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Margot Lambert et Anne Tran« Pour les Jeux, on ne se fixe aucune limites. »

Margot Lambert et Anne Tran : « Pour les Jeux, on ne se fixe aucune limites. »
Depuis trois ans, elles voient la vie en double. Margot Lambert et Anne Tran, toutes récentes championnes d’Europe de badminton, représenteront la France en double lors des Jeux Olympiques 2024. Une échéance que les duettistes comptent bien mettre à profit pour poursuivre leur belle ascension et continuer à tutoyer les sommets.

Par Sophie Danger

Publié le 21 mai 2024 à 11h35, mis à jour le 21 mai 2024 à 11h42

Vous avez baigné toutes jeunes dans le badminton. Margot, toi tu as commencé à 8 ans, à Tahiti, où tes parents, professeurs d’EPS ont été mutés

Margot - C’est exactement ça. À Tahiti, mes parents avaient des amis qui pratiquaient le badminton et on en faisait avec eux mais ce n’était pas le seul sport que nous pratiquions. À côté du gymnase, il y avait aussi un terrain de foot, un terrain de tennis et il nous arrivait, parfois pendant des semaines, de ne pas jouer au bad.

Peu à peu, nous nous sommes néanmoins mis à y jouer de plus en plus. Durant ces premières années de pratique, je n’avais pas à proprement d’entraîneur. J’étais dans un petit club, c’était plutôt du jeu libre dans un gymnase un peu douteux avec des aération au plafond. J’ai malgré tout commencé mes premières compétitions là-bas, j’étais surclassée parce que j’étais la seule de mon âge, sur l’île, à faire du badminton.

Ce n’est qu’en rentrant en France que j’ai véritablement commencé à m’y mettre sérieusement  

©Badminton Photo/Yohan Nonotte

Anne, tu as 2 ans lorsque tu touches ta première raquette et tu débutes réellement à 6 ans. Là aussi, il faut chercher du côté de tes parents pour trouver le lien : ta maman est vice-présidente de la section badminton du Racing Club de France et ton père entraîneur de badminton. C’était difficile de ne pas tomber dedans ? 

Anne Au début, je traînais beaucoup dans les gymnases où je suivais mes parents mais je n’aimais pas forcément le badminton, peut-être parce que j’en voyais trop. C’est plus la compétition qui m’a fait m’y intéresser vraiment : j’y retrouvais le même groupe d’amis et peu à peu, je me suis prise d’amour pour ce sport et j’ai aimé continuer à le pratiquer.  

©Badminton Photo/Mikaël Ropars

Vous avez grandi dans des familles de sportifs, le sport, ça représentait quoi pour vous ?

Margot – Il est clair qu’avec deux parents professeurs d’EPS, j’ai toujours baigné dans ce milieu-là. Pour ma part, j’ai toujours été très active et, grâce à mes parents, j’ai pu toucher à tout : à la maison, on avait tous les ballons de tous les sports, je jouais même au hockey sur gazon, j’ai fait de la danse tahitienne à Tahiti…

Pendant longtemps, j’ai aussi pratiqué le basket. Quand nous sommes partis en Polynésie, ça a baissé en intensité car, là-bas, les entraînements n’étaient dispensés que le samedi matin et il n’y avait jamais de matches. J’ai arrêté au bout de deux ans et je n’ai repris qu’en rentrant en Métropole.

À ce moment-là, je faisais aussi du bad, j’enchainais les entraînements dans l’une et l’autre discipline mais, quand j’ai vraiment commencé à progresser en badminton, il est devenu difficile de faire les deux et j’ai décidé d’arrêter le basket.    

Anne - Mes parents m’ont toujours inscrite à beaucoup d’activités et ce, depuis toute petite. Tous deux sont des migrants, ils sont arrivés du Vietnam lorsqu’ils avaient 14-15 ans et je pense qu’ils voulaient me donner cette enfance qu’ils n’ont pas eue en m’offrant la chance de pouvoir pratiquer diverses activités en parallèle de ma scolarité.

J’ai fait de la musique, de l’équitation… J’ai vraiment touché à plein de choses, plein de sports – des sports individuels toujours – jusqu’à ce que je rentre en sport-études en 4e.

©Badminton Photo/Lucas Noyon

C’est à ce moment-là que le badminton commence à prendre plus d’importance dans ta vie ?

Anne - Avant même de rentrer en sport-études, je commençais à m’entraîner plusieurs fois par semaine avec un groupe de compétiteurs au sein du Racing. Ça a commencé à devenir assez sérieux pour moi deux-trois ans avant le sport-études.

