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Myriam Nicole« Ce qui m’a bottée en VTT, c’était de faire comme mes frères ! »

Myriam Nicole : « Ce qui m’a botté en VTT, c’était de faire comme mes frères ! »
Elle a déjà tout gagné. Victorieuse de la Coupe du monde de VTT en 2017, championne du monde en 2019 et 2021, Myriam Nicole continue de jouer les premiers rôles en descente. À 31 ans, la vététiste montpelliéraine est néanmoins loin d’être rassasiée. Rencontre avec une championne qui sait déjouer les obstacles.

Par Sophie Danger

Publié le 05 octobre 2021 à 11h48, mis à jour le 22 novembre 2021 à 9h48

Tu as commencé le VTT très jeune et la compétition va très vite faire partie de ton quotidien. La première, tu as 5 ans, tu suis tes frères sur un week-end de course et tu te lances. Tu te souviens de ce premier rendez-vous ?

J’étais en pré-poussine et j’ai participé à ma première compétition à l’occasion de ce que l’on appelle les Trophées Régionaux des Jeunes Vététistes.

Il y a deux disciplines par week-end avec le même vélo et il me semble que c’était cross-country et trial. J’avais encore des petites roulettes, on les a enlevées et j’y suis allée !

Qu’est-ce qui t’as poussée à sauter le pas ?

À la base, c’était pour ne pas seulement regarder les autres. Moi, je préfère être dans l’action alors, quitte à être là, autant participer à la fête !

Le côté compétition m’a également beaucoup plu. J’en ai eu le goût dès toute petite. Je ne sais pas d’où ça me vient parce que mes parents ne sont pas du tout comme ça.

Encore aujourd’hui mon père me dit : « Mimi, si tu veux gagner, il faut que tu penses à freiner. »

VTT et compétitions vont dès lors faire partie intégrante de ta vie. Tu touches à tout, cross-country, trial, orientation, descente avant de te spécialiser en descente. Qu’est-ce qui t’attirait dans cette discipline plus que dans les autres ?

Jusqu’à 14 ans, j’ai touché un peu à toutes les disciplines. J’étais à l’aise en trial – le trial, c’est de la maniabilité. J’étais bien aussi en cross-country avant que la fainéantise ne prenne le dessus à l’adolescence !

Pour ce qui est de la descente, j’ai toujours accroché parce qu’il y avait ce petit côté fun et que mes frères en faisaient. J’ai toujours « badé » mes frères. Pour moi, ils étaient les meilleurs. S’ils faisaient ça, ça voulait dire que c’était la meilleure discipline et il fallait faire comme eux. C’est ça qui m’a bottée.

À 14 ans, j’ai quitté le cross, le trial et l’orientation pour ne plus faire que de la descente, mais je continuais à aller à l’école VTT les mercredis et les samedis pour pouvoir garder une prépa physique qui touche à tout.

Tu parles de fainéantise. Pourtant, la descente est également une discipline exigeante physiquement et, qui plus est, une discipline où l’on prend des risques. Cette dimension-là, comment tu l’as intégrée ?

Je pense que c’était vraiment dans mes gènes. L’adrénaline, c’est une drogue que l’on a le droit de goûter tout petit et je suis sûrement devenue accro très jeune. Tout s’est fait naturellement pour moi. J’étais dans le flow, ça me correspondait, j’arrivais à m’exprimer vraiment là-dedans.

Avec le cross-country, il y avait un côté beaucoup plus sérieux avec lequel j’avais du mal, surtout à cette période-là où j’étais vraiment dans le côté fun. Et puis la descente, tu peux réussir à en faire sans que ce soit trop dur physiquement.

Enfin, ça, c’était ma conception de la descente à l’époque. Aujourd’hui, elle est complètement différente. La descente demande un effort violent, un effort beaucoup plus court mais beaucoup plus intense, ce qui n’est pas très cohérent avec le fait que je n’ai pas voulu faire du cross parce que c’était justement trop difficile.

En 2006, tu as 16 ans et tu intègres le team Ayton Giant Les 2 Alpes. Tu découvres alors les joies de l’entraînement et tu commences à travailler technique et physique. Tu as eu la sensation de franchir un cap ?

Ça a été une première étape. J’ai vraiment mis les pieds dans ce monde et dans celui de la compétition. Ça a porté ses fruits : après ma première année dans le team, j’ai été sélectionnée en équipe de France.

Ça a duré trois ans, deux années en junior, une en élite. C’était mes débuts et je découvrais tout. Je me revois encore, je « badais » devant tout le monde, devant les stars !

Est-ce que, à partir de ce moment-là, tu as eu l’impression que ça pouvait te mener loin, que tu pouvais envisager de faire carrière dans le VTT ?

