Clelia Liget-Latus « Quand je suis sur la glace, j'oublie tout. »

Clelia Liget-Latus : « Quand je suis sur la glace, j'oublie tout. »
La grâce d’une danseuse, le mental d’une bosseuse, Clelia Liget-Latus, 15 ans, est une patineuse artistique aussi fraîche que déterminée. Double championne de France en individuel et championne de France en couple, elle trace son sillon sur la glace avec une grande maturité et un entourage béton. Une pépite sur patins à suivre et l’un des espoirs du patinage artistique français en couple.

Par Claire Bonnot

Publié le 27 novembre 2025 à 15h54

Petite-fille, tu étais déjà une grande sportive ?

Une vraie boule d’énergie ! Je ne tenais pas en place. Mes parents m’avait mise à la piscine assez tôt, à 4 ans, et c’est comme ça que j’ai découvert le patin à glace. La patinoire se trouvait juste à côté de là où je nageais et je me souviens, enfant, avoir été émerveillée par la grâce des petites filles en patins que je voyais glisser au travers des baies vitrées.

C’est donc comme ça que tu as eu envie de te lancer dans le patinage ?

Oui, j’ai tout de suite demandé à ma maman si je pouvais faire du patinage artistique. Mais elle a préféré que je finisse mon année de danse et de natation. Mais j’ai gardé ma petite idée en tête et j’ai chaussé mes premiers patins à l’âge de 5 ans.

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Et comment ça s’est passé : tu glissais sans souci ?

Honnêtement, je ne me rappelle pas très bien de mes premiers pas sur la glace, j’étais trop petite mais, apparemment, oui, je glissais sans problème. C’est comme ça qu’ils détectent notre potentiel, d’ailleurs. Si, au départ, à l’école de patinage, ma mère m’habillait en « Bibendum » avec casque, genouillères et tout, très vite, à Noël, j’ai reçu ma première tunique de patinage. Et ça a été la révélation. C’est un peu comme mettre un « habit de lumière ». Ma mère a d’ailleurs coutume de dire que je brille sous la lumière.

Qu’est-ce qui t’a plu dans ce sport ?

On se sent très créatif sur la glace, on est totalement libre de ses mouvements, peut-être même plus qu’en danse. Comme on glisse, on a la sensation d’avoir plus d’espace pour s’exprimer. Et j’ai toujours adoré les costumes et la musique. Avec le patinage artistique, on entre dans un monde à part. C’est assez merveilleux. Quand on prépare une chorégraphie, on prend une musique qui nous inspire, on développe sa créativité avec les mouvements. Depuis trois ans, j’ai la chance de pouvoir créer mes programmes individuels avec ma coach.

Tes débuts ont vite été prometteurs ?

J’ai été convoquée assez vite par ma professeure pour intégrer le « groupe détection ». C’est sept heures de patin par semaine. Je rentrais au CP, j’avais 6 ans. Au départ, ma mère a refusé. Mais comme mon père a toujours été très sportif, il voulait que j’ai la même chance. Après discussion, mes parents m’ont permis de passer cette nouvelle étape. La suite, ça a été l’intégration du groupe « pré-compétition » pendant trois mois. J’étais la plus jeune. Et, enfin, le passage dans le groupe « compétition », à 7 ans. Le plus beau moment pour moi, ça a été mon titre de championne de France à 8 ans, en 2018. Le thème était Le Cinquième Élément.

Comment tu te sens sur la glace quand tu patines ?

Vraiment libre et créative. Et je crois que la créativité, c’est vraiment l’endroit où on se sent totalement soi-même. Et où on peut laisser tous les problèmes de côté. Quand je patine, j’ai l’impression d’être dans un tout nouvel état d’esprit. Il y a la vie que je laisse au vestiaire et l’esprit que j’ai sur la glace. Ce sont deux choses totalement différentes. Après, si l’entraînement ne se passe pas super bien, le moral en prend un coup, mais bon, avoir des mauvais moments, c’est normal. Quand tu es sur la glace, tu oublies tout. C’est une évasion du corps et de l’esprit.

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Quels sont tes atouts en patinage ?

Ce n’est pas simple de dire du bien de soi ! Je peux me lever extrêmement tôt pour être à la patinoire et bosser. Même quand je ne peux pas patiner à cause d’une blessure, je viens regarder et apprendre. Sinon, on me parle souvent de mon explosivité et, je pense aussi, le côté artistique. J’adore chorégraphier mes programmes : j’ai déjà patiné sur le thème du Petit Prince pour lequel j’ai inclus la langue des signes ou encore sur celui de Mistral Gagnant de Renaud (Clelia a été championne de France avec ce programme chorégraphié par elle-même, Ndlr).

