Tamara Horacek« Ce que j’aime dans le handball, c’est me mettre en danger. »
Quadruple championne de France avec Metz, elle rêve de truster les parquets aux JO 2024. Mais avant ça, la handballeuse franco-croate de 27 ans, Tamara Horacek, devra relever un nouveau défi dans son futur club de Nantes. Rencontre avec la femme dont l’équipe de France a été le choix.
Par Timéo Gomes
Publié le 12 juillet 2023 à 16h05, mis à jour le 18 décembre 2023 à 7h49
Commençons par ton enfance, tu es née en Croatie, tu arrives en France à 8 ans après des passages en Slovénie et en Autriche, comment tu commences le hand ? Tu as d’abord voulu essayer le volley…
J’avais déjà commencé le handball en Autriche à mes 6 ans mais, c’est vrai, je voulais plutôt faire du volley, seulement j’étais trop jeune. On m’a dit : « C’est pas possible. Il faudra attendre au moins un ou deux ans ». Le handball, en revanche, c’était possible et je me suis dit que j’allais me lancer, sachant que ma mère était handballeuse. Pourquoi ne pas essayer d’y faire quelque chose ? Au moins, ma mère serait contente que je fasse le même sport qu’elle !
Qu’est-ce qui a fait que, finalement, le hand est devenu ton sport de cœur ?
C’est juste que je m’y plaisais. Je me retrouvais dans ce sport-là. C’était pas du tout par rapport à ma famille. C’était vraiment un souhait personnel et je voulais poursuivre dans ma passion et pourquoi pas en vivre.
Tu as commencé en club amateur, comment ça s’est passé ensuite ? Tu as fait l’INSEP, l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance?
Non car, que ce soit handball fille ou garçon, il n’y a pas d’équipe à l’INSEP, Quand je suis arrivée en France, c’était à Metz, j’y ai joué des -10 ans jusqu’à la D1. J’ai tout fait ici, en passant par le pôle espoir, le centre de formation, qui est le plus grand centre de formation de France. Ensuite, j’ai signé mon premier contrat professionnel avec le club de Metz Handball.
À partir de quel moment tu te dis que ton objectif, c’est de faire du handball ta profession ?
C’est arrivé assez tard parce qu’au début, je me suis dit : « Ah, bah moi, je vais jouer avec mes copines ! », on va passer de bons moments ensemble. Quand je dis « tard », c’est pas si tard que ça, vers 15-16 ans, sachant que ça faisait déjà neuf ans que je pratiquais le handball. C’est arrivé en me disant qu’il y avait quelque chose à faire. Le déclic, ça a été quand ma mère est partie de Metz, où j’ai décidé de rester seule, j’allais sur mes 15 ans. Là, je me suis dit : « Faut que tu te donnes à fond pour arriver à ton but. » Celui de devenir professionnelle.
Comment ont réagi tes parents ? Et principalement ta mère, Vesna Horacek, ancienne internationale croate. Elle t’a mise en garde sur le fait que sportive pro ce n’était pas facile tous les jours ?
Mon père était très content parce que son ex-femme jouait au handball, qu’elle était professionnelle. Lui, il a fait du basket quand il était plus jeune, mais c’était pas à haut niveau, et il était heureux que sa fille fasse de sa passion, son métier.
Mais ma mère, c’est autre chose. J’ai eu beaucoup de discussions avec elle, pas tant sur le handball, mais surtout pour m’avertir que le sport professionnel, c’est du business, c’est difficile. Un jour, on peut briller et l’autre tu disparais des radars. Donc, on m’a mise en garde, mais c’est ça aussi qui m’a permis d’arriver où je suis actuellement parce que je faisais tout le temps attention à ce qu’il y avait autour, à ne pas commettre de gaffes et me voir trop belle.
Au final, le sport, c’est ingrat. Tu peux arriver tout en haut, puis t’as une blessure et tu redescends tout en bas.
C’est donc ta mère qui, grâce à son expérience t’a le plus apporté ?
Oui, au-delà de conseils au niveau handballistique, c’est surtout son expérience en dehors des terrains qui m’a aidée, savoir comment gérer ma carrière. Comment progresser ? Comment toujours rester en alerte ? Comment ne pas se voir trop belle d’un coup ? Rester sur terre, en fait.
