Rose Loga « Je veux profiter de l’énergie incroyable qui se dégage des Jeux Olympiques. »

Rose Loga : « Je veux profiter de l’énergie incroyable qui se dégage des Jeux Olympiques. »
Elle a commencé l’athlétisme en club sans grande conviction. Même scénario lorsqu’il s’est agi de se spécialiser en marteau. Contre toute attente, Rose Loga prend part aux Jeux Olympiques parisiens. À 22 ans, la Chartraine de naissance espère y gagner un accessit pour la finale mais aussi et surtout, prendre du plaisir. Rencontre avec une fille qui en jette !

Par Sophie Danger

Publié le 03 août 2024 à 8h14

Tu es athlète mais c’est l’athlétisme qui va venir à toi plutôt que l’inverse. Tu fais tes premiers pas en club en 2011. Tu as 9 ans et l’un de tes éducateurs à l’école a remarqué tes qualités de vitesse. Tu avais déjà pratiqué un sport hors cadre scolaire avant cela ?  

J‘ai toujours fait un peu de sport mais plutôt ce que j’appellerais du multisport. Lorsque j’étais à l’école primaire, dans la ville où j’habitais, des professeurs de sport nous faisaient faire du sport tous les mercredis et ils changeaient de discipline tous les mois.

Avant de rejoindre un club en athlétisme, j’avais, de fait, déjà un peu touché à tout. Le sport, en soi, est quelque chose qui me plaisait mais ce que j’aimais avant tout, c’était cette possibilité qui nous était offerte de découvrir des spécialités différentes et d’en changer régulièrement.

©FFA

C‘est au cours de l‘un de ces fameux mercredis que tu as découvert également l’athlétisme ?

Oui, on en pratiquait déjà en primaire, là encore. À cette époque, nous avions un éducateur sportif qui nous faisait faire du sport avant l’étude, de 15h00 à 16h30. C’est lui qui a vu que j’avais des capacités et qui m’a incitée à me lancer dans lathlétisme. Comme j’aimais déjà ça, je me suis dit que si en club c’était la même chose qu’à l’école, alors ça ne pouvait que m’aller. Malheureusement, ça n’a pas été le cas.

Cette première approche de l’athlétisme en club tourne en effet court rapidement car tu as l’impression que ce sport se résume à faire des tours de pistes or, tu détestes ça.

J‘ai tenu quelques mois quand même, mais je n’ai pas fait une année complète. J’ai commencé en 2011, j’ai arrêté en 2011. Rétrospectivement, je ne sais pas si on ne faisait que des tours de pistes, probablement non, on devait faire plein d’autres choses, mais c’est néanmoins le souvenir que j’en ai gardé.

Dans mes souvenirs, on courait beaucoup et longtemps, ce qui a fait que j’ai vite arrêté car je suis quelqu’un qui n’aime pas trop l’effort et là, il fallait en fournir vraiment beaucoup !

©Instagram

Tu vas oublier l’athlé mais ton éducateur, lui, ne t’oublie pas et il va revenir à la charge lorsqu’il croise ta mère dans les rues de Chartres, la ville où tu as grandi. On est en 2014 et tu acceptes de tenter de nouveau l’expérience en club. Quels sont les arguments qui t’ont convaincue d’y retourner ?

C’est avant tout parce que cet éducateur avait parlé à ma mère or, je ne voulais pas qu’il revienne à la charge à chaque fois qu’il la croiserait. C’est pour ça que je me suis dit que j’allais y aller, pour qu’il me laisse tranquille. Mais, cette fois-ci, ça a été complètement différent de ce que j’avais vécu en 2011.

Moi, ce que j’aimais dans l’athlétisme, c’est ce que l’on faisait à l’école à savoir, du lancer d’anneaux, de vortex, du triple bond, des sauts de haies et, en 2014, lors de cette deuxième tentative en club, j’ai retrouvé ça et j’ai aimé. 

Le marteau vient en 2015, au cours de ta première année en benjamine 2. Comment ça s’est passé ?  