Est-ce que tu as déjà vécu un moment difficile dans ta jeune carrière de patineuse et qu’est-ce qui t’a fait « rechausser les patins » ?

Il y a un saut dans le patinage qui donne du fil à retordre à tout le monde car il est très difficile à avoir : c’est le double axel. Il faut beaucoup d’entraînement pour ça. Moi, ça a dû me prendre deux ans et demi. Il faut vraiment avoir un mental d’acier pour ne pas baisser les bras parce qu’on passe autant par des phases de progression que de régression ou de stagnation. Et quand on le réussit pour la première fois, c’est la liberté totale ! On a tellement travaillé dur pour y arriver que c’est un grand bonheur de le passer. Ça a été une période difficile pour moi parce que c’est vraiment un cap à passer ce saut. J’ai réussi à l’avoir il y a trois-quatre ans.

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Est-ce que tu as déjà eu peur en patinant et en sautant, justement ?

Je suis tombée pas mal de fois en faisant le double axel et même encore maintenant, surtout quand je suis fatiguée. Mais je n’ai pas vraiment peur parce qu’à force, on prend l’habitude et on sait comment appréhender les chutes. Quand on est sur la glace, ça va très, très vite. Un saut, ça représente seulement 0,4 secondes. Donc très vite, mentalement, en fonction de comment on a commencé, comment on saute, on voit si on va se poser sur la glace et si on va tomber. Ça, ça vient avec l’expérience mais, parfois, ça nous prend par surprise. La seule frayeur que je me suis faite, c’était lors de ma première compétition en couple, où je suis tombée lors d’un porté. On a fait une grosse chute, et j’ai vraiment eu très peur pour nous deux. J’ai vécu le trou noir, ce moment où on se voit chuter sur la glace et après, on ne sait pas trop ce qu’il s’est passé. Mais il ne faut jamais rester là-dessus, il faut repartir sinon ça crée un gros blocage mental.

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Comment tu parviens à traverser tes peurs, mentalement ?

Il y a quelques mois, j’ai eu une fracture de fatigue à la cheville et pour passer au-dessus de l’appréhension de la douleur, ça a été vraiment dur. Mon cerveau ne voulait pas passer ce cap. Physiquement, tous les voyants étaient au vert, je pouvais repartir, mais, mentalement, ça freinait. J’avais deux peurs : me faire mal à nouveau et ne jamais réussir à repasser mes sauts. Ce qui est fou avec ce sport, c’est que le double axel tout comme les triples sauts, on peut les passer pendant un temps et puis ne plus y parvenir. Après cette blessure, je n’en ai pas refait un seul… Mais j’ai essayé de retrouver le double axel par tous les moyens. Et c’est là où le mental peut tout changer. À un moment, j’ai décidé de remettre les compteurs à zéro en me disant que ce n’était pas grave et que j’allais y arriver, que je savais le faire. Et hop, il est passé du deuxième coup ! C’est ma figure préférée.

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Qu’est-ce qui te permet de toujours (re)foncer sur la glace ?

Je crois que c’est le fait d’être extrêmement bien entourée. C’est ça qui m’aide mentalement, dans les moments difficiles, et qui me booste aussi. Mon beau-père est mon coach-formateur et mon papa a pratiqué le hockey sur glace quand j’ai démarré le patin. Il voulait partager ce sport de glisse avec moi. Maman me dit que je suis le ciment qui lie la famille grâce à cette passion. Quand je suis en compétition, j’ai la chance d’avoir toute ma famille autour de moi : mes parents, mes grands-parents. Ils croient à fond en moi et ça joue beaucoup dans mon parcours !

Tu patines en individuel et en couple.

Oui, j’ai fait les deux parcours. Ce qui veut dire que sur un même week-end, notamment en championnat de France, je réalise quatre programmes (deux en individuel, deux en couple). Je m’engage actuellement dans ma dernière année sur la double discipline : je vais, en effet, me consacrer uniquement au couple car je souhaite performer à haut niveau la saison prochaine. En couple, j’aime particulièrement les portés, la figure la plus spectaculaire et la plus créative. Ça fait toujours quelque chose de se dire qu’on est porté, en l’air, c’est comme voler.

Qu’est-ce que tu recherches chez ton partenaire ?

De la complicité avant tout et une bonne entente parce qu’on doit patiner ensemble tous les jours pendant cinq heures. Outre cette bonne entente humaine, la compatibilité des projets, du lieu de vie et l’âge jouent beaucoup. Malgré le potentiel et notre titre de champions de France en couple novice, mon premier partenariat s’est arrêté car nous n’habitions pas dans la même ville et n’avions même pas le même pays d’entraînement. Aujourd’hui, en individuel, je suis en novice. Mais, en couple, je suis junior. Actuellement, depuis plus d’un an, je patine avec un américain, Allan Daniel Fisher. On a commencé les essais en avril 2024 et on patine ensemble depuis le mois de mai 2024. On a été vice-champions de France junior cette année-là, en septembre, même si on a enchaîné les blessures : rupture des tendons d’Achille et pouce tordu pour Allan, blessure à la cuisse suite à des chutes répétées et douleur intense jusqu’à la cheville pour moi. Ça a été une belle récompense ce podium parce que ça n’a pas été simple à gérer mentalement et physiquement. On a eu beaucoup de temps d’arrêts.