Parce que, parfois, quand j’étais plus jeune, je lui disais : « Non mais, maman, c’est bon là » et elle me répondait : « Non, redescends sur terre ». À l’instant T, c’est chiant, mais ce n’est que du bonus pour plus tard.
Avoir un parent qui a été professionnel, ça a des avantages mais aussi des inconvénients. Quels ont été les inconvénients pour toi qui a l’air de vouloir tracer ta propre route et de te faire ton propre nom ?
Moi, je dis toujours que j’aimerais surtout me faire un prénom parce que ma mère a gardé le même nom donc c’est déjà pris. Il y a plein d’avantages, mais les inconvénients, c’est qu’en fait, on n’a pas envie de décevoir les parents. On n’a pas envie de décevoir parce qu’on sait de quoi ils parlent, dans un sport où ils ont excellé, où ils excellent encore. C’était plutôt ça qui était compliqué.
Aussi de trouver son propre jeu, parce que souvent on dit « Je veux ressembler à maman, je veux ressembler à papa », mais c’est simplement le fait d’être professionnel. Il faut avoir un style propre à soi, donc c’est se trouver dans son sport. Avoir son ADN, son propre ADN.
À un moment, il a fallu faire un choix entre jouer pour la Croatie et jouer pour la France, tu choisis la France parce que tu n’as passé que peu de temps en Croatie. Mais est-ce que tu as été contactée par l’une ou l’autre nation qui a essayé de te convaincre ?
J’ai été contactée uniquement par la France parce que, petite, j’étais avec les équipes jeunes de l’équipe de France, même si je ne faisais pas les compétitions officielles. Je participais à tous les stages de préparation au Mondial, à l’Euro. Souvent, pendant l’année, quand on avait des petits stages à droite, à gauche, j’y allais, c’était juste le côté compétition qui me manquait, à cause des papiers.
Pour moi, la logique des choses, c’était de devenir Française parce que je me sentais Française. Je suis allée à l’école en France, j’ai tout fait ici, c’était juste logique.
Quand j’obtiens la nationalité justement, le dernier championnat du monde junior est en Croatie et c’est là que les Croates me découvrent et commencent à dire : « Pourquoi elle ne joue pas pour la Croatie ? ». Mais, en fait, ma mère a été internationale Croate, il fallait juste se renseigner. Mais je ne regrette en aucun cas mon choix.
Comment ta mère a reçu ce choix de défendre les couleurs françaises alors qu’elle avait joué pour la Croatie ?
Elle était fière et contente parce que, à une époque, quand elle jouait, elle se posait la question de demander la nationalité française pour jouer pour la France. Ça ne s’est pas fait pour diverses raisons. Aujourd’hui, je suis la seule de la famille à avoir la double nationalité. Je suis attachée à la Croatie, j’ai toute ma famille qui est encore là-bas.
Je pense aussi avoir le caractère des pays de l’Est, un fort caractère. C’est souvent visible sur le terrain, je me donne à fond, on peut se dire : « Ah oui, elle rigole pas ! ». Mais c’est notre façon de rigoler justement ! On est comme ça.
En mai 2016, tu es sélectionnée pour la première fois en équipe de France A. Qu’est-ce que ça représente pour toi à ce moment-là ?
C’est un gros soulagement parce qu’un an auparavant, en juin 2014, je reçois la nationalité. C’était un soulagement de me dire : « Voilà, tu as mis un pied où tu veux aller, maintenant, il faut y rester ». C’est le plus difficile à faire. Mais, en tout cas, je suis arrivée déjà à un point où, entre guillemets, j’ai touché les étoiles, maintenant il faut aller décrocher la lune.
Ce parcours en équipe de France n’est pas toujours linéaire, quand on fait comme ça des allers-retours entre sélection et non-sélection, comment on le vit au quotidien ?
Au début, je me mettais la pression chaque jour pour être sélectionnée. Mais au moment où on comprend qu’il n’y a pas que l’équipe de France qui nous fait vibrer et ressentir des émotions fortes, on s’enlève un poids. Du coup, on est plus libéré sur un terrain. Mais je pense que c’est un processus assez long et compliqué à comprendre parce que c’est difficile de dire à un sportif de haut niveau, que ça peut être du bonus alors que la plupart vivent pour aller en équipe de France.