Il y a deux choses, la première c’est que, lorsque l’on est dans cette catégorie d’âge, on doit faire trois épreuves en compétition : une course, un saut, un lancer. Et puis, il y a également le fait que, lorsque l’on est benjamine, on ne fait pas uniquement ce que l’on veut à l’entraînement, on pratique toutes les disciplines et c’est comme cela que j’ai découvert le marteau  

©SNCF

Tu as des prédispositions là encore pour cette discipline mais, pour toi, c’est tout sauf le coup de foudre. Le seul intérêt que tu y trouves, c’est que ça te fait gagner des points aux triathlons en compétition

Oui, même si, quand j’ai commencé l’athlétisme, je n‘aimais pas la compétition. C’est l’une des raisons d’ailleurs qui a fait qu’en 2011, à mes débuts, je n’ai pas pris de licence. Moi ce qui m’intéressait, c’était m’entraîner, le reste, non.

Quand j’ai repris en 2014, ça a été la même chose mais je me suis rendu compte que la compétition était un passage obligé, alors j’y suis allée. J’avais un a priori mais j’ai finalement pris conscience que c’était aussi de l’amusement. J’ai commencé à aimer ça, mais pas pour la performance.

En ce qui concerne le marteau, je pense que j’ai réalisé par moi-même que c’était l’un des domaines dans lequel j’avais le plus de chance de réussir. Et puis, moi qui étais un peu feignante, j’ai bien vu que, quasiment sans rien faire, je progressais et c’est cet ensemble de choses qui m’ont fait me diriger vers le marteau.

J’aimais également beaucoup courir, les sauts aussi mais il faut plus de condition physique, athlétique, que pour le marteau et moi, je n‘aimais pas les entraînements que cela demandait. Dans ma tête, le marteau, c’était arrêter de courir, j’ai choisi la facilité !

©World Athletics

Roger Lefebvre va aussi t’apporter beaucoup. Il est entraîneur dans ton département d’Eure-et-Loir, il te voit lancer et il décide de coacher pendant les grandes vacances, ce qui va changer ton regard sur le marteau

Roger est vraiment celui qui m’a formée. Cet été-là, c’était l’été 2015. Il m’avait vue en compétition en mai il me semble, il avait constaté j’avais des facilités dans le lancer de manière générale. Roger connaissait les éducateurs avec qui j’avais commencé l’athlétisme et c’est ce qui a fait le lien.

Il m’a coachée durant l’été et, en trois semaines d’entraînement, j’ai progressé hyper vite. Avant les grandes vacances, j’étais à 37 mètres, fin aoûtdébut septembre, à 48 ou 49 et j’ai fini en octobre à 56 mètres, ce qui était alors la meilleure performance française des moins de 14 ans 

©Instagram

Tu franchis un nouveau cap en septembre 2017, en intégrant le pôle espoir d’Eaubonne, en Seine-et-Oise. Tu expliques pourtant qu’en arrivant là-bas, tu avais beaucoup d’a priori et notamment des a priori concernant le corps. Tu avais peur qu’une pratique intensive du marteau le transforme.

En ce qui me concerne, je n’avais pas envie d’aller là-bas. Je ne faisais pas de sport pour la performance mais plus pour être avec mes amis et je voulais rester dans ma région. C‘est Roger qui a parlé à ma mère et je pense que, elle non plus, n’avait pas pour projet que sa fille de 15 ans parte de la maison. Elle a finalement accepté car elle a pris conscience que c’était mieux pour ma progression.

C’est vrai que moi, par rapport à cela, j’avais beaucoup d’a priori. Je suis quelqu’un qui n’aime pas trop le changement, y compris le changement physique et je n’avais pas envie de devenir musclée, d’entrer dans des cases, de me plier à des conditions en quelque sorte

Comment as-tu réussi à apprivoiser cette problématique ?

Je m’étais déjà dit en entrant que, si mes coaches se limitaient à la musculation, alors j’arrêterais. L’approche de mon entraîneur, heureusement, a été totalement différente. L’idée, pour lui, n’était pas de dispenser des entraînements spécifiques pour les lanceurs et ça, ça m’a plus. C’est aussi pour cela qu’à partir de ce moment-là, j’ai véritablement commencé à aimer le marteau.

J’ai compris que c’était de l’athlétisme et que, pour pratiquer, il fallait notamment avoir une bonne condition physique.