L’entrée en sport-études a été un gros changement parce qu’à partir de ce moment-là, j’ai eu des entraînements quotidiens, l’école aménagée… Le stade d’après a été mon entrée à l’INSEP qui a été le dernier cap vers la professionnalisation de ma carrière. 

Margot Moi, c’est un peu différent. Je suis entrée en sport-études en 1ere, beaucoup plus tard qu’Anne. J’ai eu la chance que le club de ma ville soit assez développé : on était plusieurs jeunes à nous entraîner, nous avions des coaches et je pense que le club s’est un peu développé avec nous afin de nous permettre de nous entraîner le plus possible.

La dernière année, j’avais quand même des entraînements tous les jours voire deux fois par jour. J’ai arrêté le basket en seconde mais avant ça, je partais déjà beaucoup en compétition, en stage, mais comme j’étais meilleure en badminton, c’est cette discipline que j’ai choisie.

©Badminton Photo/Lucas Noyon

Anne, tu intègres l’INSEP à la rentrée de septembre 2013, tu as 17 ans et tu fais partie de l’équipe de France qui remporte l’argent des Europe juniors la même année. Tu dis que c’est l’un des plus beaux souvenirs de ta carrière. Pourquoi ? Parce que ça valide un début de parcours, un avenir ?

Anne - L’année qui a précédé les Championnats d’Europe, on avait fait une très belle saison avec mon partenaire de l’époque, Bastian Kersaudy, on gagnait beaucoup sur les circuits jeunes, on faisait souvent des finales, des demies.

Les Championnats d’Europe ont été un peu la consécration de cette année. On avait une équipe vraiment solide, très soudée, il y avait déjà eu une médaille de bronze avant et là, c’était notre première finale par équipe. Le résultat était très bon et le souvenir aussi parce que, quand on est jeune, il y a toujours cette petite part d’amusement en plus, cette petite part de fun : on ne réalise pas forcément tout ce qui se passe, on n’est pas encore véritablement dans le monde pro.  

Production ©Magnitude Films

Pour toi, Margot, l’INSEP c’était il y a sept ans mais tes premiers pas en équipe de France c’est en 2012, avec une première médaille de bronze dès 2015 aux Europe

Margot - Je suis rentrée en Métropole en 2011. J’ai d’abord intégré une filière sport-études au pôle France de Talence où je suis restée deux ans. Je ne faisais plus de basket mais je pratiquais malgré tout deux disciplines en badminton, le simple et le double. Puis, on m’a proposée de rentrer à l’INSEP en double, ce que j’ai accepté. Ça fait désormais sept ans que je suis ici et, petit à petit, mon projet s’est professionnalisé 

Vous êtes toutes les deux spécialistes du double. Margot, ce choix a été fait pour toi mais est-ce qu’il te convenait totalement ?  

Margot J’aimais beaucoup les deux disciplines mais le double me convenait peut-être plus car je suis une joueuse plutôt explosive et j’aimais beaucoup défendre. Quand on m’a proposé l’INSEP en double, je n’arrivais pas vraiment à faire un choix et là, le choix a été fait pour moi, j’ai foncé.  

Anne - En ce qui me concerne, le double a toujours été l’un de mes tableaux favoris. J’ai toujours aimé le fait d’être à deux sur le terrain, le partage, c’est un aspect du sport qui m’a toujours plu.

Contrairement à Margot, lorsque je suis entrée à l’INSEP, mes entraîneurs voulaient que je continue le simple. J’en ai fait quelques années et puis, je me suis peu à peu tournée à la fois là où me portaient mes préférences et vers le tableau dans lequel j’excellais le plus. Par rapport au simple, le double correspond plus au type de jeu que j’aime jouer.

©Badminton Photo/Yohan Nonotte

Comment ça se construit une paire et qui fait les choix ? Est-ce que ce sont les affinités qui priment, les jeux qui se complètent…

Margot - C’est un peu tout ça à la fois. Après les Jeux de Tokyo, Émilie Lefel, la partenaire d’Anne, a pris sa retraite et les paires ont été reformées. Les coaches nous ont demandé notre avis, nous devions donner un Top3 de nos préférences par rapport à toutes les joueuses françaises. Par la suite, c’est à eux qu’est revenue la décision mais je pense qu’ils ont vu quavec Anne on pouvait être une paire plutôt complémentaire et ils n’ont pas vraiment eu tort. 

Anne - Clairement.  Ce sont les coaches qui ont pris la décision finale et ça a été un très bon choix.