Moi, j’ai fait le chemin inverse, je me suis d’abord dit : « Il faut que tu sois très bonne en club, prends ton pied et si tu es bonne en club, il y a plus de chances que tu sois sélectionnée. Et si tu ne l’es pas, ça ne dépend pas que de toi, ce n’est pas toi qui as les clés en main. »
Tu as 21 ans quand tu participes aux JO de Rio en 2016. On dit souvent que lors de ses premiers Jeux, on est plus spectateur qu’acteur, comment toi tu l’as vécu ?
Ah, mais moi je le dis volontiers, j’étais plus la fan qui était au Jeux Olympiques que la joueuse ! J’y ai découvert des stars, elles passaient dans le village et je me disais : « Oh une star, oh une autre star ! ». Après, je me suis dit : « Non Tamara, t’es au JO tu dois jouer », même si j’ai joué que le dernier match.
Mais, effectivement, on est plus spectateur qu’acteur. Moi ces JO-là, même si ce sont les seuls pour l’instant, ils resteront gravés dans ma tête comme les plus beaux souvenirs.
Au cours de ces Jeux, tu dois remplacer Chloé bulleux en finale contre la Russie. Comment tu réagis à ce moment-là ?
C’était un mélange d’émotions. Pour la petite histoire, j’étais entourée de Florent Piétrus et Mickaël Gelabale (anciens basketteurs de l’équipe de France, Ndlr) quand on m’a annoncé ça. Et je leur dis : « Les gars, je vais faire la finale demain ». C’était un moment exceptionnel, eux étaient contents mais, moi, je ne me rendais pas compte. La nuit d’avant, la veille de la finale, j’ai bien dormi. C’est au moment des hymnes que je me suis rendu compte que je jouais la finale des JO. J’étais stressée, archi stressée. Mais, c’était un bon moment.
En 2018, tu as l’occasion de jouer l’Euro, mais tu te blesses au genou et tu es déclarée forfait alors que les Bleues iront remporter le titre : qu’est ce qui se passe alors mentalement ?
Dans ma tête, ça s’est fait en plusieurs étapes. D’abord, tu te rends compte que c’est fini. Quand je me suis blessée, je savais que c’était les croisés, donc je savais ce qui m’attendait. Ce jour-là, c’était dur. Trois jours après, à l’IRM, le médecin me dit : « Asseyez-vous, je vais vous dire ce que vous avez ». Je lui réponds : « Non mais, je sais ce que c’est. Dites-moi juste si le ligament est touché ou s’il y a le ménisque aussi ? ». Il dit : « vous n’avez pas blagué ! ». Je réponds : « Voilà, mon genou a voulu danser, il a dansé, il a tout pété. Maintenant, c’est parti pour six mois ! ». Je fais de l’humour noir parce qu’il faut évacuer le « mal ».
Et puis il y a l’Euro, plus ça avance, plus je suis contente pour les copines. Quand elles perdent leur premier match, j’ai peur, je suis à l’hôpital, je me faisais opérer ce jour-là. Arrive la finale, je dois la commenter. Et là, en fait, tu te dis : « Tu aurais dû être sur le terrain », t’es triste et contente à la fois.
Mais, au final, tu réalises que c’est pour ça que tu vas te battre. C’est pour vivre ces moments-là, que tout n’est pas fini.
Tu as d’ailleurs eu l’occasion de rejouer en bleue pour la Coupe du monde 2021, pour l’Euro 2022. On sait qu’il y a les JO 2024 à Paris qui arrivent à grand pas. Qu’est-ce que ça représente pour toi ?
Le fait que ce soit en France, ça ajoute du stress. On sait que malgré notre quatrième place à l’Euro 2022, c’est un peu plus complexe. Mais on sait aussi qu’on est attendues, on est quand même les championnes olympique en titre ! Donc, on sait qu’on a beaucoup de boulot à fournir. Mais je sais qu’on arrive à jouer avec le stress et que, dès le premier match, dès le premier coup de sifflet, ça détendra l’atmosphère et j’espère que ça va rouler.
