Clara : « Le sport dans ma vie, c'est à la fois une question d'équilibre et de challenge. »29 ans, senior data analyst, adepte des sports outdoor

Clara : « Le sport dans ma vie, c'est à la fois une question d'équilibre et de challenge. »
Des étoiles plein les yeux quand elle parle de ses dernières escapades sportives, Clara est un concentré d’énergie et de passion. Son goût de l’aventure et du dépassement la mène vers les plus hauts sommets et les plus belles routes, du ski de rando au vélo en passant par la course à pied. Le sport pour se sentir vivante !

Propos recueillis par Claire Bonnot

Publié le 10 octobre 2025 à 10h35, mis à jour le 10 octobre 2025 à 12h22

« Quand j’étais petite, j’étais hyper active. Apparemment, j’étais infatigable : je courais, sautais, je n’arrêtais jamais. Je suis toujours comme ça aujourd’hui. Comme mon père avait la bougeotte lui aussi, il m’emmenait partout avec lui. Pour ma mère, c’était la même chose. Elle a été éduquée au sport, à l’escalade, à la marche. Donc en famille, le week-end, on était toujours dehors (même s’il fallait tirer mon petit-frère, beaucoup plus casanier !) : vélo, trottinette, rollers, le samedi, et rando-pique-nique le dimanche, dans les Calanques ou à la Sainte-Victoire, autour de notre ville, Marseille.

J’ai débuté les cours de sport à proprement parler avec la danse classique. J’en ai fait jusqu’en Seconde. C’était vraiment du loisir, je n’ai jamais voulu être danseuse étoile. C’était juste une occasion pour me défouler… jusqu’à ce que j’atterrisse dans une école où on nous mettait beaucoup trop la pression, où toutes les filles ne pensaient qu’à leur physique. J’avais l’impression d’être grosse alors que j’étais déjà en pleine crise d’adolescence. Du coup, j’ai arrêté la danse. Je me suis mise à la course à pied avec ma mère mais vraiment en mode tranquille, à la gym suédoise aussi… C’était vraiment juste pour faire de l’activité physique.

©Antonin Verley

Quand je me suis retrouvée en prépa scientifique, je n’ai pas fait beaucoup de sport. Et alors, en école d’ingé, quasiment pas, à part un peu de course à pied, toujours, et un peu de ski. Après, de toute façon, dans ma famille qui est marseillaise avec des origines corses, le sport, c’est quasi-culturel : mon grand-père corse, qui était parachutiste dans l’armée, a fait pas mal d’alpinisme, il a été au Club Alpin lui aussi… donc, j’ai ça dans le sang, on peut dire. C’est avec lui que j’ai fait mes premiers sommets alors que j’avais vraiment peur du vide. J’ai même fait le GR20 avec lui.

Mais mon côté très sportif, c’est arrivé récemment. Il y a trois ans environ, après une rupture, mais aussi grâce à mon entourage. Mes amis commençaient à se mettre à la course à pied (le Marseille-Cassis), à faire du vélo de route (au début, je pensais que c’était un truc de vieux), à faire du triathlon… Et moi, j’avais toujours voulu pratiquer le ski de rando. Là, j’avais toute la liberté de m’y mettre. C’était le moment. Je me suis donc inscrite au Club Alpin Français. Quand je vois le chemin parcouru trois ans après, c’est fort : je fais des sorties sur glacier maintenant, je mesure la progression, je n’ai plus peur. J’ai réalisé l’un de mes rêves !

©DR

En fait, j’aime ressentir l’adrénaline du projet qui fait un peu peur, mais qui te tente. Ça a été un peu pareil avec le vélo. Je me rappelle que tout a commencé lors d’un week-end de pont, en 2022, pour lequel je n’avais rien prévu. Je ne trouvais plus aucun train pour m’évader quelque part, alors je me suis dit que j’allais prendre mon vélo et faire un itinéraire que j’avais repéré pour aller en Normandie. Ça a vraiment été l’aventure parce que j’ai failli faire du bivouac en pleine nature et puis finalement j’ai trouvé une chambre d’hôtes à la dernière minute. C’était excitant de ne pas savoir où ça allait m’amener, à quoi j’allais me confronter. Quand tu passes l’étape psychologique de te dire « j’ai réussi à faire ces trucs-là, ce n’était pas si difficile », tu te rends compte que tu peux vraiment faire plein de choses et tu continues…

Comme c’est quelque chose que je cherche à partager en couple et que j’ai aussi envie de me créer de nouveaux cercles d’amis, je me rapproche de plus en plus de gens qui aiment le sport. Avant, j’étais du genre à pas mal sortir en soirées. Maintenant, j’accompagne des amis qui courent le lundi soir. De fil en aiguille, je rencontre du monde : dernièrement, une fille du groupe m’a proposée de m’inscrire à un trail à Marseille, je ne connaissais pas ses potes, j’ai dit oui. Le sport, c’est vraiment un super moyen d’agrandir ton cercle sans avoir l’impression que tu t’incrustes. C’est beaucoup plus ouvert qu’en soirées. Pas simple de dire : « Coucou, je viens boire un verre avec vous ! ».

