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Alyssia Poulange  « Je ne reste pas sur mes acquis, j'en veux toujours plus ! »

Alyssia Poulange : « Je ne reste pas sur mes acquis, j'en veux toujours plus ! »
Elle est déjà l'une des meilleures judokates françaises de sa catégorie. À 17 ans, Alyssia Poulange a récolté bon nombre de médailles en cadets et juniors. Et ce n'est que le début... Témoignage d'une jeunette à la détermination sans faille.

Par Alexandre Hozé

Publié le 19 février 2024 à 17h10, mis à jour le 19 février 2024 à 17h12

Tes parents sont professeurs de Judo, ton père est encore ton coach aujourd’hui lors de tes compétitions en club… Comment se sont-ils positionnés lors de tes débuts dans la discipline ? 

J’ai commencé à l’âge de 3 ans et j’ai tout de suite accroché. Mes parents m’ont laissé faire, c’est tant mieux car en grandissant j’ai aimé encore davantage ce sport et quand je suis arrivée en catégorie minimes, j’ai gagné la Coupe de France.

C’est à ce moment-là que je me suis dit que c’était ce que je voulais faire. J’ai enchaîné sur un pôle espoirs pendant trois ans, puis maintenant l’INSEP (Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance, Ndlr). 

©Saint-Ouen Judo JuJitsu

C’est donc tout naturellement que tu t’es dirigée vers les tatamis. D’autres sports t’ont-ils attirée ou le judo est-il resté une évidence pour toi ? 

Je n’ai pas pratiqué que le judo. J’ai fait cinq ans de gymnastique notamment, j’ai aussi fait de l’athlétisme, encore d’autre sports…Mais quand il a fallu choisir, je n’ai pas hésité, c’était le judo qui m’intéressait. Les autres sports me servaient plus à compléter mon état physique, et ça m’a beaucoup apporté. 

Qu’est-ce qui t’a autant plu dans le judo à tes débuts ? 

Je pense que c’est le fait de gagner. J’ai tout de suite aimé ça, je voulais continuer pour ça… Et forcément, je me suis aussi rendu compte que quand on perd, c’est là où on apprend le plus, c’est à ce moment qu’il faut rebondir. 

Mais, dès toute petite, c’est vraiment la compétition qui me plaisait dans le judo. 

Le combat éclair de la petite Alyssia Poulange, en 2017, avec son club de Saint-Ouen

Justement, qu’est-ce qui te plaît autant dans la confrontation, dans ce combat pour la victoire ? 

Je dirais que c’est vraiment le fait de devoir battre l’adversaire, de trouver la solution pour gagner. Moi, par exemple, je fais beaucoup de ne waza, c’est-à-dire du travail au sol, essayer de trouver la solution pour soumettre l’autre. C’est vraiment ce genre de sensations qui me plaît, tout le côté stratégique. 

Après, bien sûr, le physique reste très important pour justement mettre en place et bien exécuter la stratégie. 

Est-ce que c’est ce goût pour la victoire qui t’a poussé à viser le haut niveau ? 

Oui, un peu. Il y a aussi l’entourage qui, avec tous ses encouragements, me pousse à continuer, à viser l’excellence… 

As-tu aussi été inspirée par une championne, un champion, ou est-ce que tu trouvais l’inspiration uniquement auprès de tes proches ? 

Au début, le fait d’avoir des parents dans la discipline, ça donne envie de devenir meilleur qu’eux, forcément. J’ai aussi regardé les compétitions, et j’ai vite eu envie d’être à leur place. Tout ça m’a beaucoup inspiré. 

©️Alyssia Poulange/Instagram

Qu’est-ce que ce nouvel objectif a changé dans ta pratique et ta perception du judo ? 

Quand j’ai vraiment eu cet objectif de faire du judo ma carrière, j’ai eu le choix entre intégrer le pôle espoir pour tendre au plus haut niveau, ou rester au club. J’ai choisi le pôle, car je savais avec certitude ce que je voulais faire, et ça a bien marché. 

L’adolescence est souvent un passage difficile, beaucoup de jeunes laissent de côté le sport à cette période. Est-ce que tu as hésité parfois à continuer, as-tu traversé une période de doute sur ton engagement dans le judo ? 

