Best-of 2021 Les confidences des championnes ÀBLOCK!

Charlotte Bonnet
2021 a été riche de rencontres, comme des cadeaux de Noël avant l'heure. Nos sportives ÀBLOCK! se sont livrées sans langue de bois. Dans ces entretiens, ces filles qui marquent l'histoire de leur discipline ont raconté leur parcours, leurs joies et leurs échecs, leur vision du sport… Retour sur les plus belles déclarations de ces championnes ÀBLOCK!

Publié le 24 décembre 2021 à 10h44, mis à jour le 07 janvier 2022 à 19h00

  • Camille Lecointre :  « En voile, j’aime jouer avec l’incertitude, les éléments qu’on ne maîtrise pas… »

Matelot de l’équipe de France olympique en 470, dériveur en duo, médaillée de bronze aux JO, championne d’Europe et médaille de bronze aux Championnats du monde 2019, désignée Marin de l’année 2019 par la fédé de voile avec sa coéquipière Aloïse Retornaz, Camille Lecointre navigue avec sagesse et précision…sur l’eau, mais aussi dans la vie. Comme le vent l’emporte. 

Le sport de haut niveau, ça te permet d’engranger de l’expérience, ça apporte énormément dans la vie perso : une manière d’être, une confiance, une capacité d’organisation, des qualités humaines…”.

  • Marie Vélon : « Rien n’aurait pu m’empêcher de devenir jockey, c’était écrit. » 

Elle s’est invitée dans le Top 10 des jockeys français sans crier gare. À 21 ans, Marie Vélon, Cravache d’or, fait tourner la tête des amateurs de sport hippique. Et elle ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. La femme la plus titrée des courses en France continue de tracer sa route. Au galop. 

 Mes parents, comme beaucoup de parents, avaient envie que leurs enfants fassent des études, qu’ils aillent loin. Maintenant, il est rare de voir un adolescent de 15 ans savoir déjà ce qu’il veut faire de sa vie et moi, c’était écrit.

Les parents sont là pour nous aider, pas pour aller contre notre volonté. Une fois qu’ils ont accepté et sont allés dans mon sens, ils ont été mes premiers fans.” 

  • Yaëlle Hoyaux : « J’ai envie de prouver que le badminton est un sport qui vaut le coup. »

Yaëlle Hoyaux, jeune badiste de 23 ans, trace tranquillement sa route vers 2024. Ambitieuse et déterminée, la sociétaire de Fos-sur-Mer, passée par le Danemark, milite pour plus de reconnaissance et de visibilité du badminton sur la scène médiatique. Cette fille nous a pris dans ses filets. 

 Je ne me demande pas forcément ce que j’aurais pu être, mais je me demande ce que je veux être dans le futur et comment allier cette pratique du sport et ma volonté de résultats en réussissant à trouver un équilibre de vie en dehors, me sentir totalement épanouie dans les années à venir. 

Le badminton a été prioritaire et unique pendant quelques années. Par la suite, en grandissant, on se dit que l’on a aussi envie de construire autre chose, ne pas être seulement une sportive de haut niveau.” 

  • Charlotte Bonnet : « Quand on fait de la compétition, il faut savoir revenir plus forte, rebondir, apprendre à se faire battre. » 

Elle en a fait du chemin ! Championne de natation précoce, Charlotte Bonnet, médaillée olympique alors qu’elle n’avait que 17 ans, a traversé, malgré elle, une longue et douloureuse période de doute.

Presque dix ans plus tard, la Brestoise a radicalement changé. Plus mûre, plus forte, elle est parvenue à retrouver le goût de la compétition.

 « Je me souviens : je me qualifie pour les Jeux Olympiques de 2016 lors des Championnats de France qui avaient lieu au mois de mars à Dunkerque. Je suis tombée dans les bras de mes parents et, ma première réaction, a été de leur dire : « Il y a quatre ans, j’étais dans mon canapé à 3h00 du matin avec vous en train de regarder les Jeux comme une gamine et là, je vais vraiment y aller ! » 

C’était assez fou mais, en même temps, j’avais tellement travaillé que, pour moi, ce qui m’arrivait était normal. C’est en parlant avec les gens autour de moi que je me suis rendu compte que ça ne l’était pas. J’avais 17 ans et j’étais trop fière. Je suivais la dynamique du groupe et ça me plaisait. » 

  • Roxana Maracineanu : « L’égalité homme-femme dans le sport est une question de justice. J’aimerais rendre justice à la moitié de la population ! » 

Au-delà de ses actions, de ses engagements, nous avions opéré un flash-back avec Roxana Maracineanu. Une rencontre où nous lui avions demandé d’enfiler de nouveau son maillot de bain pour plonger dans ses souvenirs de nageuse. Et madame la ministre a joué le jeu.

