Publié le 16 juillet 2024 à 17h16, mis à jour le 16 juillet 2024 à 18h03
Il existe des valeurs inhérentes au sport. En tout cas, chez ÀBLOCK!, nous en sommes plus que convaincus, et on est pas les seuls…
Nos partenariats vont dans ce sens, avec par exemple le Festival femmes en Montagne, la Coupe du Monde de Foot des Quartiers, les podcasts « 1m60Max » ou « Le dessous des pelouses », et même avec notre ambassadrice, la runneuse Anaïs Quemener qu’on ne quitte pas d’une semelle.
Rien d’étonnant alors à ce que nous mettions en lumière l’initiative d’une mutuelle qui s’engage, avec laquelle nous parlons le même langage quand les sujets de médiatisation, d’inclusion, d’équité et d’accessibilité dans le sport arrivent sur la table. La Matmut se fait plutôt discrète sur ces sujets et c’est dommage car ses actions sont là pour rappeler qu’elle est bien de son temps et que son engagement va au-delà des mots. Pour preuve, son programme « Le Sport TRÈS Collectif » et son soutien à des sportifs dont la championne de boxe Elhem Mekhaled que nous allons suivre ce week-end du 20 juillet à Birmingham. Là, elle combattra pour la ceinture WBC par intérim. Restez connectés, on vous en dit plus d’ici vendredi !
La boxeuse Elhem Mekhaled, engagée dans le programme « Le Sport TRÈS Collectif »… ©Matmut
Mais quid de ce programme « Le Sport TRÈS Collectif », programme qui a pour ambition de faire du sport « un outil au service du mieux vivre ensemble », comme le dit Christophe Bourret, le Président du Groupe Matmut ?
Il se divise en trois piliers complémentaires. Le premier est l’encouragement ou comment mobiliser les fans et les sportifs en faveur de l’inclusion. Le club de football Quevilly Rouen Métropole, partenaire Matmut, a ainsi accompagné sur la saison 2023-2024 dix jeunes atteints de troubles de spectre autistique à la pratique du foot. Le club et la Matmut ont pris en charge la formation d’un éducateur spécialisé pour ce public spécifique. Un exemple parmi d’autres auquel on peut ajouter les collectes de matériels, la découverte du céci-foot ou du rugby pour les jeunes filles…
Mais aussi, le soutien aux Journées Évasion organisées par l’asso Premiers de cordée dont la présidente est l’ex-patineuse Nathalie Péchalat. L’objectif est de proposer aux enfants hospitalisés ou en situation de handicap de découvrir des sports aux côtés de sportifs de haut niveau.
Deuxième pilier, l’accessibilité au sport pour toutes et tous. Il n’est pas nécessaire d’être des aficionados de compet’ pour prendre plaisir à pratiquer une activité physique, la clé est de trouver la discipline ou l’événement qui donne envie de se mettre en mouvement. Le sport est avant tout une fête, le chrono, c’est en option !
Le Seine Marathon 76, événement partenaire Matmut, propose, depuis 2019, un 5 kilomètres à allure libre ; tout comme le 10 km des quais de Bordeaux qui, depuis 2023, propose une variante sur ce même format signé Matmut, un 5km pour encourager la pratique sportive du plus grand nombre et ça marche si l’on en croit les premiers chiffres de ces épreuves sans chronomètre : en trois éditions, le 5 km Matmut est passé de 800 à 1 500 participants de tous âges.
Ce type de running libre est en pleine démocratisation, tout comme le sport sur ordonnance pour lequel la Matmut milite. On rentre là dans un domaine sport-santé pur et dur, et ça se tient pour une mutuelle, non ?
Le Seine Marathon 76, 100 % Rouen Normandie…©Matmut
Le troisième et dernier pilier du programme est également dans l’ADN d’ÀBLOCK! : renforcer l’équité de traitement dans le sport de haut niveau. Vaste sujet et combat de tous les jours, auquel la Matmut participe en mettant en avant ses sportives et sportifs, autant d’ambassadrices et ambassadeurs qui s’impliquent pour faire bouger les lignes : le champion paralympique de triathlon Alexis Hanquiquant, la boxeuse multi-titrée Elhem Mekhaled, l’handi-athlète Célia Lixon en tennis de table…
Le dispositif « Volant Matmut 100 % féminin » va également dans ce sens et permet à des championnes de l’asphalte de se lancer dans une discipline encore très difficile d’accès aux femmes.
