Les sportives ont l’air, mais pas la chanson…
Les sportives n’ont pas la côte chez les chanteurs, c’est ce que révèle un classement des noms du sport les plus cités dans les textes de titres musicaux.
Les sportives n’ont pas la côte chez les chanteurs, c’est ce que révèle un classement des noms du sport les plus cités dans les textes de titres musicaux.
Figure féminine dirigeante rare dans le milieu du cricket, l’ancienne joueuse pro Clare Connor deviendra en 2021 la première femme présidente de l’histoire du Marylebone Cricket Club (MCC). Historique pour ce gardien des lois du cricket âgé de plus de 200 ans ! Portrait d’une cricket-girl qui n’hésite pas à lancer des balles fortes en faveur d’un milieu sportif plus inclusif.
Première femme indienne membre du Comité International Olympique et copropriétaire de l’équipe star de cricket « Mumbai Indians », Nita Ambani est une philanthrope qui compte dans le monde sportif. Portrait de l’une des leaders les plus influentes du sport en 2020.
À tout juste 23 ans, l’Afro-Américaine Simone Biles écrit sa légende à la force d’ébouriffantes figures acrobatiques, portant désormais son nom. Puissante, elle l’est aussi dans son discours, s’engageant contre les discriminations et les agressions envers les femmes dont elle a été, elle-même, victime.
Portrait de l’une des sportives les plus influentes de 2020.
À la tête de l’organisation des jeux mondiaux Special Olympics pour les athlètes ayant un handicap mental, Mary Davis emploie son énergie à supprimer les barrières de l’accès au sport. Sa mission ? Favoriser une plus grande inclusion, afin de changer des vies et de faire évoluer les mentalités. Portrait de l’une des dirigeantes sportives les plus influentes en 2020.
Sportive la mieux payée de l’Histoire devant sa challenger Serena Williams, la toute jeune Naomi Osaka a plus d’une corde à sa raquette de tennis. Au top 10 du classement mondial WTA, forte de deux titres consécutifs de Grand Chelem, elle garde la tête froide et donne l’exemple en haussant la voix contre le racisme. Portrait de l’une des sportives les plus influentes en 2020.
La belle avancée du sport féminin a-t-elle vu son élan brisé par la crise sanitaire ? En passe d’être la variable d’ajustement, le sport féminin n’a pas dit son dernier mot et reste mobilisé, malgré la crise, pour atteindre son but : plus de médiatisation, plus de moyens, plus de pratiquantes. Un jeu de stratégies tout en vigilance et continuité qui pourrait bel et bien dessiner un « monde sportif d’après ».
Toujours ÀBLOCK! malgré l’arrêt de la saison du Championnat de France féminin alias la Ligue Butagaz Énergie dû au Covid-19, la Ligue Féminine de Handball (LFH) avait décidé de maintenir les Trophées All-Star LFH récompensant les meilleures joueuses de la saison écourtée 2019-2020. En voici le riche palmarès. Une belle vitrine pour le sport au féminin !
Alors que la France a pris le top départ du déconfinement le 11 mai dernier, troquant l’enfermement obligatoire pour des échappées belles bien méritées, quid de l’évolution du comportement sportif des Français ? On vous dit tout…
Malgré le climat sanitaire anxiogène et les restrictions de sorties, les confinés français ont tout fait pour garder un esprit sain dans un corps sain. Une étude révèle en effet qu’une majorité de Français ont adapté leur pratique et leur consommation du sport à cette toute nouvelle vie. Sur le terrain, c’est ce qu’on appelle une belle action !
Malgré les nombreux échanges houleux sur les réseaux sociaux concernant le running (on peut continuer à courir ou pas ?), ce ne serait là qu’une tempête dans un verre d’eau. Selon un sondage, la course à pied est loin d’être l’activité la plus prisée par les Français en période de confinement.
Ces dernières années, les yogis en herbe ne cessent de se multiplier. Besoin de sérénité, d’apaisement, c’est le sport doux le plus plébiscité aujourd’hui en France.
Le ballon ovale et les filles, une nouvelle histoire d’amour ? Depuis dix ans, les chiffres explosent : le nombre de pratiquantes de rugby ne cesse d’augmenter. Les clubs vont bien devoir leur faire de la place.
Les filles abandonnent trop souvent l’activité physique à partir de l’âge de 12 ans. Une bien mauvaise idée.
Les femmes qui créent leur boite aimeraient toutes pouvoir méditer et se ressourcer entre deux coups de pression. Mais elles ne se l’autorisent que trop peu. C’est l’Observatoire Entreprise et Santé qui le dit.
Dans leur agenda hebdomadaire, moins de la moitié des Françaises n’ont pas encore pris pour habitude de noter une séance de sport par semaine. Les études sont là pour rappeler que la sédentarité est toujours un problème de santé publique en France.
L’été dernier, les records d’audience de la Coupe du monde féminine de foot et quelques mois plus tôt du Championnat d’Europe de handball féminin à la télévision ont prouvé que le public se passionnait de plus en plus pour les compétitions féminines. Et les dernières études ne font que réaffirmer cette réelle tendance. Pour autant, les jeux ne sont pas faits. Décryptage.
Mais qu’est-ce qui fait courir les filles ? Le plaisir, pardi ! Elles sont de plus en plus nombreuses à enfiler des baskets pour partir s’aérer le corps et l’esprit. Ce qui n’a pas échappé aux équipementiers et aux organisateurs d’événements. Sport gratis, le running est devenu un business en or.
Si on grimpait ? Même si ce sport se féminise peu à peu, les femmes sont encore trop peu nombreuses à choisir l’escalade comme pratique sportive.
Qu’on se le dise, les sports mécaniques ne sont pas (plus) des sports de mecs.
Girls, vous êtes plus fortes que vous ne le pensez. Bouger ne vous fait pas peur. Et c’ est l’Insee qui le dit.
Des femmes à qui on coupe le sifflet ? En matière d’arbitrage sportif, il n’y a aucun doute.
Elles ont été des championnes, elles ont gagné, ont tout donné. Puis vint le temps de raccrocher. Comment alors se reconstruire, envisager une autre sorte de victoire : le retour à une vie ordinaire ?
Boxe, CrossFit, ultra-trail ou encore rugby, aujourd’hui les femmes sont de plus en plus nombreuses à truster des sports habituellement chargés en testostérone. Se battre, s’abîmer, se dépasser… ces pratiquantes et championnes n’ont peur de rien. Surtout si ça fait « mâle ».
Longtemps oubliée, la problématique de l’accès des filles au sport dans certains quartiers est désormais mieux traitée, et les actions se multiplient pour réinjecter un peu de mixité dans ces territoires délaissés.
Les filles et le surf, ça ne fait que commencer ! L’heure est venu de plancher.
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