Charline Picon« La planche à voile, c’est clairement ce qui m’a construit. »
Apaisée, combative, imprévisible aussi. La véliplanchiste Charline Picon, championne olympique en titre depuis Rio, en 2016, médaillée d’or pour la 5e fois aux Championnats d’Europe, ce samedi au Portugal, vogue désormais vers Tokyo 2021. Car cette reine de la glisse n’a pas pris sa dernière vague et éclabousse tout sur son passage. Nous l'avions rencontrée en décembre dernier, avant qu'elle ne fête cette nouvelle victoire, l'occasion de la mettre de nouveau en avant. Car cette sportive en a des choses à dire ! Et à partager.
Par Claire Bonnot
Publié le 15 décembre 2020 à 18h55, mis à jour le 12 août 2024 à 16h48
Tu es aujourd’hui multi-médaillée en planche à voile, tu viens d’ailleurs de décrocher la médaille d’or aux Championnats d’Europe, pourquoi as-tu choisi de te jeter à l’eau pour ce sport ?
Il faut remonter à l’école primaire ! J’habitais en Charente-Maritime et on faisait des sorties de voile. J’ai aussi eu la chance de découvrir ce sport pendant une semaine de découverte et j’avais vraiment accroché !
J’ai alors voulu m’inscrire dans un club pour continuer à faire de l’optimiste, mais il y avait déjà beaucoup trop de monde… On m’a alors proposé de faire de la planche à voile !
Et ça t’a tout de suite plu ?
Oui, ces sensations de glisse et de liberté ! Et puis, tu es au cœur d’un environnement naturel, c’est magnifique de faire du sport dans ces conditions. Aussi, enfant, j’étais de nature assez introvertie et, comme c’est un sport individuel, ça me convenait vraiment bien.
Raconte-nous tes sensations quand tu files sur l’eau…
En compétition, c’est un peu différent évidemment mais, dans tous les cas, que ce soit à l’entraînement ou en compét’, la grande chance qu’on a avec ce sport qui se pratique en pleine nature, c’est que ce n’est jamais pareil !
Même au bout de vingt ans de carrière, je peux dire que je n’ai jamais les mêmes sensations, rien ne se répète car on doit toujours s’adapter à l’environnement. C’est ce qui rend ce sport passionnant et ce qui fait qu’on y prendra toujours autant de plaisir, même si on arrête le haut-niveau, les compétitions.
La planche à voile est un sport passion où on fait le plein de sensations !
Dès tes débuts en équipe de France en 2006, tu enchaînes les médailles : tu es ainsi championne d’Europe en 2013, 2014, 2016, ainsi que championne du monde en 2014, avant de remporter le fameux titre olympique en 2016… Tu peux nous décrypter une compétition olympique de planche à voile ?
Comme toute la voile olympique, c’est de la régate. En planche à voile, on a quatre jours de courses : chaque jour, on fait trois courses que l’on appelle des manches. Une manche dure environ vingt minutes.
On part tous en même temps, on effectue un parcours autour de bouées et le premier qui passe la ligne d’arrivée marque un point, le deuxième, deux points etc. Celui qui a le moins de points à la fin gagne la compétition.
Ton point fort, c’est quoi ?
Moi, globalement, c’est la glisse. En fait, il y a deux types d’athlètes dans ce sport, ceux qui ont plus besoin de travailler, de passer du temps à peaufiner leur glisse, et ceux pour qui c’est instinctif.
C’est vrai que je suis plus dans la deuxième catégorie. Alors, je ne sais pas si c’est inné chez moi ou si c’est parce que j’ai commencé à naviguer très jeune, que j’ai pratiqué beaucoup de sports de glisse, ski, surf…
Je suis quelqu’un de très sportif en général. D’ailleurs, la préparation physique me prend quasiment plus de temps que l’activité sur la planche !
En 2012, lors des JO de Londres, tu termines à la 8e place de l’épreuve de RS:X, un résultat décevant qui t’amène à te remettre en question. Tu aurais alors hésité à reprendre la compétition. Qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis, qu’est-ce qui te pousse finalement à toujours retourner à l’eau ?
