Publié le 31 juillet 2023 à 16h05
Sacré mois de juillet pour tous les amateurs de sport ! Coupe du Monde féminine de football, Tour de France, championnats du Monde de natation… et le volley également à la fête !
Alors, certes, la Challenger Cup passe un peu sous les radars, mais l’enjeu était pourtant de taille pour les huit équipes participantes ! Le vainqueur de ce tournoi remportait une qualification pour la Ligue des Nations 2024, LE championnat international du volley. L’occasion de briller sur le devant de la scène et de se frotter à ce qui se fait de mieux dans la discipline.
©Fédération Française de Volleyball
Et les tricolores étaient (fermement) dans la place ! Malgré un groupe jeune et peu expérimenté, la France visait la victoire lors de cette Challenger Cup à Laval, en France. Participer à la Ligue des Nations, il n’y a pas de meilleur apprentissage, encore davantage l’année des Jeux Olympiques à domicile !
Les Bleues voulaient saisir leur chance et elles n’ont laissé que des miettes à leurs adversaires. Et pour arriver à ça, quoi de mieux que d’avoir le public derrière soi ? À Laval, les Françaises pouvaient compter sur les Bretons et Bretonnes pour les transcender. Ce qui fut fait.
Lors de leur premier match, jeudi 27 juillet, contre une mystérieuse équipe du Vietnam, les protégées d’Emile Rousseaux ont déroulé. Leurs adversaires ont tenté crânement leur chance, mais les Françaises étaient au-dessus. Victoire nette et sans bavure trois sets à zéro en à peine plus d’une heure de jeu pour l’équipe de France !
Dans cette confrontation, les Bleues ont assumé leur statut de favorites. La capitaine Héléna Cazaute et sa coéquipière Lucille Gicquel ont particulièrement brillé, inscrivant chacune seize et dix-huit points. Le service des Françaises a également été à l’honneur lors de la rencontre. Onze aces, ça fait une sacrée différence au final !
Puis, le samedi 29 juillet, c’est une solide équipe d’Ukraine qui a voulu se dresser sur la route de notre équipe de France. Sur les deux derniers matchs opposant ces deux formations, le score est de un partout. Place à la belle… Et la France a fait le job, battant l’Ukraine 3-0 lors de cette demi-finale.
Pas question de s’arrêter en chemin, ce dimanche 30 juillet pour la finale, elles ont affronté avec la manière les Suédoises. Résultat : un braquage en règle de la part de nos volleyeuses made in France et une victoire, la première en Challenger Cup de surcroît. Les Françaises se sont imposées 3 sets à 1, se qualifiant du même coup pour la Ligue des Nations 2024 et se hissant à la 17e place du ranking mondial, un classement historique pour les Bleues. Un succès lors de cette Challenger Cup qui lance aussi parfaitement la préparation olympique.
Maintenant, il n’y a plus qu’à prendre la balle au bond !
©Fédération Française de Volleyball
Toutes nos enquêtes
Vous aimerez aussi…
Rassembler les amateurs et acteurs du sport, soutenir les fédérations, c’est l’ambition de Wasani. Cette application, lancée il y a trois ans, souhaite faciliter la pratique sportive et permettre à tous de partager des valeurs et des moments inoubliables. Tout simplement.
Elle aime se définir comme une femme d’engagement. La Bretonne Dominique Carlac’h co-préside, du haut de son 1,84m, aux destinés du Medef. Elle est aussi cheffe d’entreprise et ex-sportive de haut niveau, championne de France au 400m. Le sport l’a nourrie, construite, presque façonnée. Mais il l’a aussi fragilisée, bouleversée. Entretien XXL avec une drôle de dame qui n’a plus peur de rien.
Ce 31 juillet, la blonde hurdleuse au regard clair et au sourire franc s’élancera sur le 100m haies dans l’objectif de se qualifier pour les demi-finales des JO de Tokyo. Championne olympique de la jeunesse en 2015 et multi médaillée dans les compétitions nationales et internationales, Laura Valette la fonceuse veut vivre son rêve olympique à fond.
5 catégories pour 15 prix. L’asso Femix’Sports vient de lancer la quatrième édition de ses Trophées récompensant sportives, arbitres, bénévoles et fédés, autant de personnalités engagées dans le sport féminin. À vous de voter !
Une lutteuse qui ne lâche rien, deux femmes dans une auto, un 5 infos pour briller au revers avec une championne dénommée Maria (Sharapova, notre photo), la fameuse question qui tue et une initiative qui a toutes les cordes à son arc, c’est la séance de rattrapage sur ÀBLOCK!
Elle se destinait à une carrière dans la pub, elle est devenue accro à la photo. Catherine Steenkeste, notamment photographe de la NBA, trace son parcours en solo avec toujours la même passion, la même exigence. Pour ÀBLOCK!, elle a accepté de partager cinq clichés qui lui ressemblent. Comme ce portrait gourmand de la basketteuse Sandrine Gruda…
Ce samedi 8 octobre, si on s’offrait une petite mise en bouche de Paris 2024 ? À moins de deux ans des JO, une Journée Paralympique s’installe place de la Bastille et mettra en avant des champions et championnes que rien n’arrête. L’athlète et présidente du Comité Paralympique et Sportif Français, Marie-Amélie Le Fur, y jouera les coachs, entre animations et autres démonstrations sportives et festives. On y va ?
Elle évolue au Stade Brestois et est devenue, il y a quelque mois, la première capitaine de la toute nouvelle équipe de France de Futsal. À bientôt 29 ans, Alexandra Atamaniuk, footballeuse pro et futsaleuse, mène de front ses deux carrières sportives avec la même gourmandise. Rencontre avec une pionnière qui ambitionne de mener les Bleues sur le chemin du Mondial.
Une gymnaste qui a dépassé la dépression et les embûches pour mieux performer, une warrior qui a passé la corde au cou à la Tour Eiffel (Anouk Garnier sur notre photo) ou encore une nageuse ambitieuse et une runneuse qui nous emmène dans les coulisses de sa vie, c’est le meilleur d’ÀBLOCK!
Elle a traversé la dépression, l’exil, les doutes. Aujourd’hui, figure mondiale du fitness et du bien-être, influenceuse, coach, entrepreneure, Massy Arias s’est donné pour mission d’aider les femmes à s’aimer. Portrait d’une battante qui a fait du sport sa renaissance.
Elle se construit à travers son sport, mais aussi dans la vie en combattant jour après jour sa plus grande ennemie : elle-même. Car si son petit 1,54m l’a embarrassée un temps, aujourd’hui, la championne d’escalade Elsa Ravinet a dépassé ce qui n’est plus un obstacle. Et c’est ce qu’elle nous raconte à l’occasion de notre partenariat avec le podcast 1m60max.
Petit cours d’histoire express sur un sport très vite conjugué au féminin puis perdu de vue avant de revenir sur le devant de la scène. Ou plutôt du stade.
Abonnez-vous à la newsletter
