Jeux ParalympiquesL'hymne en point d'orgue

Jeux Paralympiques L'hymne en point d'orgue
Il accompagne la montée du drapeau paralympique lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux. L’hymne paralympique inaugure et clôture les éditions des Jeux Paralympiques tous les quatre ans. Place à l’orchestre !

Par Manon Gimet

Publié le 22 août 2021 à 20h00, mis à jour le 04 mars 2022 à 14h44

Inscrit dans le protocole des cérémonies paralympiques, à l’instar de celles des Jeux Olympiques, l’hymne transmet une foule d’émotions. Il est le point d’orgue de l’ouverture des Jeux Paralympiques.

Si les Jeux Paralympiques sont devenus officiels tardivement, en 1960, son hymne a été tout aussi long à résonner. Il a été créé par le compositeur français, Thierry Darnis, trente-six ans après l’ouverture des Jeux, à Rome, en 1996.

Commandé par l’IPC (Comité International Paralympique), il s’intitule « Hymne de l’Avenir », traduit en anglais par « Anthem of the Future », l’anglais étant la langue officielle des Jeux Paralympiques quand le français est celle des Jeux Olympiques.

2001, c’est l’année du renouveau ! Le chanteur de country australien Graeme Connors écrit des paroles pour accompagner la composition de l’artiste français.

À chaque Jeux Paralympiques, les athlètes, les staffs, les spectateurs ou encore les téléspectateurs peuvent entendre chanter l’hymne dans le stade olympique de la ville hôte.

On l’entend quand ? Comme pour l’hymne olympique, il est joué par un orchestre et repris par des cœurs lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux, lorsque le drapeau paralympique est hissé sur son mât. C’est le top départ de la compétition !

Mais pas que… il retentit également lors de la cérémonie de clôture.

En gros, il accueille et ferme les Jeux Paralympiques. Et même, il éveille la ville hôte puis la berce lorsque la compétition est terminée.

C’est l’hymne que tous les athlètes rêvent d’entendre : elle rend fier, elle fédère, pour que tous les participants soient… ÀBLOCK!

Graeme Connors, l’auteur des paroles de l’hymne des Jeux Paralympiques

ITAR-TASS/Vladimir Smirnov

Soutenez ÀBLOCK!

Aidez-nous à faire bouger les lignes !

ÀBLOCK! est un média indépendant qui, depuis plus d’1 an, met les femmes dans les starting-blocks. Pour pouvoir continuer à produire un journalisme de qualité, inédit et généreux, il a besoin de soutien financier.

Pour nous laisser le temps de grandir, votre aide est précieuse. Un don, même petit, c’est faire partie du game, comme on dit.

Soyons ÀBLOCK! ensemble ! 🙏

Abonnez-vous à la newsletter mensuelle

D’autres actus en brèves…

Ons Jabeur, l'histoire est en marche...

Le Best-of ÀBLOCK! de la semaine

Des joueuses sur les courts à Roland-Garros, le nouveau podcast ÀBLOCK! qui accueille une femme qui n’a pas sa langue dans sa poche ou encore un championnat où tenir bon la barre, c’est le meilleur de la semaine sur ÀBLOCK!. Bonne lecture !

Lire plus »
CrossFit

Le Best-of ÀBLOCK! de la semaine

Un nouveau podcast avec une bodybuildeuse on ne peut plus ÀBLOCK!, une star de la petite balle jaune, une pionnière qui ouvre le chemin à coups de sifflet, l’histoire de la ride au féminin, deux nouvelles chroniques signées d’une avocate et d’une journaliste crossfiteuse pour un autre regard sur le sport, c’est le meilleur de la semaine sur ÀBLOCK!. Bonne lecture !

Lire plus »
Il était une fois le surf féminin

Il était une fois le surf… féminin

N’en déplaise à certains, le surf se conjugue presque depuis toujours au féminin. L’un des sports additionnels des JO de Paris 2024, dont les épreuves se tiendront à Tahiti, a vu nombre de filles apprivoiser la planche. Ce week-end a lieu la Surf Ranch Pro 2023 aux États-Unis, occasion parfaite pour refaire l’histoire côté surfeuses.

Lire plus »
Iga Swiatek

Le Best-of ÀBLOCK! de la semaine

Un show urbain au parfum olympique, des pense-bêtes de sport avec des tenniswomen qui veulent tout casser à Roland-Garros (dont Iga Swiatek sur notre photo), une nouvelle chroniqueuse qui nous conte ses joies et déboires de sportive, une Question qui tue pour ne pas prendre une ride, c’est le meilleur d’ÀBLOCK!. Enjoy !

Lire plus »
Coralie Ducher à l'assaut du Danemark !

Le Best-of ÀBLOCK! de la semaine

Un retour sur l’histoire du water-polo conjugué au féminin, des coups de pédales pour la bonne cause (Coralie Ducher sur notre photo), une question qui tue estivale et le lancement du podcast ÀBLOCK! avec une femme qui a dompté les océans et les préjugés, c’est le meilleur de la semaine sur ÀBLOCK!.

Lire plus »

Vous aimerez aussi…

Adjudante Virginie V. : « Le sport, ce n’est pas loin d’être ma vie. »

Le Best-of ÀBLOCK! de la semaine

Une course en haute altitude, des JO au garde à vous, un spécialiste du baseball, une adjudante championne de cross-country (Virginie sur notre photo) et une question qui tue, c’est le meilleur de la semaine sur ÀBLOCK!. Faites place !

Lire plus »
Hal Connolly et Olga Fikotova

JO 1956 : Hal Connolly et Olga Fikotová, love story au temps de la guerre froide

Elle était lanceuse de disque, il était lanceur de marteau. Elle était tchécoslovaque, il était américain. En plein cœur des Jeux Olympiques de Melbourne, ils ont connu à la fois gloire et déshonneur en décrochant une médaille d’or et en vivant une histoire d’amour interdite entre bloc de l’Est et bloc de l’Ouest. Récit d’une « olympic romance » qui a enflammé le monde.

Lire plus »
Audrey Adiceom

Audrey Adiceom : « Au tir à l’arc, il ne faut jamais oublier de tirer avec le cœur.»

Le tir à l’arc pour elle, c’est avant tout une histoire de hasard. L’archère auvergnate, qui a découvert la discipline à l’école, s’est autorisée des ambitions internationales sur le tard. À 24 ans, Audrey Adiceom travaille d’arrache-pied pour assouvir ses envies de médailles et, notamment, de médailles olympiques. Même si, parfois, « ça lui broie le cœur ». Rencontre avec une athlète touchante qui a plusieurs cordes à son arc.

Lire plus »
Retour en haut de page

Recherche

Soyez ÀBLOCK!

Abonnez-vous à la newsletter

WordPress Cookie Notice by Real Cookie Banner