Oui, on me ressort ça tout le temps ! Ce n’est pas que j’ai hésité, je pense que ça a été mal interprété… Disons que oui, évidemment – même si aujourd’hui, je ne le vis plus comme ça – après un échec aussi important, on s’interroge : « Est-ce que je repars ou pas ? » parce qu’on sait ce qu’il a fallu mettre en place, les sacrifices que ça a demandé, tout ce que ça représente…
Mais cette question est trop vague, on ne peut pas y répondre comme ça. Et c’est là où mon préparateur mental de l’époque m’a aiguillée, en me posant une question plus précise : « Est-ce que tu penses que tu peux faire mieux ? » La réponse a alors été beaucoup plus simple pour moi. J’ai répondu : « Oui, je pense que je peux faire mieux que huitième aux Jeux ! »
Une fois que j’ai eu cette réflexion, je me suis réengagée dans une préparation olympique.
Raconte-nous justement un coup dur qui t’a permis d’opérer une refonte salutaire dans ton parcours…
Je dirais, qu‘en gros, j’ai une longue carrière difficile ! Mais, disons que ma blessure en 2008 lorsque j’accompagnais Faustine Merret dans sa préparation pour les JO de Pékin, n’a pas été simple à gérer. Je me suis blessée à l’épaule et le diagnostic a été très long. Et la suite très compliquée…
Pour l’olympiade de 2012, j’étais censée être la numéro 1, mais les places sont chères et quand il a fallu m’opérer en 2009, les jeunes derrière ont bénéficié de mon absence et donc de ma position. Je me suis aussi retrouvée très isolée, sans news de l’entraîneur pendant toute la période d’immobilisation et de rééducation. Donc, ça a été une période difficile émotionnellement et assez anxiogène.
Après, quand je suis remontée sur la planche, j’ai très vite vu que ça allait le faire. Pourtant, c’était aux Championnats du monde et j’étais plutôt mal partie ! L’entraîneur me dit : « Te démobilise pas, c’est à la fin d’une régate qu’on compte les points. »
Et, contre toute attente, j’ai terminé troisième. Ce fut mon premier podium mondial !
En général, la période d’arrêt est soit très néfaste et peut anticiper une fin de carrière, soit elle est vraiment bénéfique dans le sens où on peut avoir un regain d’énergie. Le fait de ne pas avoir navigué depuis longtemps te donne cette envie que les autres n’ont plus.
Quand on ne s’arrête jamais, on peut parfois ressentir une sorte de lassitude, ne plus ressentir les belles choses avec autant de force. Le fait de parfois couper avec la navigation peut-être vraiment bénéfique.
Et l’un des moments les plus forts de ta carrière ?
Indéniablement, le moment le plus fort, pour moi, c’est la médaille d’or à Rio en 2016 ! J’avais dix ans de très haut-niveau derrière moi, dix ans pour arriver à ça, ma famille sur la plage et un scénario incroyable…
Le dernier jour, la course regroupait les dix premiers du classement. J’étais quatrième après une très mauvaise dernière journée alors que j’avais été toute la semaine sur le podium. J’étais seulement à cinq points de la première, ce qui est peu, mais on était toutes dans un mouchoir de poche…
Et tout se jouait sur cette dernière course de vingt minutes alors qu’on venait de faire cinq jours de courses avant. La tension était telle que l’émotion que j’ai pu vivre en passant la ligne d’arrivée ne sera jamais égalée par quoi que ce soit…
D’une intensité rare, mais tellement court ! Parce que le moment où j’ai commencé à comprendre que j’allais décrocher l’or, c’était vingt secondes avant la ligne d’arrivée, et quand je la passe, je m’écroule d’émotion ! Puis, je me calme, la joie prend le dessus.
Cette émotion pure a duré moins de quelques minutes, mais je n’avais jamais ressenti ça ! Et puis, je revenais de loin, ces Jeux-là, j’aurais pu les gagner plus facilement, j’avais laissé beaucoup de points à mes adversaires…
Le mental est-il décisif pour l’emporter, faut-il le travailler en amont ?
Je crois qu’en tant que sportif de haut-niveau, on a besoin d’être accompagné. J’ai connu dans ma vie, un moment où je n’étais pas forcément très bien dans mes baskets et où j’en ai eu besoin. Mais il faut trouver la bonne personne, celle avec qui on va pouvoir avancer.