©Instagram

Cet entraîneur dont tu parles, c’est Baptiste Lacourt et c’est finalement lui qui va te faire définitivement aimer le marteau

Oui. Je suis quelqu’un qui aime beaucoup bouger et, lorsque j’étais cadette par exemple, il avait été compliqué pour moi de me résoudre à ne pratiquer qu’une seule discipline, le marteau. Je m’amusais moins qu’en minime, période durant laquelle je touchais à tout.

Ce renoncement a été un peu dur au début mais je pense que c’est un sentiment par lequel tous les jeunes passent : lorsque l’on doit se spécialiser, il arrive toujours un moment où l’on a envie de faire autre chose que la voie dans laquelle on évolue.

Tu vas commencer peu à peu à truster les premières places. En 2019, tu es championne de France des – de 18, tu es 3e l’année suivante, chez les élites, et puis il y a la saison 2021, saison charnière pour toi : tu es vice-championne de France sénior, vice-championne d’Europe chez les – de 20 ans, et vice-championne du monde chez les – de 20 également. Tu améliores le record de France juniors en passant la barre des 71 mètres. Toi qui es ambivalente en ce qui concerne la compétition et qui a choisi le marteau un peu par défaut, quelle valeur ont ces succès ?

Honnêtement, ils n’en ont pas tant que cela. Plus je grandis d’ailleurs, et plus je me rends compte que ce genre de chose n’a pas forcément de valeur pour moi. Quand je fais quelque chose, je me compare toujours à moi-même et je mets ça en perspective avec mes capacités du moment. Même sil n’y a pas forcément de médaille au bout, ce qui m’intéresse, moi, c’est cette performance-là.

Malgré tout, j’étais contente de décrocher ces distinctions, elles sont le symbole du début de quelque chose mais je persiste quand même à penser que les médailles ont plus d’importance pour les autres, ceux qui m’entourent, que pour moi. Je pense que cela vient aussi de ce rapport particulier que j’entretiens à la compétition, je n’ai jamais été à fond dans la compétition et c’est toujours un peu le cas maintenant.

Ta progression va, par la suite, être freinée. Tu ressens des douleurs aux côtes à partir du mois de novembre qui vont handicaper ta saison 2022. C’était quoi ces douleurs ?

J’ai commencé à avoir une gêne au niveau des côtes et cette gêne a empiré de jour en jour et d’autant d’ailleurs que j’ai été contaminée par le COVID en 2021 et que je toussais. D’un point de vue clinique, il n’y avait pas grand-chose pour expliquer ce phénomène et on n’a jamais vraiment su ce qui m’était arrivé.

On s’est posé des questions relatives à mon état émotionnel en revanche : l’année 2021 avait été très longue, sans réelle coupure pour moi. De septembre 2019 à août-septembre 2021, je n’ai pas vraiment arrêté et puis, il y avait mes études et je pense qu’elles ont eu un impact sur la situation.

À partir de la rentrée 2021, j’ai eu du mal à concilier sport et études. J‘ai fait le choix d’arrêter l’école et, même si je savais que c’était ce qu’il fallait faire sous peine de tout rater, j’ai eu du mal à l’accepter, c’était un choix à contre-cœur.

©Instagram

Malgré tout cela, en août, tu parviens à décrocher un accessit pour les Europe, ta première grande compétition senior. Tu arrives un peu à reculons à Munich, avec seulement 15 jours d’entraînement et le sentiment de ne pas être légitime. Est-ce que tu dirais que ce sentiment est dû principalement au fait que tu as réussi finalement un peu malgré toi, sans avoir réellement dû t’impliquer ?

Non, je ne pense pas, je pense que c’est plus une question de caractère. Il faut savoir que, même si j’évitais l’entraînement lorsque j’étais plus jeune, ça n’a plus été le cas lors de mon arrivée au pôle espoir. À partir de ce moment-là, j’étais présente tout le temps, tant et si bien d’ailleurs qu’aujourd’hui, je culpabilise de ne pas pouvoir en être lorsque je suis malade par exemple. Désormais, j’aime m’entraîner car je progresse, je comprends ce que je fais.

J’ai évolué dans mon approche mais, en ce qui concerne mon caractère, j’ai peut-être du mal à apprécier ce que je fais et puis, je prends beaucoup de distance avec tout cela. Concrètement, je suis contente lorsque je décroche une médaille mais je passe très vite à autre chose.