Non, je n’ai pas eu de moment de doute. En revanche, on a tous des périodes où on est fatigué, et c’est à ces moments que l’entourage est très important. Mes parents sont aussi passés par là, donc ils ont pu me soutenir, tout comme mes amis du pôle espoir, du club… Mais je n’ai jamais douté de ma réussite dans le judo. 

D’où  te vient cette détermination concernant ta réussite dans le haut niveau ? 

Beaucoup de mon père, je pense. En tant qu’entraîneur, il a toujours été très carré. Dès toute petite, il m’a fait participer aux stages des plus grandes, donc avec beaucoup de difficultés. Autant dire que ça renforçait vraiment mon mental ! C’était dur, mais en fin de compte très positif aujourd’hui. Je sais que je peux encaisser beaucoup. 

©️Fédération Internationale de Judo

Quel est ton premier beau souvenir dans ta pratique du judo ? 

C’est assez récent en fin de compte. C’est lors des championnats d’Europe cadets, quand je gagne. Lorsque je suis montée sur la plus haute marche du podium, je me suis dit « Whaaa ». Je le voulais vraiment ce podium, mais quand j’ai réalisé cette performance, j’étais vraiment super contente !

Ça m’a donné envie de réussir à faire un podium mondial, ça a vraiment nourri ma détermination. 

Quand on regarde ton palmarès, on se rend compte que c’est dans la catégorie cadette que les gros résultats sont arrivés, et que tu as continué de monter en puissance à partir de là. Comment ça s’est passé ? 

Il faut savoir qu’en judo, on a trois années en cadets, trois en juniors puis ensuite on arrive en seniors. Ma première année cadette a commencé avec mon arrivée au pôle espoir, donc avec forcément des tests matchs nationaux. Je finis à la deuxième place, donc je suis sélectionnée en European Cup, durant laquelle j’obtiens une médaille de bronze, qui coïncide aussi avec une qualification pour les championnats d’Europe. Le niveau était très élevé, je n’ai pas réussi à faire de médaille, mais ça m’a motivé à faire des médailles durant mes deux prochaines années cadettes. 

Donc, en cadette deux, je suis championne de France et je vais chercher la médaille de bronze aux Europe. Je finis aussi septième aux championnats du monde. Et pareil, j’étais encore plus motivée pour ma dernière année en cadets. 

Je passe dans la catégorie moins de cinquante-deux kilos, et je deviens championne de France, championne d’Europe et vice-championne du monde. J’ai aussi eu mon entrée à l’INSEP en plus de tout ça, grâce à ma performance lors des championnats de France juniors et aussi à ma troisième place lors d’une European Cup junior. 

Et ces résultats m’ont offert ma qualification aux championnats de France seniors, qui se déroulaient en novembre 2023, et j’ai fini troisième, ce qui est assez incroyable ! 

©️Seine-Saint-Denis

En 2022, en cadets, tu deviens championne de France, championne du monde par équipes, tu fais une médaille de bronze aux Europe… Quand tout s’enchaîne de cette façon, qu’est-ce qu’on ressent ? 

Honnêtement, je ne me pose pas trop de questions. J’avance, je vis pleinement tous les instants, je me rends compte que ce sont vraiment des moments incroyables. 

Après, il y aussi des passages plus durs. Les entraînements de l’INSEP ne sont vraiment pas simples, mais je vois que ça paye même en seniors ! Donc, ça me motive à y retourner, pour progresser et viser le titre de championne de France et débarquer sur la scène internationale senior. 

Mais pour le moment, mes objectifs principaux sont en juniors bien sûr. Il me reste trois années juniors, donc je ne vais pas griller les étapes ! Tout ce qui se passe en senior, comme mes sélections lors de Grands Prix, c’est vraiment du bonus. 

©️Alyssia Poulange/Facebook

Est-ce que tu t’attendais à tous ces résultats ou as-tu tout de même été un peu surprise d’autant dominer ? 

D’un côté, c’est la suite logique, mais d’un autre côté ce n’est pas courant ! Être cadette et performer chez les juniors, être junior et performer chez les seniors… Ce n’est pas donné à tout le monde. 

Je ne dirais pas que je suis surprise, tous ces résultats sont le fruit de mon travail, je me donne pour ça. Et voir que ça marche me fait très plaisir et me booste encore plus pour continuer comme ça. Je ne veux pas rester sur mes acquis, j’en veux toujours un petit peu plus ! 