©DR

J’ai remarqué que lorsque je suis célibataire, je me remets à fond dans des projets sportifs. Ces phases-là sont souvent l’occasion pour moi de réfléchir à des projets qui me plaisent, des trucs que je ne ferais pas forcément si j’étais en couple. C’est comme ça, par exemple, que je me suis inscrite au Club Alpin Français. J’ai pu faire du ski de rando, l’un de mes rêves sur ma to-do list sportive ! Moi, ce qui me motive actuellement, ce n’est pas d’acheter un appart ou d’avoir des enfants, c’est plutôt d’avoir des perspectives d’aventures en pleine nature. Je veux me dépasser, faire quelque chose où je puisse me dire après coup : « Wahou, j’aurais jamais pensé réussir à faire ça ! ». En gros, j’aimerais avoir une famille, mais sans rogner sur la part d’aventures.

Je pense que je me suis lancée dans ces aventures sportives pour le côté FOMO (Fear of missing out soit la peur de rater quelque chose, Ndlr), je n’ai pas envie d’avoir des week-ends classiques, donc je me prends ma dose d’aventures, en quelque sorte. Je me sens vivante ! Quand, par exemple, je suis sur mon vélo, au soleil, et que je vois les prés défiler, je profite à fond, je suis dans l’instant présent, ce qui est assez rare dans la vie de tous les jours. Le fait d’être seule aussi est important, tu es un peu dans un état de méditation ; en plus au milieu des éléments naturels, il n’y a pas mieux. Quand je suis en sortie de skis de rando avec des gens ou en randonnée, finalement, je suis pas mal dans mes pensées, je suis avec moi-même. Mon cerveau décroche. Ça aide vraiment à couper.

©DR

Par exemple, je me souviens qu’avant de passer plusieurs entretiens d’embauche, je m’étais organisée un week-end en montagne : quand tu es en refuge,  tu déconnectes complètement. C’est la meilleure façon de décompresser et d’arriver serein. J’ai résumé ça sur mon Instagram : « Le ski de rando c’est le goût de l’effort, le cœur qui bat fort, la peur des avalanches, le vent vivifiant, la résistance au froid, le rythme méditatif, l’euphorie du sommet, la contemplation, l’adrénaline de la descente, les cuisses qui brûlent, le sentiment de liberté, la chaleur du refuge
En un mot c’est se sentir vivant. »

En plus de la recherche d’équilibre, de bien-être et de sociabilité, le sport, pour moi, a aussi le goût du challenge. J’ai envie de progresser, d’aller plus loin. Je suis plus en compétition avec moi-même qu’avec les autres. Depuis trois ans, je fais les choses à fond. Et je ne me pose jamais la question de si j’ai envie ou pas. Si j’ai prévu d’aller courir tel jour, je le fais. Rien ne me détourne de mon objectif. Et surtout en « prenant de l’âge ». Avec mes amis, on arrive sur nos 30 ans, et, malgré tout, ça joue beaucoup. Dans mon entourage proche, tout le monde a arrêté de boire et de sortir en soirées le weekend. Le mood maintenant, c’est trail, rando, ski. Donc, forcément, ça pousse à s’y mettre aussi. Ça paraît plus sain comme mode de vie mais il peut aussi y avoir des dérives : quand tu es embarquée dans ce tout-sportif, tu te poses moins la question de savoir si tu es fatiguée ou si ton corps va bien. Tu fonces !

©DR

Par exemple, j’ai été blessée en mars dernier au cours d’un séjour surf à Biarritz. Je me suis retournée le coude à vélo, j’y avais accroché ma planche, c’était beaucoup trop lourd. La douleur a été intense mais après, c’est passé. Et je me revois revenir au bureau et rigoler de l’anecdote avec mes collègues en leur disant : « J’ai un gros bleu ». Et j’ai continué à faire du sport. Pourtant, au fond de moi, je savais que c’était pas hyper raisonnable. J’ai quand même fait une IRM. Et là, bam, le médecin me dit qu’il faut que j’arrête le sport pendant trois semaines ! Je me suis mise à pleurer. J’avais des vacances en Corse avec ma famille juste après pendant lesquelles j’avais prévu de faire du vélo, de la planche à voile, et aussi un séjour de ski de rando à venir…

Ma réaction était quand même un peu démesurée : en plus, je n’avais rien de très grave. Il me fallait juste un peu de repos. C’est à ce moment-là que je me suis posé la question de mon rapport au sport. Depuis environ quatre mois, après ma rupture, je passais tous mes weekends à en faire, j’étais quasiment droguée à ça. En tous cas, je mettais toute mon énergie là-dedans. Donc, je me suis retrouvée dans une sorte de vide : qu’est-ce que j’allais faire sans le sport ? Le problème, c’est qu’en continuant, je pouvais me faire vraiment mal. Donc, il faut savoir doser.