Le terme de « préparateur mental » regroupe beaucoup de choses… En fait, il ne s’agit pas seulement de « préparation mentale » parce que c’est aussi un travail de communication avec mes coaches : on est trois, avec mon entraîneur et mon préparateur mental. On aborde aussi bien l’aspect personnel comme préparer l’arrivée de ma fille, que l’aspect technique comme la mise en évidence que le stress est un moteur pour moi.
Aujourd’hui, j’ai trouvé la personne qui me permet de me révéler. Pourtant, la première fois que j’ai rencontré mon préparateur mental, en 2015, je m’étais dit que jamais je ne travaillerais avec lui. Il m’avait scannée en un regard…
Mais justement, j’avais vraiment besoin de quelqu’un qui m’aide à avancer sur des points personnels. Ça a finalement été la bonne personne, arrivée au bon moment, lors de la préparation pour les JO de Rio…
Aujourd’hui, je suis beaucoup mieux, apaisée et c’est grâce à lui. À 35 ans, je sens que j’ai atteint une certaine maturité et je crois qu’avec ce report des Jeux et ce confinement, j’ai encore grandi…
Tu as pris une année sabbatique en 2017 pour donner naissance à une petite fille, qu’est-ce que ce sport t’a apporté dans ta vie de femme ?
J’ai un profil assez compétiteur donc je renais de mes cendres assez facilement ! Et avec ma vie personnelle à gérer à côté, ça se passe vraiment très bien.
Avant, la planche et la compétition étaient mes moyens d’expression. J’étais assez introvertie donc j’existais à travers mon sport. La planche à voile, c’est clairement ce qui m’a construit, oui, le sport pour moi, c’est la plus belle école de la vie !
Alors, évidemment, parfois, il y a des moments très difficiles, il faut faire des choix, il faut s’affirmer, mais on prend confiance en soi… Au final, ça nous construit en tant qu’homme et femme, au-delà de l’athlète. C’est le sport et la compétition qui m’ont forgée.
Le sport m’a offert la capacité d’arriver à m’exprimer et à communiquer. Et je partais de loin… Il était par exemple inimaginable que je puisse parler devant une caméra. Le sport permet l’ouverture d’esprit, de savoir manager un projet…
Aujourd’hui, je monte mon cabinet de kiné et je fais tout de A à Z. Le sport de haut-niveau nous permet d’acquérir des compétences utilisables dans notre vie en général et notre vie future, celle de l’après-sport.
L’après-sport, justement, ça va ressembler à quoi pour toi ?
Avant le report des Jeux, j’avais prévu de faire les JO puis de me consacrer à mon projet d’ouvrir ce cabinet de kiné, même si je n’excluais pas un retour à la compétition pour Paris 2024. Avec ce bouleversement, finalement, j’en ai profité pour m’y mettre plus rapidement que prévu.
Après Rio, je travaillais en tant que kiné en libéral, mais ce n’était pas assez excitant à côté de ma vie de sportive de haut-niveau. Pour ma deuxième vie, en quelque sorte, je voulais trouver quelque chose de plus palpitant.
Avec mon conjoint, kiné lui aussi, on a décidé de monter notre propre structure à La Rochelle. Avec les deux confinements, on s’est enfin lancés, on a pris des risques, mais je suis très heureuse de ce nouveau challenge !
Comme beaucoup d’athlètes, tu ne vis pas de ton sport… ?
Si, moi j’en vis, mais je ne suis pas une athlète professionnelle. Ce que j’entends par athlète professionnelle, c’est quelqu’un qui est payé par un club comme pour le foot, le rugby ou certains sports pros payés par des teams, comme en VTT…
Nous, aujourd’hui, nous ne sommes pas payés par les clubs ; par contre, on a des aides de la Fédération, de l’État, des collectivités et j’ai le soutien de l’armée des Champions. Je perçois un salaire tous les mois depuis 2013. Ça a été incroyable pendant ma grossesse. Je l’ai annoncée après Rio. Il y a donc eu neuf mois hors des compétitions plus le retour… C’était un an où ils me versaient un salaire pour que je vive ma vie de femme. Ce n’est pas donné à tout le monde !
