Il a été Philippe B., légende du GIGN, il est aujourd’hui Aton, son nom d’artiste depuis sa reconversion dans le cinéma. Grand sportif, il mène sa vie comme un combattant et tel que le lui a appris son père. Mais il aime à dire que c’est grâce à sa mère qu’il a connu la force féminine.
Pour lui, les femmes n’ont rien à prouver, surtout pas dans le sport. Et il sait de quoi il parle : son épouse est une ex-athlète de haut niveau.
Extraits choisis :
« J’aime voir les femmes retirer leurs talons et devenir guerrière sur un ring. »
« Le milieu du GIGN est ouvert aux femmes. Après, au niveau physique, c’est extrêmement dur pour une femme, ce n’est pas machiste de dire ça. Mais, bon, certaines aujourd’hui envoient du lourd, on le voit notamment dans le CrossFit. Pourtant, il ne faut pas se tromper dans ses motivations. Venir au GIGN pour prouver qu’on peut faire comme les hommes, ce n’est pas jouable. »
« Il faut arrêter de comparer les hommes et les femmes, dans le sport comme ailleurs. Nous sommes complémentaires. »
On l’écoute ?