©FFA

Malgré cette distance, tu vas être marquée par l’ambiance. Tu dis avoir été transcendée, littéralement, par ce que tu as vécu en Allemagne. Est-ce que ça, ça a joué sur ta conception de la compétition, est-ce que ça t’a poussée à nourrir d’autres ambitions ?

J‘ai appris beaucoup de choses à Munich. J’y suis allée un peu à reculons parce que, l’été ayant été compliqué, je pensais que je ne pouvais pas y faire grand-chose, mais j’ai vraiment aimé ce championnat, je m’y suis sentie à ma place.

Quelques jours avant que ça ne commence, j’étais certaine de ne pas avoir le niveau, certaines personnes avaient d’ailleurs hésité à m’y envoyer parce qu’elles avaient vu que je n’étais pas spécialement bien. Pour autant, je savais qu’il fallait que j’y aille mais sans que je ne sache pourquoi. J’ai compris lorsque je suis entrée sur le stade au moment des qualifications. C’est pour être dans cet environnement, pour ressentir ce genre d’émotions que je fais ça.

C’est aussi à ce moment-là que j’ai commencé à penser aux Jeux Olympiques. Avant Munich, c’est une échéance qui me paraissait très lointaine, je ne me sentais pas concernée. Moi, comme les athlètes de mon âge, sommes souvent décrits comme « la génération 2028 » or, à Munich, j’ai pris conscience que je pouvais être aussi de Paris 2024.

©Ligue du centre Val de Loire

Ta saison 2024 a démarré fort avec un meeting à Saint-Denis de la Réunion et… un record personnel à 72.01 mètres. Tu as également pris part aux Europe de Rome d’ tu es revenue avec la médaille de bronze… et un accessit pour les Jeux de Paris. Tu as ressenti quoi quand la liste des athlètes retenus pour les JO a été annoncée ?  

Sur le coup, pas grand-chose parce que je le savais déjà en quelque sorte. Pour être retenu en sélection, il faut remplir des critères et nous, les athlètes, savons plus ou moins ce qu’il en est. Et puis, il y aussi le fait que nous avons l’habitude, généralement, d’attendre très longtemps pour connaître les sélections or là, ça n’a pas été le cas, ce qui nous a surpris.

L’attente, d’ordinaire, fait monter le stress, on se demande si ça va passer ou pas. Quoi qu’il en soit, je suis super contente et j’ai hâte d’y être.  

©FFA

À Paris, tu vas vivre ta 7e sélection chez les séniors, ton 4e grand championnat estival, à seulement 22 ans. Comment abordes-tu ce rendez-vous ?

En termes de performance, mon objectif est d’entrer en finale. Au regard du niveau qui est le mien et du niveau mondial, ce serait incroyable. Je voudrais réussir à être le plus proche possible de mon record, voire à faire mieux.

Mais ce que j’espère vraiment, c’est prendre du plaisir et profiter. Je voudrais garder un bon souvenir de ce moment. De manière générale, lorsque l’on rate un championnat, on ne garde en tête que l’échec alors qu’il y a plein de choses, autres que la seule performance, à tirer de cette expérience. Les Jeux, ce sera forcément la meilleure compétition à laquelle il m’ait été donné de prendre part et pas uniquement en ce qui concerne les résultats.

Je veux profiter de l’énergie incroyable qui s’en dégage, profiter du moment. J’ai de la chance, il n’y a pas forcément d’attentes envers moi et ça, ça va me permettre d’être plus libérée dans la tête et de pouvoir me lâcher.   

©FFA

Tu évoquais Los Angeles au cours de la conversation, c’est désormais une pensée qui t’accompagne également, tu te projettes déjà ?

Los Angeles, je verrai ça plus tard. Cette semaine, j’ai pensé au fait que Paris seraient mes premiers Jeux et qu’après, il pourrait y avoir 2028, 2032 si je participe pour la troisième fois, 2036, pour une quatrième.

Tout cela m’a fait réaliser qu’une carrière, c’était super long ! Il peut se passer tellement de choses au cours de ces années, c’est aussi pour cela qu’il faut prendre du plaisir dès que l’on peut. 

Ouverture ©Instagram

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