 Les femmes se contentent parfois trop souvent de la 2e ou 3e position. Et pourquoi pas être au premier plan ? On travaille pour ça. Pour qu’il y ait davantage de femmes engagées dans le sport, les aider à monter en compétence, à avoir confiance en elles pour qu’elles se positionnent sur des postes à responsabilité. 

J’ai commencé à recevoir tous les présidents nouvellement élus et ils tiennent un discours engagé, ils sont vraiment motivés à mettre en place cette parité. Enfin !  

  • Émilie Le Fur : « Les sports mécaniques font partie du monde d’avant, il faut les repenser… » 

Après plus de dix ans à évoluer en F1, moto et rallye, Émilie Le Fur a choisi d’emprunter une voie plus verte. La triple Championne d’Europe Xterra, ancienne ingénieure piste et essais des pilotes Sébastien Loeb ou encore Sébastien Ogier, s’est reconvertie dans l’alimentation durable et milite pour une pratique sportive plus écologique.

 Quand j’ai débuté en Grand Prix moto en tant qu’ingénieure, ça me faisait rire d’être prise pour l’attachée de presse, qu’on me demande d’être « umbrella girl » sur la grille de départ ou de remplacer la cuisinière de l’équipe qui était malade… 

Mais, en quelques mois, c’est bien en tant qu’ingénieure piste et essais qu’on me proposait des emplois dans de grandes équipes. Parce qu’il y a partout des pionniers, des précurseurs qui sont prêts à faire confiance à des personnes différentes. 

  • Jeanne Richard : « En biathlon, je peux partir très loin dans ma tête. » 

Elle fonce avec la fougue de sa jeunesse et vise juste. Jeanne Richard est la biathlète française à suivre à la trace. Doublement médaillée aux Jeux Olympiques de la Jeunesse en 2020, la haut-savoyarde vient de se placer en première place des Championnats du monde jeunes de biathlon.

Fraîcheur, plaisir et récompenses, Jeanne Richard a trouvé son sport-épanouissement ! 

 Je fais de la compétition de ski alpin depuis que je suis toute jeune donc je suis vraiment habituée à l’esprit de compétition et j’ai le goût de la victoire. 

Mais je pense que lorsqu’on est jeunes, il faut davantage encore prendre les choses avec plaisir : faire du sport, voyager et rencontrer des gens grâce à ce sport me permet de profiter de la vie. 

Je vois tout ça comme un plus pour moi. Et quand je gagne, ça montre que lorsqu’on fait des efforts, ça paye.  

  • Marie Loiseau : « M’entraîner avec des filles m’a ouvert les yeux sur un autre univers. » 

Ceinture noire de taekwondo, elle a découvert le MMA (Mixed Martial Arts) grâce à Tevi Say, pionnière française de la discipline. Une révélation pour Marie Loiseau, qui a choisi, depuis, de reprendre le flambeau.

Combattante pro, elle milite pour ouvrir la pratique afin que les femmes se sentent, enfin, légitimes dans tous les sports. 

Je suis à fond pour féminiser la pratique, notamment dans les sports où on n’attend pas les femmes comme le foot, le rugby… Ça casse les clichés. 

Le physique ne dit rien sur ce que tu es capable de faire en termes de performances. Que tu sois fille ou garçon, tu as besoin d’évacuer la pression, de t’exprimer et ce, quelque que soit le medium.

  • Kim Robitaille : « Mon cœur de sportive bat pour le volley. » 

Passeuse-philosophe de l’équipe canadienne féminine de volley-ball et des différents clubs européens dans lesquels elle officie depuis cinq ans, la québécoise Kim Robitaille joue au volley comme au jeu d’échecs.

Tactique, réfléchie, adaptable, la sportive cosmopolite lance aussi la balle dans le champ des inégalités du sport féminin. 

 Ce qui est beau dans le sport d’équipe, c’est qu’on vit toutes la même chose. On n’a pour ainsi dire pas d’autre choix que de se serrer les coudes et ça soude ! 

L’équipe devient vraiment une deuxième famille parce qu’on vit des moments tellement intenses. C’est ça que j’aime avec le volley et le sport d’équipe, savoir qu’on partage toujours un truc fort.” 