À ce moment-là, j’ai pensé à une carrière sportive dans la descente, mais je n’aurais jamais pensé que j’allais pouvoir vivre de mon sport. C’est pour ça que j’ai toujours continué l’école.

Vivre de la descente, c’était comme si c’était un rêve trop lointain. C’est plus la passion – pour la discipline et pour la compétition – qui m’a amenée à continuer. Et même si je n’avais pas gagné ma vie avec le VTT, j’aurais emprunte le même chemin.

Conjuguer parcours scolaire et VTT n’était pas chose facile. Tu t’entraînais le matin avant les cours, les soirs au retour de l’école. Comment on fait pour ne pas lâcher ?

Ce n’était pas facile. Le premier cap, ça a été le lycée. En 2008, il y avait les Championnats du monde et… le bac ! J’ai dû le passer en septembre, mais pour cela, il a fallu tout remanier, travailler tout l’été pour le réussir alors que l’été, pour nous, c’est la période où il y a beaucoup de compétitions.

Malgré tout, j’ai eu mon bac et, par la suite, j’ai voulu suivre des études de kiné. J’ai demandé à intégrer le cursus en qualité de sportive de haut niveau mais la descente n’étant pas une discipline olympique, nous ne sommes pas prioritaires.

J’ai fait la demande cinq années de suite avant de pouvoir rentrer par ce biais. C’était en 2013 et, entre temps, pour faire quelque chose, j’ai passé un DUT techniques de commercialisation à Chambéry. Il était aménagé pour les sportifs. On avait les après-midis de libre pour faire du vélo, c’était royal.

Les études de kiné sont des études très exigeantes, comment es-tu parvenue à conjuguer carrière sportive et cursus scolaire ? 

En 2013, quand j’ai intégré l’école de kiné à Montpellier, il y avait beaucoup d’étudiants qui venaient de prépa, des tronches. Je me suis dit qu’il allait falloir s’accrocher et faire un choix.

La priorité, c’était l’école, avoir mon diplôme. La descente, il allait falloir gérer comme je le pouvais. On parle beaucoup du double parcours, sportif et scolaire, mais c’est important qu’il y ait un bon équilibre entre les deux.

Pour moi, cet équilibre n’était pas facile à assurer et j’avais clairement l’impression de faire tout à moitié : je n’étudiais pas autant que je voulais, je ne m’entraînais pas autant que je voulais.

C’est comme tout, il fallait juste s’accrocher, mettre des priorités et faire des concessions mais ça a été beaucoup de stress, je me mettais pas mal de pression et j’ai été dure avec moi-même.

Au final, j’ai ce diplôme en poche, j’en avais besoin pour être bien dans mes baskets. Quand je repense à tout ça, je me dis : « Mais qu’est-ce qu’elle est belle la vie maintenant ! ».

Ton double parcours ne t’empêche ni d’être performante dans tes études, ni de l’être sur ton VTT. En 2009, tu intègres l’élite, tu grimpes sur ton premier podium et tu termines 7e du Général remporté par une de tes compatriotes, Sabrina Jonnier. Ce premier podium, il représentait quoi pour toi ?

En junior, je n’ai pas performé aussi bien que ce que j’aurais aimé, j’ai galéré. Quand je suis passée élite, j’ai vraiment mis un coup de cravache pour assurer la transition.

Cet hiver 2009, c’est l’époque où j’ai essayé d’intégrer le cursus de kiné par la voie normale. C’était tellement difficile que j’ai baché et je suis partie en Angleterre m’entraîner.

La première course de la saison était en Afrique du Sud. Elle était clairement trop difficile physiquement pour moi et je n’ai pas réussi mais, dès la deuxième, à La Bresse, je fais deuxième en élite, c’était vraiment cool.

À la fin de la saison, je termine à la septième place au Général et, même si j’avais bien donné pour réussir cette transition, je ne m’y attendais pas, j’ai été surprise.

C’est Sabrina Jonnier qui remporte la Coupe du monde, cette année-là. C’est la quatrième fois qu’elle s’adjuge le Général. Est-ce qu’elle t’a guidée à ton arrivée sur le circuit ? Est-ce que d’autres t’ont guidée ?

À cette époque-là, les Françaises dominaient. Sabrina, elle, dominait toutes les courses et j’ai eu la chance de pouvoir la côtoyer. Je pouvais même la suivre : je me mettais dans sa roue pour avoir de la vitesse et ça m’a aidée.

Le VTT, ça reste un petit monde et on était toutes très proches. Je savais que si j’avais besoin de quoi que ce soit, je pouvais suivre les filles ou être avec elles.

