#mavoix

Laurie : « Le triathlon, c’est comme si tu vivais mille vies ! »
« J’ai la chance d’avoir eu des parents qui m’ont toujours inscrite dans des clubs de sports. Assez tôt, j’ai

Julie : « C’est compliqué d’être entraîneur de haut niveau quand tu es une femme… »
« Ma mère était championne de France de kayak, mon père maître-nageur, j’ai toujours été encouragée à faire du sport.

Chloé : « Quand je ne me sens pas bien dans ma vie, le sport est l’un des rares moments où je suis fière de moi. »
« Dans ma famille, on m’a inculquée l’importance de bouger, de se dépenser. Cela fait partie de mon éducation :

Anne : « Le milieu du surf n’est pas évident pour une femme, ça reste un concours de testostérones ! »
« Depuis toute petite, j’ai une pratique du sport très ludique. Aujourd’hui encore j’ai gardé une âme d’enfant et j’en

Tiffany : « Pour mes 30 ans, je veux réaliser quelque chose de grand, me prouver que je suis une battante. »
« J’ai été une grande sportive. Un espoir du sport même. À l’adolescence, je pratiquais l’athlétisme à haut niveau ;

Ninon : « Fille ou garçon, tout est dans la tête : on rentre tous sur le terrain pour gagner. »
« Pourquoi le rugby ? Un peu le hasard et un peu la famille. Mon grand-père était l’un des créateurs

Julia : « Le trail, c’est une école de la vie, qui apprend à ne rien lâcher. »
« J’ai découvert le trail il y a six ans quand je vivais au Mexique. J’avais toujours fait beaucoup d’athlétisme

Camille : « J’ai beaucoup couru pour perdre du poids. C’était une obsession malsaine. Aujourd’hui, j’organise des runs culturels, écolos et ludiques. »
« J’ai toujours fait du sport. Ça fait partie de mon équilibre, je m’y sens à ma place, et c’est

Lucy : « J’aimerais dire aux femmes que le sport va changer leur vie, tout simplement. »
« J’ai toujours fait du sport depuis toute petite et notamment du ski car je vivais en montagne – je

Fanny : « Il faut une dose de courage pour faire de la musculation. On a vite peur du regard des autres et surtout des hommes… »
« J’ai toujours fait du sport mais surtout des sports artistiques, de la danse, des « jolis sports » pourrait-on-dire.

Mégane : « Je suis devenue tellement accro que j’ai perdu de vue l’idée de maigrir. »
« J’ai longtemps été complexée par mon corps, trop grosse, pas assez sculptée. Le déclic pour le sport est venu

Alice Varela* : « Nous sommes des filles athlétiques, courageuses, mais nous sommes loin d’être des bonhommes. »
Capitaine de l’équipe de France, mais aussi des Zoulouzen, l’équipe féminine de rugby du Toulouse Ovalie XIII, elle n’a pas sa langue dans sa poche… Avec cette fonceuse, mieux vaut avoir les crampons bien accrochés !
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La Grande Boucle fait un pied de nez au Covid-19
Le Tour de France aura finalement lieu en août. Il est le seul événement sportif à être maintenu en 2020. Ni reporté ni annulé, la plus célèbre course cycliste prendra la route avec plus d’un mois de retard sur le calendrier, mais ça va rouler malgré tout. Les coureuses, elles, vont (encore) devoir patienter. Autant dire que le Tour féminin n’est plus envisagé.

Avant les JO de Tokyo, la skippeuse Camille Lecointre et sa partenaire Aloïse Retornaz mettent les voiles vers l’Espagne
Il y a quelques jours, elles baptisaient leur nouveau bateau à Brest. Le 13 mars, elles seront au départ du Championnat du monde en Espagne. Zoom sur deux filles dans le vent.

Breakdance – Un sport, un vrai.
Aux JO 2024, le break entre dans la danse. Il sera l’un des sports additionnels des Jeux (avec le surf, l’escalade et le skateboard).

Le sport féminin ? En pleine lucarne !
L’été dernier, les records d’audience de la Coupe du monde féminine de foot et quelques mois plus tôt du Championnat d’Europe de handball féminin à la télévision ont prouvé que le public se passionnait de plus en plus pour les compétitions féminines. Et les dernières études ne font que réaffirmer cette réelle tendance. Pour autant, les jeux ne sont pas faits. Décryptage.

Deepika Kumari, cet insatiable appétit pour le tir à l’arc
Une question de survie. Née dans un foyer modeste du nord-est de l’Inde, Deepika Kumari est devenue archère dans le seul but de manger à sa faim. À bientôt 27 ans, l’ex-N°1 mondiale a de l’appétit et ne cache pas son impatience de se mettre à table lors des JO de Tokyo.

Rugby : les mots qui plaquent ! (Le dessous des Pelouses. Épisode 12)
« Alors, les filles, vous vous broutez la chatte ? », « Dans l’équipe, vous êtes toutes des lesbiennes ? »… Elles en ont entendu des phrases pétries de préjugés, ces joueuses de rugby d’une équipe de Fédérale 1, la 3e division du championnat de France ! Et elles en parlent sans tabou dans ce nouvel épisode du « Dessous des Pelouses »…

Journal d’une sportive confinée : Sportifs, même chez vous, pensez à récupérer !
Notre coach de Limoges, Claire Pola, continue de nous faire partager ses journées, entre séances de sport, tutos et cours en live pour ses fidèles sportifs et sportives connectés, mais aussi moments de pauses bienfaitrices, quand le corps recharge ses batteries. Mais à quoi ressemble une de ces journées dans la vie d’une coach ?

Chiara Consonni, la tornade italienne qui dynamite les codes dans le cyclisme
À tout juste 21 ans, elle fait partie des grands espoirs du cyclisme italien. La jeune Lombarde Chiara Consonni, à l’aise sur route comme sur piste, est aussi réputée pour sa nature exubérante et fantasque. Portrait d’une jeune pousse pour qui la vie est un jeu.

VTT : le cyclisme féminin prend le bon virage
La crise sanitaire est passée par là. Mais si le calendrier de la discipline sportive à deux roues a été sérieusement bousculé, il y a eu plus de peur que de mal pour l’avenir du cyclisme féminin. Les filles tiennent fermement le guidon et ne sont pas prêtes à le lâcher. État des lieux d’un secteur qui roule.

Cet été, si on courait pour la bonne cause ?
Depuis le 7 août et jusqu’au 7 septembre, la fondation Alice Milliat qui œuvre à la médiatisation du sport féminin, – lance la 5e édition de son Challenge Alice Milliat, une course connectée solidaire et gratuite pour valoriser le sport au féminin, sa médiatisation, sa pratique et l’égalité dans le milieu sportif. On y va ?

Loana Lecomte : « Le sport de haut niveau, ça te permet d’avoir une autre vision de la vie. »
À tout juste 21 ans, elle est l’un des meilleurs espoirs féminins du cyclisme français. Deux fois Championnes de France en catégorie Espoir et plusieurs podiums européens et mondiaux à son actif, Loana Lecomte n’est pas près de lâcher le guidon. Son rêve ? Pédaler sur une piste olympique pavée d’or. Rencontre avec une jeune prodige aussi fraîche que déterminée.

Qui a peur des femmes musclées ?
Il fait mordre la poussière aux clichés qui collent aux basques des sportives. Ce Podcast made in Suisse du quotidien Le Temps est un petit trésor audio. Ouvrez grand les oreilles !