  • Mathilde Rivière : « Pour avoir ma place aux JO, j’ai galéré, mais je n’ai rien laissé passer ! » 

Elle avait failli ne pas voir Tokyo. Handicapée par une sévère blessure au dos, la triple championne de France de lutte avait finalement décroché son billet, début mai, en Bulgarie, pour les Jeux Olympiques japonais.

Une joie immense pour Mathilde Rivière qui ne se laisse pas facilement mettre au tapis. 

 La lutte permet de développer son mental. C’est un sport complet, donc ça procure un bien-être physique et ça apporte une grande confiance en soi. 

Ça apprend aussi beaucoup à respecter son adversaire et nous rappelle les belles valeurs de la vie. 

  • Paty Audebert : « Une fois sur la moto, je fais corps avec elle. » 

Pionnière des courses de motos féminines, championne de France à multiples reprises, Patricia Audebert alias “Paty“ a la moto dans la peau.

À 66 ans, pilote passionnée et innée, la belle blonde n’a jamais eu froid aux yeux (bleus).

 Quand je suis sur une moto, j’ai une totale impression de liberté, je ne pense à rien, c’est comme si j’étais sur une autre planète. Ma team me dit toujours que sur le départ, mon regard change. 

C’est une sensation presque indescriptible. Je n’ai aucune stratégie, je fonce à l’instinct !  

  • Déborah Ferrand : « Pour sauter d’un avion, il faut être un peu dingue ! » 

Militaire de carrière, sportive de haut niveau dans l’équipe de France de parachutisme civile et militaire, la multimédaillée nationale et internationale Déborah Ferrand est une badass des airs.

Fière ambassadrice des couleurs nationales, elle s’envole où bon lui semble, écoutant les signes qui lui viennent de ce ciel qu’elle tutoie depuis vingt ans. 

La prépa mentale fait partie du sport de haut niveau, très peu peuvent s’en passer. Elle aide pour structurer la visualisation, la préparation du saut, les gestes, la gestion de la pression et du contexte. 

Ça aide à chaque moment : quand on n’a pas fait de résultats et qu’on on est en tête de compétition, qu’on se dit qu’il va falloir continuer à décrocher un titre… Moi, je suis extrémiste dans ma pratique donc la gestion du mental m’apprend à être plus régulière.

  • Valérie Garnier : « Le métier d’entraîneur est un chemin de vie. » 

Quatre médailles d’argent européennes, une médaille de bronze aux récents Jeux de Tokyo… En huit saisons, Valérie Garnier a fait de la France une place forte du basket féminin.

Aujourd’hui, si elle quitte son poste d’entraîneur de l’équipe tricolore, elle n’a pas dit son dernier mot. 

Dans mon équipe, j’ai eu des Américaines de très haut niveau, les meilleures Turques, les meilleures Italiennes, la meilleure Biélorusse… Tout ce panache de cultures m’a permis de voir que l’on pouvait faire les choses différemment, qu’il n’y avait pas que notre savoir-faire français. 

Je souhaite à tout le monde, quelque soit son métier, d’aller voir ailleurs comment ça se passe. Je pense que ça fait évoluer dans son domaine. 

  • Marion Haerty : « En freeride, tu n’as de comptes à rendre à personne. » 

 C’est une inépuisable tornade. Après quatre titres de championne du monde de freeride, Marion Haerty a décidé de se lancer un nouveau défi. La rideuse de Chamrousse, passionnée de montagne et de voyages, se testera, cet hiver, sur un nouveau circuit, le Natural Selection Tour avec, pour maître-mot, le plaisir. Encore et toujours. 

 C’était un peu le bordel dans ma vie, il y a eu plein de choses, et quand, en 2017, j’ai décroché le titre de championne du monde, ce n’était pas uniquement pour moi.

Ça a été un combat, mais pas un combat uniquement pour être la meilleure. C’était un titre pour mes parents qui ont vécu un moment très difficile, pour Lionel, pour sa famille… C’était une sorte de revanche sur la vie.

Je me suis dit : « Fuck, ce titre, je vais aller le gagner pour eux ».  

  • Fanny Horta : « Depuis les Jeux, j’ai coupé avec le rugby, j’en avais besoin. » 

Elle a mis un terme à sa carrière à l’issue des JO de Tokyo. Fanny Horta, vice-championne olympique de rugby à 7, en a terminé avec la compétition mais pas avec le terrain.