©DR

Après, ce qui a été dur pour moi, c’est que j’ai eu l’impression d’être seule au monde dans cette épreuve. Moi, j’étais en mode drama, alors que lorsque je parlais à des gens qui avaient été blessés, ils me disaient juste : « J’ai appris à être patient, j’ai appris à relativiser ». Moi, j’avais besoin d’entendre des gens dire que ça les mettait à terre comme moi. J’ai commencé à chercher des infos sur le sport et le mental. Je ne savais pas quoi taper sur les moteurs de recherche parce que souvent c’est le sport qui fait sortir de la dépression, moi, c’était lui qui me créait le problème. En gros, je n’ai pas le mental « du négatif », mais j’ai à fond le mental du positif : s’il faut aller courir à 3 heures du matin, je vais y aller. En revanche, si je ne peux pas y aller, je ne vais pas savoir gérer ma frustration. Sur le Marseille-Cassis, j’ai réalisé un moins bon temps que l’année d’avant et j’ai été extrêmement frustrée. J’ai le mental pour performer mais pas celui pour gérer une déception. Je n’arrive pas à accepter le fait d’être « moins bonne ». C’est quelque chose que j’ai envie de travailler. Je ne sais pas encaisser les coups durs encore.

©DR

En vélo, je n’ai pas peur en étant seule car je peux filer. En rando, ce ne serait pas la même chose, je ne l’ai jamais fait. Mais récemment, alors que je traversais le Morvan à vélo, dans un bistrot où je venais prendre un coca, une mamie m’a dit : « Avec tous les gens bizarres qu’on peut croiser, vous n’avez pas peur, comme ça, une femme seule ? ». Et je me suis rendu compte que je ne m’étais même pas posé la question. Je pense que lorsque tu ne projettes pas la peur, elle n’advient pas. Après, il ne faut pas être naïf non plus. Mais bon, je pense que l’état d’esprit dans lequel tu pars est important.

J’ai quand même peur en montagne car il y a un vrai danger. Notamment, les avalanches. Je me suis beaucoup renseignée là-dessus. J’y pense un peu tout le temps quand je suis là-haut. Quand je pars en ski de rando, en plus de tout le matériel de sécurité, j’ajoute un sac airbag. Au contraire de pas mal de mecs en mode aventure qui sont un peu têtes brûlées, moi, je ne suis pas du tout dans cette perspective. J’ai été habituée à m’entraîner avec plus de mecs que de filles, notamment pour la course à pied. Et j’aime bien cette ambiance : les choses sont plus facilement dites. Parfois, en weekend sportif ou en séjour avec le CAF, je peux être avec que des mecs mais ça ne me dérange jamais, je ne me sens pas en minorité. En plus, dans ces cas-là ou s’il y a peu de filles, ils te considèrent vraiment comme une égale. On est dans le même bateau et ça fait du bien. Mais l’ambiance est super aussi entre filles, je trouve qu’on n’est jamais dans la compétition.

©DR

Quand je suis partie en vélo pour la Normandie en 2022, j’avais un équipement de base. L’année d’après, j’avais déjà un vélo un peu mieux. Et ainsi de suite. Mais je continue à ne pas me sentir légitime, surtout quand je rencontre des gens qui sont des ultras de vélo. Récemment, en allant prendre le train suite à un week-end à vélo, je me suis retrouvée sur la route avec un gars qui avait fait un ultra quelques semaines avant, soit 1400 kilomètres de traversée de l’Espagne. Du coup, je lui ai tout de suite dit que j’irai moins vite que lui. Il a eu beau me dire qu’on roulerait tranquillement, ça a été hyper dur ! Je me suis vraiment donnée à fond tout le long. J’ai réussi à le suivre jusqu’au bout et on a eu le train. Victoire ! J’étais trop fière. Résultat : il y a toujours plus fort que toi, mais ça te pousse à progresser.

J’écris beaucoup sur ce que je vis. Ça m’aide à faire le point sur mes avancées. Quand tu te relis trois ans après, tu te rends compte du chemin parcouru, que ce qui te paraissait impossible a été surmonté. Tu l’as fait ! Et ça invite à repartir à l’aventure. »

©DR

  • Pour suivre l’infatigable Clara dans ses aventures entre mer, montagnes et routes, c’est par ici @chiara_psc

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