Tu as un jour confié que tu étais davantage la fierté de ton père que de ta mère, pourquoi ? Elle est plus critique ?
Elle me dit souvent qu’elle est fière, mais je pense que mon père, c’est quelqu’un qui vit pour le sport. Ma mère comprend que, quand je sors du match, c’est mon moment off et qu’il ne faut pas parler tout le temps de handball.
Mon père, lui, m’appelle pour me demander sans cesse comment ça se passe au club. C’est dans ce sens-là que je dis que je suis davantage la fierté de mon père que de ma mère, parce que mon père veut tout le temps tout savoir, jusqu’à, parfois, être trop intrusif : « Et le président, il a dit quoi ? ». Je sais pas en fait, je ne suis pas au quotidien avec le président et ça ne m’intéresse pas ! Les matchs, il les vit très différemment. S’il ne peut pas regarder un match, il le regarde en replay trois fois et il va me raconter tout en détail, même si j’ai vécu le match et que j’étais sur le terrain.
Au niveau national, tu as quasiment tout gagné, quadruple championne de France, deux Coupes de France. Est ce que les titres ont tous un goût différent ?
Oui, parce que les premiers titres, c’était quand j’étais jeune et c’était même pas professionnel. Donc, tu arrives dans le milieu professionnel, tu gagnes et wow ! OK. En fait les titres en jeunes, ça te donne un avant-goût de ce que tu aimerais faire plus tard. Être actrice de ces titres-là et faire partie des équipes avec qui tu vas gagner.
Les deux derniers titres avec Metz, c’est spécial pour moi. L’équipe était exceptionnelle, on avait une histoire ensemble. C’était plus des amies qui mouillaient le même maillot que des professionnelles qui jouent ensemble.
Est-ce que gagner ces titres avec Metz, un club dans lequel ta mère a aussi évolué, ça ajoute un truc en plus ?
Oui, tu te dis qu’ils ont pas fait un investissement pour rien ! J’ai fait le calcul : toutes les deux, ma mère et moi, on a remporté onze titres de championne de France à Metz, donc c’est quand même une fierté. Tu peux te dire que tu pars la tête haute.
Seul un titre continental manque à ta carrière en club. Tu étais en final de Coupe d’Europe avec le club hongrois de Siofok. Cette année, avec Metz, vous étiez à un cheveu d’atteindre le dernier carré de la Ligue des champions…
Je me suis toujours dit : ma mère a gagné une Ligue des champions, il faut que je la gagne aussi. Je ne sais pas combien de temps il me reste encore à jouer, mais il me faut la Ligue des champions, parce que c’est quelque chose. Franchement, pour moi, si je la gagne un jour, je pourrai me dire que j’ai réussi ma vie. Là, c’est un objectif personnel et familial, mais c’est quand même un bel événement et c’est beaucoup de sacrifices pour en arriver là. Je suis contente parce que je sais derrière quoi je cours. Hormis l’équipe de France, je parle là au niveau club.
Tu as annoncé que tu allais quitter Metz la saison prochaine pour les Neptunes de Nantes, 3e du championnat. Comment on prend ce genre de décision de rejoindre une équipe alors qu’on gagne déjà tout dans son club ?
Je voulais changer de dimension, me mettre en danger. Je suis quelqu’un qui n’aime pas la routine. J’aime bien casser ma bulle de confort pour en créer une autre. Là, je rejoins un club qui monte en puissance et qui a des objectifs forts, c’est à dire de jouer la Ligue des champions dans quelques années, remporter encore une fois une Coupe d’Europe. Pour moi, ça veut dire me mettre en danger et j’aime ça.
Maintenant, j’ai 27 ans, je ne suis plus la petite fille du handball, je pense que j’ai vécu, j’ai emmagasiné de l’expérience, donc c’est aussi partager l’expérience et arriver avec un autre statut.
Tes gros objectifs, que ça soit en club ou en sélection, c’est quoi ?
Alors, d’abord, c’est de bien commencer ma saison avec Nantes, très bien même. Parce que, comme je le disais, pour être sélectionnable en équipe de France, il faut que tu sois bonne en club. Après, il y aura le Championnat du monde en 2023, en décembre. Pour le reste, la saison est tellement longue…
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