On voit que ta détermination est vraiment très forte, est-ce que tu as l’impression qu’elle te permet de faire la différence avec tes concurrentes ? 

Au pôle espoir, je voyais bien que tout le monde n’avait pas pour projet de devenir judoka professionnel. C’est différent à l’INSEP, on a tous la même idée en tête. 

J’aime beaucoup ce que je fais, et j’ai envie de continuer comme ça ! C’est ça qui me permet de continuer d’avancer. 

Quand tu étais encore au pôle espoir, comment arrivais-tu à concilier tes engagements sportifs et les cours ? 

Ça se passait bien, même quand j’avais beaucoup de sélections, les profs ne me faisaient pas tout rattraper, j’arrivais à passer entre les gouttes ! C’est différent maintenant à l’INSEP, je galère un peu plus, avec le bac à passer à la fin de l’année. Mais le challenge me plaît, je suis en train de travailler pour remonter la pente et viser la mention. 

Tu fais donc ta terminale à l’INSEP. Est-ce que tu peux nous expliquer ce choix, et comment se passe cette nouvelle étape ? 

J’ai d’abord envoyé une lettre de candidature, qui a donc été acceptée. Et je suis rentrée à l’INSEP juste après les championnats du monde cadets. Ça s’est bien passé, j’ai intégré une classe de basketteurs en majorité, mais je me suis bien intégrée. 

Concernant les entraînements, j’ai tout de suite pris le rythme. En fin de compte, je trouve que le plus dur, c’est l’école ! 

Mais dans tous les cas, quand je suis en cours, ça me fait quand même du bien de décrocher du judo, et l’inverse est vrai aussi ! Mais je ne m’attendais pas à ce que la scolarité soit aussi dure. Je fais avec, ça me motive aussi pour la suite, j’ai plein de choses à réaliser ! 

Tu avais une envie de devenir kiné. Est-ce que c’est toujours ton projet ? 

Tout à fait ! J’aimerais bien intégrer la licence STAPS (Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives, Ndlr) l’année prochaine pour, par la suite, rentrer dans une école de kiné, peut-être celle de Vincennes. 

©️Alyssia Poulange/Instagram

Pourquoi la profession de kiné ? 

Lors de ma deuxième année cadette, je me blesse, je me fais une entorse aux ligaments. Donc, à cause de ça, j’ai connu un arrêt de trois mois. C’était assez long, mais quand j’allais chez le kiné à cette période, ça me permettait de me vider la tête, aussi de me motiver pour revenir plus forte. 

Ce travail m’a vraiment plu, le contact avec les sportifs, l’accompagnement… Ce n’est pas évident mais ça m’a beaucoup intéressé. 

Avec cet objectif, tu te projettes donc dans les études supérieures en parallèle de ta carrière de judokate. Est-ce que tu as déjà réfléchi à la forme que cela pourrait prendre ? 

On a une grosse charge d’entraînement au quotidien, donc c’est forcément un peu compliqué avec les cours. Avec l’arrivée de Parcoursup, je suis bien obligée d’y réfléchir !

Pour accéder à une école de kiné, il faut forcément des bons résultats en STAPS. Pour ça, je pense dédoubler mes années de licence, pour justement prendre le temps et bien travailler les cours. Si je veux tout faire en un an, je risque d’être débordée rapidement. Il vaut mieux prendre mon temps et assurer mes années. 

©️Fédération Internationale de Judo

Cette entorse aux ligaments dont tu parles, elle a eu un gros impact sur la suite de ta pratique, que ce soit physique ou psychologique ? 

Pas grand-chose, je suis passée outre très rapidement. J’ai changé de catégorie à mon retour, donc j’étais consciente qu’il fallait que je me renforce physiquement. 

Cette blessure m’a aussi permis de me reposer, de stopper un peu le gros enchaînement dans lequel j’étais. Et mon retour s’est très bien passé. Avec du recul, je peux dire que cette blessure m’a plus apporté qu’elle ne m’a freinée. 

Est-ce que tu te laisses pour le futur cette option de faire une pause, de ton plein gré cette fois, afin de garder la flamme et la détermination ? Ou est-ce que c’est trop compliqué  ? 