Depuis fin août, nous avons participé à deux Grands Prix – des sélections pour les championnats du monde junior – et avons réalisé de très belles performances : une cinquième place à Riga, en Lettonie, et une sixième à Ankara, en Turquie. Et cela, seulement à une semaine d’intervalle. Un rythme intense. Nous sommes très heureux et fiers d’autant plus que nous avons augmenté notre score de l’an dernier de plus de vingt points.

Comment votre partenariat a commencé avec Allan ?

Ça passe beaucoup par les réseaux sociaux, aujourd’hui. C’est Allan qui m’a contactée. Il m’avait vue sur Instagram. On a d’abord fait des essais. Puis, je suis partie à Miami pendant deux semaines avec mes parents pour voir un peu comment ça se passait entre nous et si je me voyais vivre là-bas. C’était un de mes rêves depuis toute petite d’aller en Amérique. J’ai toujours dit à mes parents qu’un jour je vivrai là-bas donc c’est un peu fou tout ça.

Aujourd’hui, avec ce nouveau partenaire américain, tu t’entraînes donc, à moitié aux États-Unis et à moitié en France. Ça doit être une expérience incroyable et, en même temps difficile à ton âge. Comment ça se passe ?

C’est vraiment extra de vivre ça à mon âge même si ça n’a pas été simple de partir. Au départ, je ne parlais pas du tout anglais et je quittais ma famille pour la première fois. Mais six mois après, je parle couramment anglais, ça change des cours au collège. Je suis en immersion complète : je suis logée en famille d’accueil américaine et les coachs ainsi qu’Allan ne parlent qu’en anglais. J’ai appris sur le tas ! Et puis, je vis ma passion, j’ai tout donné pour le patinage artistique depuis que je suis toute petite. Mon rêve est d’aller le plus haut et le plus loin possible. Donc, je suis prête à passer beaucoup d’obstacles. Le côté financier, notamment, est compliqué. Je suis donc en recherche de sponsors pour que mon projet continue avec Allan. Quand je pars aux États-Unis pour m’entraîner en couple, il faut compter le billet aller-retour, environ 1000 euros, les frais d’entraînement sur place, 1700 dollars le mois, et l’hébergement en famille d’accueil, 200 dollars par semaine.

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Tu fais comment pour les études ?

J’ai un emploi du temps aménagé, et même à distance avec le CNED, cette année, puisque je fais des allers-retours en Amérique. C’est pas simple, surtout que, cette année, j’étais en troisième et j’ai dû passer le brevet. Mais mon objectif est atteint : j’ai le brevet en poche, avec une mention très bien ! Mon nouveau défi désormais : la Seconde !

Qu’est-ce que tu aimerais faire professionnellement ?

Depuis très longtemps, je veux être professeure des écoles. Mais j’ai fait un stage en pâtisserie et ça me tente bien aussi. Sinon, dernièrement, j’ai regardé une série qui m’a donné très envie de devenir enquêteur criminel. J’aime beaucoup la psychologie donc j’aimerais connaître une peu mieux ce domaine.

Si tu devais nous raconter ta journée type ?

Je me réveille, je prends mon petit déjeuner et je pars à l’entraînement. En France, depuis chez moi, j’ai une heure et demie de transport tous les matins pour y aller. Je patine de 9h à 15h, l’entraînement est entrecoupé de petites pauses pendant lesquelles je mange. Puis, je rentre chez moi, je fais mes devoirs comme je peux, de 16h à 19h environ. Je fais aussi du gainage et du renforcement musculaire dans la semaine. Les journées sont plutôt denses.

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Quel a été l’un des moments les plus forts dans ta jeune et prometteuse carrière de patineuse ?

J’en ai plusieurs en tête : celui de champions de France en couple en 2023 avec Noah (Quesada, Ndlr) qui a été un grand moment et ces deux derniers Grands Prix avec Allan qui m’apportent une joie immense car ils sont une vraie projection sur l’avenir. Ces expériences m’ont permis d’être intégrée en équipe de France et d’être ajoutée sur liste ministérielle. Faire un podium, c’est d’ailleurs la garantie d’avoir le CNED financé. C’est là où j’ai vraiment réalisé tout ce que ma performance me permettait d’accomplir pour mon projet. Ça permet d’avoir moins de charge mentale, moins de pression, même si le reste du financement est toujours compliqué.