Peu à peu, tu vas t’imposer comme une des filles les plus régulières du circuit. Tu es 5e du général en 2010, 4e en 2011 avec ta première victoire à Val di Sole en Italie. En 2012 première incursion dans le trio de tête avec une troisième place au Général. Tu brilles aussi aux Monde avec l’argent en 2016 et 2017, médaillée de bronze l’année suivante. En 2017, c’est la consécration : tu remportes le Globe avec six podiums dont deux victoires sur sept épreuves. Tu as attendu huit ans pour devenir numéro 1. C’est une période qui t’a semblé longue ou, au contraire, tout s’est passé très vite ?

Tout s’est passé tellement vite ! C’est affreux. Tout le monde me parle de mes 31 ans en me demandant si je pense à la retraite, mais quoi ? Qu’est-ce que vous me racontez ? Hier encore, j’étais junior !

Alors, oui, tout est passé trop vite et les blessures y sont pour beaucoup. Jusqu’en 2017, je me suis fait quatre clavicules. Dans mon livre de kiné il y a écrit : «  La clavicule : blessure classique chez le cycliste », j’ai retenu ça ! Une clavicule c’est, en général, trois mois.

J’ai donc souvent vécu des saisons clairsemées. Ces blessures, elles m’ont appris mais elles m’ont également beaucoup ralenties et c’est peut-être pour ça que je sens que j’ai encore de la marge de progression.

Quoi qu’il en soit, j’ai quand même bien compris que, pour pouvoir être consistante, il ne fallait pas se blesser.

Comment faire pour éviter la blessure, qui plus est dans un sport comme le tien ?

Pour moi, ça consiste avant tout à progresser physiquement. Pendant mes études de kiné, j’avais l’impression que je m’entraînais mais, au final, je ne faisais qu’une heure et demi de sport par jour. Aujourd’hui, j’en fais presque quatre !

L’entraînement, ça sert à performer mais ça sert aussi à se protéger. J’ai progressé physiquement et techniquement, je suis plus en confiance sur le vélo, mon pilotage est beaucoup plus serein.

Et puis, il y a quatre ans, fin 2017, après avoir gagné la Coupe du monde, j’ai attaqué un gros travail de préparation mentale avec le coach Philippe Angel.

L’intégrité physique, c’est vraiment la base pour notre sport, il faut réussir à performer tout en s’écoutant afin de ne pas se blesser.

Cette idée de maîtrise est d’autant plus importante que tu pratiques une discipline dite extrême, une discipline spectaculaire, engageante…

Bien sûr, notre sport peut paraître complètement délirant mais c’est bien plus maîtrisé que ce que l’on pense. C’est comme du ski, on parle trajectoire, on sait exactement où on met nos roues.

Moi, je me considère comme une peureuse. Je fais rarement des choses sur un coup de tête, sans réfléchir. Je dis que je suis une peureuse car j’ai souvent peur.

Mais, pour moi, cette peur, c’est ce qui me permet de mettre en place les bonnes actions pour faire le bon geste, le bon mouvement. C’est déjà arrivé que je n’ai pas peur et c’est souvent là que tu fonces tête baissée et que tu te blesses.

Comment trouver le bon dosage entre cette peur qui inhibe et celle qui motive ?

Je pense que c’est la préparation qui est très importante. Tout ce que tu fais à l’entraînement va te permettre de te donner des points d’ancrage.

Par la suite, quand tu es en compétition, tu as comme une caisse à outils et tu vas les chercher pour déjouer la peur.

Parfois, il peut arriver que je n’aie pas l’outil alors, à ce moment-là, je n’y vais pas. Il faut savoir mettre son égo de côté.

C’est toi qui as ressenti le besoin d’avoir un préparateur mental ?

Non. Il travaillait déjà avec Loïc Bruni, quatre fois champion du monde. Je me suis demandé : « Comment est-ce qu’il fait pour être aussi fort ? Il y a peut-être quelque chose ! » et je me suis dit : « Pourquoi pas ? ».

Je suis ouverte à tout pour progresser et c’était un nouvel outil pour pouvoir m’améliorer.

Après ta victoire au Général, tu vas de nouveau avoir à conjuguer avec la blessure. Malgré tout, tu décroches le bronze des Mondes en 2018 et, l’année suivante, tu es couronnée championne du monde…

En 2018, je suis allée jusqu’au milieu de la saison et je me blesse en Italie, à Vale di Sole, alors que j’étais en tête.

Mon manager était sur le bord de la piste, j’ai voulu en mettre un petit peu plus pour qu’il me dise : « C’est bien, tu roules bien » et là, boum, la faute !

C’est quelque chose que je ne referais pas. Quand on fait du vélo, c’est pour soi, ce n’est pas pour les autres, mais ça m’a bien servie.