Engagée dans la commission des athlètes pour Paris 2024, elle ambitionne, à l’avenir, d’accompagner, à son tour, des groupes sur le chemin de la performance et de la réalisation de soi.

 Ce qui est super important dans les Jeux c’est que, à travers le sport, on arrive à véhiculer des messages en faveur de l’épanouissement des athlètes, des messages en faveur du sport. 

C’est un bon moyen pour être entendue, écoutée. Certaines thématiques ont déjà été abordées par d’autres athlètes comme la place du sport dans notre société, à l’école. Je pense aussi au sujet de la maternité. 

Les Jeux, en cela, permettent de sensibiliser les amateurs de sport à des interrogations, des problématiques importantes… 

  • Prisca Vicot : « Il y a eu beaucoup d’obstacles sur ma route de boxeuse, mais je n’ai jamais lâché. » 

Elle a connu un parcours tumultueux mais elle s’est toujours relevée. Boxeuse professionnelle, championne du monde en 2018 et 2019, Prisca Vicot est une combattante qu’aucun obstacle n’est parvenu à mettre K-O. 

 Quand j’ai quelque chose en tête, je n’en démords pas. Ma vie, c’était travail-dodo. J’avais une idée fixe : réussir. Il y a eu des moments plus difficiles que d’autres. J’ai souvent donné ma confiance et on en a abusé. 

Il m’est arrivé des trucs de dingue mais je ne peux pas rester sur une situation d’échec. Quand ça ne va pas, je vais voir ailleurs, je rebondis. Je me donne à 10 000 % pour la boxe.” 

  • Aurélie Groizeleau : « Être arbitre, ça endurcit le caractère. » 

Elle est sur tous les fronts. Aurélie Groizeleau, 32 ans, manie le sifflet aussi bien sur les terrains internationaux que lors des rencontres de ProD2.

Professionnelle depuis le mois de septembre, la Rochelaise pourrait, sous peu, relever un nouveau challenge : arbitrer des matches lors de la Coupe du monde féminine de rugby l’an prochain en Nouvelle-Zélande.

 Moi, je suis comme je suis et que ça plaise ou non, peu importe. C’est génétique, on n’est pas au même niveau que les garçons et on n’y peut rien. 

Je travaille beaucoup dessus car c’est une de mes craintes : je ne veux pas que l’on puisse me dire que je n’ai pas le même niveau physique qu’un garçon. 

Je n’accepte pas d’entendre : « Mais, oui mais toi, tu es une femme » ou « Pour une femme, c’est pas mal ». Moi, je suis arbitre de rugby et peu importe le sexe, homme ou femme, on est là pour noter la performance, rien de plus. 

  • Alisson Pineau : « Savoir que l’on va laisser une empreinte dans le hand, c’est magnifique. » 

En bleu, elle a tout gagné ! Championne olympique, championne du monde, championne d’Europe, Allison Pineau collectionne les titres sans jamais être rassasiée.

À 32 ans, la meilleure joueuse du monde 2009 veut continuer à écrire l’histoire de sa discipline avec, en ligne de mire, une victoire en Ligue des champions et un ultime sacre olympique à Paris 2024.

Il y a toujours une phase de doute, mais c’est aussi parce que l’on doute que l’on se remet en question. C’est dans le doute que je vais chercher des solutions, que j’essaie de mieux comprendre mon corps, ce dont j’ai besoin. 

J’ai compris assez vite qu’il était important pour moi de me réinventer parce que le hand évolue, que les jeunes générations arrivent et que, si on veut perdurer, il faut aussi savoir remettre certaines choses en cause. 

  • Caroline Ciavaldini : « En escalade, quoi qu’il m’arrive, c’est mon choix et je l’assume. » 

Elle est pétillante, touchante, rafraîchissante, pêchue et on en passe ! Issue de la compétition, Caroline Ciavaldini est devenue grimpeuse outdoor de profession par la grâce d’une rencontre, celle avec James Pearson, son mari. Conversation au sommet avec une première de cordée engagée sur tous les fronts. 

Dans l’escalade, il y a quelque chose d’extraordinaire c’est que, dès que l’on grimpe, on disparaît. C’est un sport tellement complexe, il faut réfléchir où poser ses mains, où poser ses pieds, trouver où est la prochaine protection, passer la corde… 

On ne peut pas penser à autre chose qu’au rocher, je pense qu’il y a une espèce de fusion, de concentration extrême que j’ai adoré et qui est toujours la raison pour laquelle je grimpe. 

Ouverture Charlotte Bonnet...©DR

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