©Badminton Photo/Mak Chiu Wo

Anne, lorsqu’Émilie, avec qui tu remportes notamment l’argent européen en 2018, une première pour le double dame français, met un terme à sa carrière, est-ce que tu as pensé, toi aussi, arrêter ?

Anne - J’avais 24-25 ans quand Émilie a pris sa retraite, j’étais encore assez jeune à cette époque et je ne me voyais pas du tout arrêter si tôt. Émilie et moi, ça a été un partenariat assez dur, il y a eu beaucoup de hauts et de bas et, finalement, j’étais assez contente de repartir sur un nouveau projet.

Je pense que ça faisait pas mal de temps que l’on jouait ensemble toutes les deux, on a tout traversé ensemble et on sentait que l’on commençait à s’essouffler. Et puis, Émilie a commencé à songer à prendre sa retraite mais elle a dû revenir parce que les Jeux de Tokyo ont été décalés d’un an, ça a été difficile pour elle.

Moi, de mon côté, je sentais que l’on était arrivées au bout de notre partenariat et le fait d’en commencer un autre m’a fait du bien, ça a été un bol d’air frais et ça m’a permis de me remotiver, de me relancer sur d’autres objectifs.

©Badminton Photo/Mak Chiu Wo

En ce qui te concerne Margot, tu as longtemps été associée à Vimala Hériau jusqu’en 2021. Qu’est-ce qui a mis fin à ta collaboration avec Vimala ?

Margot - La raison de la fin de notre duo c’est que Vimala ne pouvait plus continuer le badminton en raison d’une maladie (Vimala souffre d’une spondylarthrite ankylosante qui provoque des inflammations chroniques dans les articulations, Ndlr).

©Badminton Photo/Lucas Noyon

Comment avez-vous réagi quand vous avez appris que vous alliez évoluer ensemble ?

Margot - Moi, j’étais contente. Ça faisait quelques années que j’étais à l’INSEP, Anne un peu plus. Je savais qu’elle avait beaucoup plus d’expérience que moi et le fait de pouvoir lui être associée était une belle opportunité pour la suite. 

Anne J’ai assisté à l’évolution de Margot depuis le moment où elle est arrivée à l’INSEP, cest ce qui m’a donné envie de débuter ce nouveau projet avec elle pour faire de belles choses ensemble.

©Badminton Photo/Yohan Nonotte

Vous débutez ensemble en 2021, le début d’une olympiade non pas de quatre mais de trois ans. Un an de moins pour créer une alchimie qui doit vous mener à Paris en 2024, ce n’était pas stressant ?

Margot – Quand une paire est associée, les débuts c’est souvent du très haut : tout va bien, on joue bien et c’est à force de passer du temps ensemble que l’on commence à rencontrer des bas, des difficultés que l’on arrive à surmonter à force de travail pour évoluer ensemble. Trois ans au regard de tout ça, c’est court mais pas autant que ça pourrait paraître.  

Anne - On ne se rend pas compte mais trois ans, c’est assez long, un temps idéal pour bien construire la paire, bien se connaître, travailler le mieux possible ensemble. Au final, on côtoie tous les joueurs de double de l’équipe de France et on se connaît quand même assez bien les uns et les autres. Je me souviens qu’avec Ronan Labar, nous avions commencé juste avant la qualification olympique, ce n’était pas idéal et nous étions complètement dans le rush mais parfois, on sait que tout peut changer au dernier moment.

Je pense que quand on a commencé avec Margot, on ne se mettait pas cette pression de se dire qu’il fallait absolument que l’on aille aux Jeux. À nos débuts, c’était plus une question de découverte, savoir comment ça allait fonctionner entre nous et ça a très bien commencé puisque la première compétition que l’on dispute ensemble, on la gagne.

©Badminton Photo/Yohan Nonotte

Vous commencez à recueillir le fruit de votre travail en 2023 avec l’argent européen en équipe mixte et le bronze en double. Vous vous y attendiez ou c’est arrivé plus tôt que prévu ?

Anne - Je dirais que sur le mixte, on a toujours eu une équipe qui montait en puissance d’année en année et je pense que l’argent était assez légitime. Aux Jeux européens, on était tête de série 3 ou 4 et on visait cet objectif. Quoi qu’il arrive, décrocher cette première médaille européenne ensemble, ça nous a donné de la confiance et l’envie d’aller plus haut. 

Margot – Pour ce qui est de la compétition par équipe mixte, nous sommes passés pas très loin de l’or, la médaille est clairement légitime. Pour le reste, c’était ma première médaille européenne en individuel, c’était aussi un petit avant-goût de tout ce que ça implique pour aller chercher encore mieux la fois d’après. 

