
Le Best-of ÀBLOCK! de la semaine
L’histoire au féminin d’une future discipline olympique, la nouvelle numéro 1 de l’organisation des JO et une super-héroïne qui veut inspirer, c’est le meilleur de la semaine sur ÀBLOCK!. Enjoy !
Publié le 17 septembre 2022 à 11h39
Nombreuses sont les personnes qui, dans l’optique de perdre du poids, se mettent à la course. Mais pas toujours facile de décider du rythme de croisière idéal. Qui n’a jamais pensé : « Si je cours vite, je vais perdre vite » ?
C’est vrai qu’il existe un truc appelé « l’effet post-combustion » ou « EPOC » (excess post-exercise oxygen consumption) qui conforte dans l’idée que le sport, plus c’est intense, mieux c’est…
L’effet post-combustion, c’est ce moment où, après un entraînement physique important, ton corps continue de brûler des calories après l’effort. Cela s’explique par une consommation plus importante d’oxygène par ton organisme, pour aider ton corps à récupérer.
Et qui dit consommation plus élevée, dit plus de calories brûlées. Sauf que ce phénomène, même s’il se produit lors de toutes les phases de récupération que comporte ton sport, est surtout l’allié des fans de HIIT. Celles et ceux qui font des exercices courts et intenses, avec des entraînements au poids du corps.
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Ce n’est pas la même chose quand on court. La quantité de calories qu’on perd en post-combustion d’un footing est assez minime par rapport au HIIT… À moins d’enchaîner les sprints à en perdre haleine.
Tu aimes te faire du mal et sentir tes poumons on fire ? Pas de soucis, mais rassure toi : tu n’es pas obligé·e d’en passer par là. D’après le site Runtastic, si tu fais une course assez intense pour perdre environ 500 calories, la post-combustion te permettra de gratter (seulement) entre 35 et 70 calories de plus… Sois l’équivalent d’une petite pomme.
Est-ce que ça vaut vraiment le coup de s’essouffler ? Chez ÀBLOCK!, on n’est pas convaincus.
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Comment ça marche, en fait, la perte de poids ? C’est un peu comme l’offre et la demande, si tes dépenses énergétiques sont plus élevées que tes apports en calories, ton corps va se mettre à taper dans ses réserves.
Quand tu cours vite, tes muscles vont puiser dans ta réserve de glucide (le sucre). Quand tu cours à allure normale, c’est plutôt dans les lipides (la graisse) que ton organisme vient piocher. D’un coté il y a le sucre, donc, qui est une source d’énergie immédiate, qui se brûle rapidement. Un gramme de glucide équivaut à 4 calories.
De l’autre, tu as les graisses, une source de carburant plus stable et continue. Or un gramme de lipide, c’est 9 calories ! Donc, au finish, quand on court lentement, on brûle les graisses et on se sent moins fatigué…
Et en plus, courir lentement améliore la capacité d’apports sanguins dans les muscles et augmente le volume du cœur. Tout bénef, non ?
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