Publié le 19 juillet 2021 à 9h38, mis à jour le 18 octobre 2021 à 15h00
Une semaine, deux événements féminins. Un pari que relève la commune des Contamines-Montjoie, Haute Savoie, depuis dimanche et jusqu’au 25 juillet. Ainsi, l’Open International de tennis féminin rouvre ses courts pour sa 23e édition.
Tandis que la semaine d’ateliers sportifs et de bien-être, « Femmes au sommet », revient pour la deuxième fois.
Une soixantaine de joueuses venues du monde entier pourront prétendre remporter les 25 000$ de prize money.
Un programme bien chargé sur huit jours de compétition : trois tournois. Le tournoi de pré-qualificatif, le tournoi international professionnel féminin et le tournoi international féminin de para-tennis seront accessibles et gratuits au public.
Pauline Parmentier, jeune retraitée et victorieuse de la Fed Cup, en 2019 avec l’Équipe de France, sera la marraine de cette édition.
Une semaine sportive pour la région qui accueille également des femmes, sportives ou non, pour des initiations à de nombreuses activités comme le yoga, le golf et, évidemment, le tennis.
Mais le corps, c’est aussi les papilles, des ateliers cuisine sont animés par Fabrice Boidard, le chef du restaurant « L’Ô à la bouche ».
Au programme également : une projection ciné drive ou des ateliers massage avec les Thermes de Saint Gervais.
Bref, c’est de la balle !
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D’autres actus en brèves…
Dans l’univers parfois écrasant du sport de haut niveau, Neroli Fairhall brille comme une étoile insolite. La Néo-zélandaise défie les conventions et repousse les limites du possible. C’est la première athlète paralympique à participer à une épreuve des Jeux Olympiques. Nous sommes le 11 août 1984.
À Londres, elle ajoute un nouveau chapitre glorieux à son parcours d’athlète. Meseret Defar, icône éthiopienne des pistes, remporte le titre olympique du 5 000 mètres. Mais la bataille sera épique contre une autre star de l’athlétisme…sa cousine. Nous sommes le 10 août 2012.
Un duo magique. La cavalière Charlotte Dujardin et son hongre bai Valegro éblouissent le monde du dressage équestre. Aux Jeux Olympiques de Londres 2012, après avoir remporté la médaille d’or en dressage par équipes, ils s’apprêtent à marquer de nouveau cette discipline de leur empreinte. Nous sommes le 9 août 2012.
Une simple suggestion. Une suggestion audacieuse de son coach et petit ami, Ernst Luding. Et la patineuse allemande Christa Rothenburger brise les frontières entre les Jeux Olympiques d’été et d’hiver…
En 1984, aux Jeux Olympiques de Los Angeles, le 400m haies féminin fait son apparition. Qualifiée en finale, la Marocaine Nawhal El Moutawakel va devenir la première femme d’un pays musulman à remporter une médaille olympique. Nous sommes le 8 août 1984.
Après sa médaille de bronze obtenue sur le 400m des Jeux de Tokyo 2021, Allyson Felix devient l’athlète féminine cumulant le plus grand nombre de podiums aux Jeux Olympiques. Le lendemain, elle a l’occasion de marquer encore un peu plus l’histoire avec le relais 4x400m féminin. Nous sommes le 7 août 2021.
Alors que la chaleur estivale enveloppe les Pays-Bas, une nouvelle pépite brille dans les flots de la natation américaine. Martha Norelius, jeune prodige, émerge comme la première grande nageuse des États-Unis. Après son éclat aux Jeux Olympiques de 1924 sur le 400m nage libre, elle est en capacité de récidiver aux Jeux d’Amsterdam. Nous sommes le 6 août 1928.
Une revanche. En 1968, lors des Jeux Olympiques de Mexico, la plongeuse américaine Maxine « Micki » King captive le monde avec son courage et sa persévérance. Son retour en 1972 est d’autant plus remarquable.
En cette année 1984, Los Angeles est le théâtre d’une bataille épique sur les pistes olympiques. Parmi les moments les plus mémorables de ces jeux se trouve la performance de Gabriela Andersen-Schiess lors du tout premier marathon féminin. Nous sommes le 5 août 1984.
Dans le tumulte des JO, des moments insolites et inspirants se sont produits au fil des décennies. Mais peu peuvent rivaliser avec l’acte de fair-play remarquable lors de la finale d’escrime des Jeux de 1932. La Britannique Judy Guinness renonce délibérément à la médaille d’or pour l’intégrité du sport. Nous sommes le 4 août 1932.
Avant ces Jeux Olympiques de 1984 à L.A., aucun Américain, homme ou femme, n’avait remporté de médaille d’or au concours général de gymnastique artistique. Mary Lou Retton est entrée dans l’histoire après avoir brisé cette barrière symbolique. Nous sommes le 3 août 1984.
À l’aube des Jeux de Rome, l’Union Soviétique a déployé sur la scène olympique deux énigmatiques athlètes : les sœurs Irina et Tamara Press. Vêtues de rouge, symbole de leur patrie, elles ont immédiatement captivé les regards, et plus particulièrement ceux des détracteurs…
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