dribblez maintenant !
C’est l’heure. Tout le monde sur le parquet ! L’EuroBasket féminin 2021 est lancé et les basketteuses françaises sont en mode compet’. Sûres d’elles, en confiance, elles ont mangé du lion. Ça se passe entre Strasbourg et Valence, en Espagne. C’est jusqu’au 27 juin. Et la distribution est plutôt belle. On vous fait un petit recap’ ?

Margaux Hubeny : « Sur ma moto, je n’ai pas peur, je me sens vivre ! »
Équipements et moto rose, comme un étendard, elle tient à démontrer que, sur la piste, les femmes aussi font surchauffer le moteur ! En 2019, cette douanière de 23 ans rafle le titre de Championne de France 600cc lors de la Women’s Cup. Surnommée « l’extraterrestre », Margaux Hubeny est une autodidacte du deux roues. Cette victoire est le premier titre d’une longue série pour une prodige de la piste qui n’est pas prête d’en sortir. Accrochez-vous, ça va secouer !

Cléopatre Darleux : Dans l’intimité d’une championne
ÀBLOCK! vous invite en coulisses, dans l’univers de la handballeuse de Brest, gardienne de but de l’équipe de France. Son ouvrage « Vivre selon ses valeurs comme Cléopatre Darleux » est enfin dispo. Petite mise en bouche avec le making-of du livre !