Trois mois d’arrêt pour cette blessure, c’était un peu long quand même. Mais là, par exemple, après un stage de fin d’année, on va avoir dix jours de repos. Et pendant cette période, je sais que je ne vais pas toucher à mon kimono, pour avoir vraiment l’envie quand ce sera le temps de reprendre. Je fais souvent ça, lors de mes vacances, je ne pratique pas le judo. 

©️Fédération Internationale de Judo

Concernant tes objectifs sportifs, à quoi peut-on s’attendre de ta part sur les prochains mois ? 

Après mon résultat aux championnats de France seniors, j’aimerais maintenant, en juniors, être championne de France, gagner des Coupes d’Europe pour me qualifier aux championnats d’Europe et remporter le titre. Puis, aller aux championnats du monde, obtenir une médaille mondiale… Ça serait la saison parfaite si j’arrive à faire tout ça ! 

Tu es encore au début de ta carrière, mais as-tu tout de même déjà été confrontée à des remarques, des comportements sexistes dans le cadre de ta pratique sportive ? 

Non, pas du tout. Il faut savoir que ce sont vraiment les judokates françaises qui ramènent le plus de médailles aujourd’hui, donc ça joue beaucoup, je pense.

De mon côté, je suis quelqu’un d’assez timide, le judo m’a vraiment permis de me libérer. Et je n’ai jamais eu de remarques négatives à ce sujet. 

Comment analyses-tu l’état d’esprit de ton sport sur ce sujet de la pratique sportive des femmes ? 

Je suis assez contente sur tout ça. On voit que les féminines seniors n’hésitent pas à dire quand quelque chose ne va pas, ça aide beaucoup et ça entraîne des choses positives. 

Par exemple, à l’INSEP, on a des entraînements mixtes toutes les semaines. Ça montre bien que, dans le judo, il n’y a pas de différences, de favoritisme. 

©️Alyssia Poulange/Instagram

Quels progrès restent-ils à faire sur ce point selon toi ? 

Je pense que le judo pourrait être vraiment plus médiatisé. Juste si on prend l’exemple de Clarisse Agbégnénou, c’est incroyable ce qu’elle a fait ! Quand les basketteurs de ma classe me disent qu’ils ne la connaissent pas, j’ai envie de m’arracher les cheveux ! 

Je pense qu’il faudrait davantage mettre en avant le judo, notamment toutes les filles qui vont chercher les médailles, c’est très fort ce qu’elles arrivent à faire. 

Quel est le plus beau moment que tu as vécu dans le judo jusque-là ? 

Aujourd’hui, je dirais mes premiers championnats de France seniors, en 2023. Quand j’ai gagné ma médaille de bronze, c’était incroyable. Le combat a duré douze minutes, mes parents étaient contents… 

A l’inverse, le moment le plus difficile ? 

Il y a eu pas mal de moments durs, mais je dirais que le moins bon souvenir, ça a été lors d’un stage avec ma victoire en Coupe de France minimes. À cette époque, j’étais la plus légère et ça avait été tellement compliqué ! Je me rappelle que je pleurais après les entraînements, c’était vraiment horrible !

Par contre, ça m’a permis de m’endurcir mentalement et physiquement, donc avec le recul, je ne regrette pas. Mais je n’ai que des mauvais souvenirs de ce stage ! 

©️Saint-Ouen Judo Jujitsu

Si tu te projettes sur les prochaines années, notamment sur ton arrivée en seniors, qu’espères-tu pour cette nouvelle étape, quels objectifs te fixes-tu ? 

D’abord, bien me concentrer sur mes trois années juniors, que tout se passe bien à ce niveau. Ensuite, je veux préparer les Jeux Olympiques de 2028, à Los Angeles, le tout en avançant à mon rythme dans mes études supérieures. 

Si tu devais convaincre les filles de faire du judo, qu’est-ce que tu leur dirais ? 

Si je devais expliquer à une petite fille douée pourquoi elle prendrait du plaisir en faisant du judo, je lui dirais que ce sport va lui faire vivre des choses inoubliables. Il y aura des moments durs, mais si elle aime le judo, elle va adorer son aventure.

C’est comme ça que je perçois le judo aujourd’hui. 

©️ Seine-Saint-Denis

Ouverture ©️Seine-Saint-Denis

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