Quoi qu’il en soit, je me blesse au dos, j’ai une pause d’un mois, ce qui me fait perdre le Général, mais je fais la fin de saison.

Je vais aux Championnats du monde, je termine quand même 3e. Après 2018, j’ai commencé à travailler avec un nouveau coach, Nicolas Arschoot, et je décroche mon diplôme de kiné.

Cette année signe la fin des études et le début d’une nouvelle préparation. J’étais bouillante et j’en faisais trop, c’était la libération !

Et qui dit trop dit excès. Je me blesse au pied, une semaine avant la première Coupe du monde. Je loupe toute la saison et je ne reviens que pour les Championnats du monde à la fin de l’année. Mais je gagne le titre, ça aurait pu être pire.

La saison suivante, tu vas réussir à te remobiliser et renouer avec le Top3. Qu’est-ce qui t’as permis de rebondir une fois encore ?

M’entraîner à plein temps a vraiment tout changé. Je ne pensais pas que c’était possible mais mon coach a réussi à me faire aimer les sauts, par exemple.

La peur que je ressentais était paralysante pour le coup, j’ai même pensé à arrêter le vélo à cause de ces sauts. Il a fait un très bon travail sur le plan physique et technique et même si ça n’a pas payé tout de suite parce que je me suis blessée, ça a payé plus tard.

Ça a payé notamment cette année avec un deuxième titre de championne du monde. Est-ce que les sentiments que l’on ressent lorsque l’on monte sur le podium sont aussi forts que la première fois ?

Les conditions pour le titre en 2019 et en 2021 n’étaient pas les mêmes. Le premier titre était vraiment une grande surprise. Je courais après depuis tant de temps et là, après quatre mois de rééducation, c’était la consécration.

Une fois que tu l’as ce titre, ça t’enlève un poids et après, ce n’est que du bonus. Ça te libère et c’est ce qui fait que tu peux réussir à en décrocher un autre.

Moi, mon moteur, c’est de toujours me dépasser. Tant que j’effectue un travail sur moi et que je progresse, je suis contente.

Par la suite, il en découle ce qu’il en découle mais le but premier, c’est de me surpasser, pas d’aller chercher une médaille.

Gagner une médaille, un titre, est donc secondaire ?

C’est l’objectif numéro 1 mais je veux dire que cette médaille, ce titre, découlent du fait que je progresse ou pas.

Tu es passée juste à côté du doublé Coupe du monde-Championnats du monde…

J’ai un petit goût d’amertume, je n’ai pas remporté le Général à cause d’une chute en finale. Même si la deuxième avait fini 1ere et moi 5e, je l’aurais fait. Là je suis arrivée 7e !

Je me dis que, parfois, si les choses ne se font pas, c’est qu’elles ne devaient pas se faire. Ça reste néanmoins une très belle année. L’objectif numéro 1 était de performer sans se blesser, d’être solide et je gagne deux manches de Coupe du monde, le Championnat du monde, le Championnat de France.

En plus, après ces années Covid, voir des gens sur la piste, ça a fait un peu revivre le sport et ça a redonné du baume au cœur.

Tu as désormais 31 ans et tu vois arriver une nouvelle génération qui pointe le bout de son nez. Quel regard tu portes sur ces jeunes filles ?

Que ce soit en France ou à l’étranger, il y a de plus en plus de jeunes filles qui pratiquent ce sport. C’est bien car notre sport se développe de plus en plus.

Cette nouvelle génération a, qui plus est, compris – merci les réseaux sociaux – que l’on ne se lance pas sur une descente sans bien se préparer.

C’est de bon augure et ça me fait vraiment plaisir de voir plus de filles car notre discipline est majoritairement masculine. Mais j’ai confiance, la relève est là.

Quel regard portes-tu sur ta discipline ? Comment a-t-elle évolué ?

J’ai l’impression que ma discipline a pas mal évolué au cours de ma carrière. Elle s’est structurée et ça a fait changer les choses.

Il y a eu beaucoup d’évolutions, évolutions au niveau matériel, au niveau de la préparation aussi. C’est un sport qui n’a fait que progresser.

Comment tu vois la suite ?

Mon rêve ultime serait de finir par les Jeux Olympiques. C’est peut-être un rêve, mais ce serait la plus belle des consécrations.

Beaucoup de conditions doivent être réunies : d’abord que la descente devienne discipline olympique, ce qui n’est pas gagné, et que je sois encore sur le circuit.

Je me suis toujours dit que je continuerai tant que j’en aurai envie et je ne sais pas comment je serai l’année prochaine, alors on verra…

Mais, une carrière parfaite, oui, serait de finir avec les JO.

©Keno Derleyn

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