Les pilotes se challengent lors du dispositif « Volant Matmut 100 % féminin »… ©️Patrick Hecq/Matmut
Enfin, le fait de s’associer à la Grande Cause Nationale 2024 pour encourager l’activité physique n’est pas un hasard non plus : « Ce sujet de solidarité nationale nous est cher et nous permet d’inscrire notre action dans une perspective plus large. Car c’est en agissant collectivement et en rassemblant nos énergies que nous arriverons à faire bouger les choses », explique Nicolas Gomart, Vice-Président et Directeur Général de la Matmut. Un partenariat logique quand il s’agit de lutter contre la sédentarité, en écho à la recommandation de l’OMS et sa préconisation des 30 minutes d’activité physique quotidienne.
Le programme « Le Sport TRÈS Collectif » n’en est pas à son coup d’essai. En 2022-2023, ce ne sont pas moins de 28 actions qui ont été menées avec 13 partenaires Matmut. Au total, 7 860 personnes ont bénéficié de ce programme. Et ça, ça donne le smile…
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D’autres actus en brèves…
Dans l’univers parfois écrasant du sport de haut niveau, Neroli Fairhall brille comme une étoile insolite. La Néo-zélandaise défie les conventions et repousse les limites du possible. C’est la première athlète paralympique à participer à une épreuve des Jeux Olympiques. Nous sommes le 11 août 1984.
À Londres, elle ajoute un nouveau chapitre glorieux à son parcours d’athlète. Meseret Defar, icône éthiopienne des pistes, remporte le titre olympique du 5 000 mètres. Mais la bataille sera épique contre une autre star de l’athlétisme…sa cousine. Nous sommes le 10 août 2012.
Un duo magique. La cavalière Charlotte Dujardin et son hongre bai Valegro éblouissent le monde du dressage équestre. Aux Jeux Olympiques de Londres 2012, après avoir remporté la médaille d’or en dressage par équipes, ils s’apprêtent à marquer de nouveau cette discipline de leur empreinte. Nous sommes le 9 août 2012.
Une simple suggestion. Une suggestion audacieuse de son coach et petit ami, Ernst Luding. Et la patineuse allemande Christa Rothenburger brise les frontières entre les Jeux Olympiques d’été et d’hiver…
En 1984, aux Jeux Olympiques de Los Angeles, le 400m haies féminin fait son apparition. Qualifiée en finale, la Marocaine Nawhal El Moutawakel va devenir la première femme d’un pays musulman à remporter une médaille olympique. Nous sommes le 8 août 1984.
Après sa médaille de bronze obtenue sur le 400m des Jeux de Tokyo 2021, Allyson Felix devient l’athlète féminine cumulant le plus grand nombre de podiums aux Jeux Olympiques. Le lendemain, elle a l’occasion de marquer encore un peu plus l’histoire avec le relais 4x400m féminin. Nous sommes le 7 août 2021.
Alors que la chaleur estivale enveloppe les Pays-Bas, une nouvelle pépite brille dans les flots de la natation américaine. Martha Norelius, jeune prodige, émerge comme la première grande nageuse des États-Unis. Après son éclat aux Jeux Olympiques de 1924 sur le 400m nage libre, elle est en capacité de récidiver aux Jeux d’Amsterdam. Nous sommes le 6 août 1928.
Une revanche. En 1968, lors des Jeux Olympiques de Mexico, la plongeuse américaine Maxine « Micki » King captive le monde avec son courage et sa persévérance. Son retour en 1972 est d’autant plus remarquable.
En cette année 1984, Los Angeles est le théâtre d’une bataille épique sur les pistes olympiques. Parmi les moments les plus mémorables de ces jeux se trouve la performance de Gabriela Andersen-Schiess lors du tout premier marathon féminin. Nous sommes le 5 août 1984.
Dans le tumulte des JO, des moments insolites et inspirants se sont produits au fil des décennies. Mais peu peuvent rivaliser avec l’acte de fair-play remarquable lors de la finale d’escrime des Jeux de 1932. La Britannique Judy Guinness renonce délibérément à la médaille d’or pour l’intégrité du sport. Nous sommes le 4 août 1932.
Avant ces Jeux Olympiques de 1984 à L.A., aucun Américain, homme ou femme, n’avait remporté de médaille d’or au concours général de gymnastique artistique. Mary Lou Retton est entrée dans l’histoire après avoir brisé cette barrière symbolique. Nous sommes le 3 août 1984.
À l’aube des Jeux de Rome, l’Union Soviétique a déployé sur la scène olympique deux énigmatiques athlètes : les sœurs Irina et Tamara Press. Vêtues de rouge, symbole de leur patrie, elles ont immédiatement captivé les regards, et plus particulièrement ceux des détracteurs…
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