C’était un soutien énorme parce que, du coup, je ne me suis pas posée de questions. Ma Fédération aussi a été super sur ce plan là. Contrairement à une joueuse de handball par exemple qui est dans un club pro, quand on est une athlète en planche à voile, il n’y a pas les mêmes enjeux financiers derrière.
Est-ce que c’est un milieu accueillant pour les femmes ?
Je crois vraiment que j’ai été protégée dans le sens où j’ai souvent été la seule fille parmi les garçons et qu’ils m’ont toujours emmenée avec eux un peu partout comme sur les spots de surf, à la recherche des vagues… Je n’ai donc jamais eu ce sentiment que le milieu était plus dur pour les filles.
Tu as été médaillée d’or aux JO de Rio en 2016 et tu replonges pour ceux de Tokyo en 2021. C’est donc ton prochain défi sportif ?
Je suis, c’est vrai, focus sur Tokyo. Je ne dis pas que je vais défendre mon titre car j’ai déjà eu la médaille d’or en 2016, mais je dis que je vais aller en chercher une deuxième. Ce serait un peu la cerise sur le gâteau, surtout que ce doublé n’a jamais été réalisé chez les femmes dans mon sport !
Ça fait quoi de reprendre la prestigieuse course olympique ?
En ce moment, je me sens bien dans cette voie qui m’amène doucement à ces Jeux Olympiques. Ma médaille d’or aux derniers Championnats d’Europe de RS :X (à Vilamoura au Portugal, du 22 au 28 novembre 2020, ndlr) me met en confiance ! Même si je sais qu’il y a encore une dernière ligne droite à gérer.
C’est une préparation sur le long terme, en fait, et qui se fait en plusieurs étapes. Depuis mon retour de grossesse, en 2018, j’ai tout fait pour revenir au niveau et j’ai essayé de reprendre cette place de leader de la flotte que j’avais suite aux JO.
C’est vraiment depuis mars 2019 que tous les voyants sont au vert pour moi. J’ai souvent fait des deuxièmes places mais là, ça y est, avec les Championnats d’Europe, je me suis prouvée à moi-même et j’ai montré aux adversaires qu’il allait falloir (re)compter sur moi !
J’ai encore un peu de temps devant moi pour développer certaines choses, ajuster des détails, mais il n’y a pas de gros chantiers à mettre en œuvre… Je me suis bien préparée !
J’ai réussi à augmenter mes curseurs techniques depuis ma reprise en 2018. Techniquement, en voile, avec une semaine de compétition, il faut être polyvalent, savoir performer quelques soient les conditions de vent.
Pourtant, les confinements et l’absence de compétition n’ont pas dû beaucoup t’aider !
En tant que sportive de haut niveau, j’ai été privilégiée lors du deuxième confinement puisqu’on a pu continuer à s’entraîner, les structures étaient ouvertes et les compétitions reprenaient. Rien à voir avec le mois de mars où on devait rester chez nous…
J’avais alors installé de quoi entretenir le physique avec l’aide du Pôle France qui nous avait fourni du matériel. Je faisais de la musculation et du cardio à la maison. C’est une période que j’ai réussi à bien gérer dans l’ensemble.
Après les JO de Tokyo, tu te fixes d’autres objectifs ?
Désormais, je fonctionne objectif par objectif. Il y a donc d’abord Tokyo. Après, je ne sais pas quelles opportunités peuvent s’ouvrir à moi donc je ne fais aucun plan à plus long terme.
D’autres athlètes pourraient venir vers moi, par exemple, pour une navigation sur un support double, ça pourrait me brancher ! Pareil pour les JO de Paris 2024, la compétition en planche à voile se fera en foil (iFoil) et non plus en planche à voile RS :X. Je pourrais bien essayer !
Récemment, j’ai annoncé ma grossesse sur les réseaux sociaux. Forcément, je vais adapter mon rythme sportif… mais je ne me suis pas arrêtée de courir lors de mes chimios, je ne vais pas non plus y renoncer maintenant que j’attends un bébé…
Si le temps est à l’enfermement, si l’on se prive des autres, que l’on se coupe de l’extérieur, l’ouverture peut être intérieure. C’est ce que propose ce nouveau podcast via des séances guidées de yoga et réalisé par la yogi Isabelle Morin-Larbey. Un cadeau précieux.
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