Mieux, c’était cette année. En avril dernier, vous devenez championnes d’Europe du double dames à Sarrebruck en Allemagne, en dominant les sœurs bulgares Gabriela et Stefani Stoeva, triples championnes d’Europe en titre, en finale. Coup double, vous décrochez le titre et une qualification pour les Jeux Olympiques de Paris, ça n’était pas arrivé depuis 1992 et la paire formée par Virginie Delvingt et Christelle Mo. Comment avez-vous vécu ce moment ?

Anne - C’était extraordinaire à double titre. Tout d’abord, parce que tous les voyants étaient au vert et que tout s’est bien passé suivant le meilleur scenario possible, ensuite parce qu’on avait annoncé qu’on voulait le titre et que nous avons confirmé sur le terrain.

L’avoir dit et le faire a été une grande fierté d’autant plus que l’on a décroché la qualification olympique. On termine de la meilleure façon qui soit. Tout cela était incroyable et, en même temps, on était à notre place et c’était une grande fierté de l’être.   

 Margot – C’était formidable, c’était beaucoup d’émotions aussi parce qu’on a beaucoup travaillé ces dernières années et que ça n’a pas forcément été tout le temps facile. Là, sur la fin d’année et la fin de la qualif olympique, nous avons vraiment haussé notre niveau de jeu.

On est arrivées aux Europe en confiance, en étant bien préparées, on savait quel était notre objectif, on l’a annoncé et on savait qu’on avait les moyens de l’atteindre. Arriver sur la compétition, finir cette période de qualification olympique par un titre aux Championnats d’Europe, c’était fantastique.

©Badminton Photo/Yohan Nonotte

Vous évoquez des hauts et des bas. Une paire fonctionne un peu comme un couple, est-ce que travailler à deux demande plus d’efforts que lorsque l’on est soliste ? 

Anne – C’est exactement ça, quand on joue en double, on est un couple : on est tout le temps ensemble, on s’entraîne ensemble, quand on est en compétition, on mange ensemble, on dort ensemble, on vit ensemble en somme.

Avec Margot, nous avons deux caractères différents et il faut réussir à faire en sorte qu’ils matchent ce qui signifie travailler notre communication, être transparentes dans ce que l’on veut dire, être honnêtes, bienveillantes, autant de choses que nous avons beaucoup travaillé depuis deux ans avec un préparateur mental qui nous a fait énormément de bien. Nous avons également beaucoup travaillé chacune de notre côté pour faire en sorte que notre duo fonctionne et c’est aussi pour cela que nous sommes assez fières de tout ce travail que nous avons entrepris toutes les deux. 

Margot - Anne a tout dit !     

Cette qualification olympique, vous l’espériez et elle est à vous. Les Jeux olympiques, ça représente quoi pour chacune d’entre vous ?

Margot – Au badminton, les Jeux, c’est une compétition super importante, il n’y a que l’élite qui y est conviée. En double, c’est encore plus restrictif puisqu’il n’y a que 16 paires qualifiées. Le fait d’en faire partie c’est tout simplement fantastique, et comme en plus les Jeux se déroulent à Paris, il était difficile de rêver mieux. 

Anne – Avant la qualif, avec Margot, on s’était fixé une moyenne de 4 000 points et, avec ces points-là, il fallait des résultats. Au final, le niveau de la qualif’ a été beaucoup plus élevé que ce que nous pensions avec un nombre de points largement supérieurs à 4 000. Par rapport à ce que nous nous étions imaginées, la qualification a été beaucoup plus dure mais nous avons réussi à hausser notre niveau pour atteindre des critères que nous ne nous étions même pas fixés nous-mêmes.

Quand j’y repense, je me dis que c’est incroyable d’être passées largement au-dessus de nos objectifs, d’avoir fait beaucoup mieux. Être qualifiées aux Jeux est une immense fierté. Nous avons cette envie de montrer que nous serons prêtes pour cette échéance, prêtes à donner le meilleur de nous et, pourquoi pas, aller taquiner les meilleures mondiales pour chercher le meilleur résultat possible.

©Badminton Photo/Yohan Nonotte

Annoncer vos objectifs vous a porté chance, ce sera quoi pour les Jeux Olympiques ?

Margot– Pour les Jeux, on ne se fixe unique limites !  

Anne – Je suis d’accord, C‘est compliqué de l’annoncer quelques jours longtemps avant les Jeux mais on va faire de notre mieux pour être au meilleur de notre forme, continuer à monter en puissance. On va se préparer comme des dingues ! 

Ouverture ©Badminton Photo/Mikaël Ropars

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