
Anaïs Quemener : « Au marathon de Séville, j’ai battu mon record et pourtant je n’avais pas la tête à la compétition. »
Ça faisait des mois que je m’y préparais. Mais, quelques jours avant le marathon, j’ai connu un épisode familial douloureux et, d’un seul coup, c’était devenu secondaire. Je ne parvenais pas à quitter Paris, ce sont mes proches qui m’ont convaincue d’y aller. J’ai donc fait ma valise.