Dans tous tes programmes, il y a des chorégraphies, des univers que tu as préférés ?

En individuel, mon préféré est Le Cinquième Élément. Je n’ai vu le film qu’après avoir fait ma choré. C’est mon papa qui m’en avait parlé. Je me suis même fait une frange exprès pour ressembler à Leeloo mais je ne me suis pas teint les cheveux en orange parce que ça risquait de tacher ma tenue blanche. Ce programme a beaucoup plu, les juges venaient me féliciter ! Ma mère pense que c’est parce que je proposais quelque chose d’un peu inédit pour une petite fille de 8 ans :  souvent, à cet âge, on aime patiner en Reine des Neiges ou, en tout cas, dans l’univers de Disney. En couple, mon préféré, c’est Zorro, avec Allan, en programme long, sur la musique de Tina Arena. Cette année, mon programme court est vraiment très chouette, les tenues et la choré sont au diapason !

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Est-ce que tu as une idole dans ton sport qui t’inspire particulièrement ?

J’adore tous les patineurs de haut niveau, notamment Loena Hendrickx qui patine en individuel (25 ans, quintuple championne de Belgique, vice-championne du monde en 2022 et championne d’Europe en 2024, Ndlr). Mais Philippe Candeloro et Surya Bonaly restent dans mon top. J’ai eu la chance de rencontrer Philippe quand j’étais petite et, depuis, dès qu’il y a un show près de chez nous, il me demande si je veux y participer. Par exemple, quand il avait sa patinoire à Colombes, il m’avait proposé de venir pour le gala de Noël. Il m’a coachée aussi récemment pour une compétition. Même si je le connais, je suis quand même toujours un peu impressionnée. Je suis fascinée par tout ce qu’il a fait – il a changé le monde du patinage – et par son originalité. Il est toujours sorti du lot avec ses programmes et ça, ça m’inspire tellement ! Surya Bonaly, c’est parce que c’est l’une des plus grandes patineuses françaises et qu’elle a patiné avec mon beau-père.

Clelia avec Philippe Candeloro…©DR

Quels sont tes objectifs cette saison ?

Avec Allan, nous avons validé nos scores minima pour pourvoir prétendre à participer aux championnats du monde junior qui se dérouleront à Tallinn, en Estonie, du 2 au 8 mars 2026. Nous attendons de voir, sur les trois couples français sélectionnés en Grands Prix, quels sont les deux couples qui auront fait, en plus de valider les scores minima, les meilleurs scores sur les deux Grands Prix. Nous serons peut-être sélectionnés. Encore quelques semaines d’attente. Et un autre objectif sera de passer mon triple salchow lancé, mon triple flip lancé et mon triple twist !

Et ton rêve absolu, ce serait…

Les Jeux Olympiques, bien sûr ! J’ai même un bracelet avec le sigle des JO sur lequel j’ai fait graver « Dream ».

Le sport de haut niveau, et plus particulièrement le patinage artistique, ça t’apprend quoi sur toi et sur la vie ?

La maturité de partir très loin, de me forger des convictions, et la confiance en moi, celle de me présenter, depuis mes 5 ans, sur des lames de deux millimètres devant douze juges et un gradin plein. Ma mère me dit toujours que ce sera plus simple pour moi de passer un entretien d’embauche…

Qu’est-ce que tu dirais aux petites filles qui rêvent de devenir patineuses de haut niveau ?

Je pense que je leur dirais de ne jamais baisser les bras, de toujours garder l’esprit ouvert, d’écouter les conseils, de garder la tête froide et de se dire qu’à chaque entraînement, on repart sur de nouvelles bases. Et surtout de se donner à fond !

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Le Palmarès de Clelia Liget-Latus :

  • En individuel : Championne de France Poussine (2020), Championne de France Benjamine (2022), Vice championne de France Benjamine (2023), Médaille de bronze en compétition ISU à dundee en écosse (2023) Et 4e en Islande (2023)
  • En couple : Avec Noah Quesada Grau (catégorie novice) Victoire au Tournoi de France novices (2022) avec le titre de Champions de France, Multiples podiums sur la scène nationale. Avec Allan Daniel Fisher (catégorie junior) : Vice-champions de France juniors 2025, Masters de Villard-de-Lans 2024, Sélections régulières en ISU Junior Grand Prix : 15ᵉ au JGP Ostrava (2023), 5ᵉ au JGP Riga (2025) validation des minimas pour la participation aux championnats du monde, 6ᵉ au JGP Ankara (2025), avec un record personnel de 127,65 points.
  • Pour suivre Clelia à la trace sur la glace, direction son compte Instagram @clelia.skater

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