Le rugby, les garçons et nous... Le dessous des Pelouses (Épisode 10)

Le dessous des pelouses
Les aventures en crampons des filles de l'équipe de Fédérale 1, la 3e division du championnat de France de rugby, se poursuivent au gré des rencontres musclées sur les pelouses.
Le rugby en mots, c'est presque aussi bien que de le jouer !

Publié le 18 juin 2020 à 11h01, mis à jour le 29 juillet 2021 à 15h19

Lors de l’enregistrement de ce nouvel épisode du Dessous des pelouses, nos rugbywomen ont eu la désagréable surprise de constater que les garçons mobilisaient leur terrain. Et rien à faire, ils ne bougeront pas leur ballon ovale.

Pour autant, les troisièmes mi-temps sont mixtes, filles et gars se retrouvent autour d’un verre. L’occasion d’en savoir plus sur ce que pensent les hommes des femmes qui plaquent les préjugés.

«  On ne laisse pas la place aux filles car elles sont plus faibles », ce sont des « cageots », « des bonhommes » ou… « de sacrées filles », « très soudées ».

Les garçons du club, eux aussi, ont parfois leurs clichés sur le rugby pratiqué par des femmes. Mais certains voient ça d’un très bon œil.

Entre curiosité, engouement et désintérêt, quel regard portent-ils sur celles qui partagent leurs terrains ?

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Elle a commencé par la gym, puis l’athlé, avant de mener carrière dans les disciplines de combat. Djihène Abdellilah, 43 ans, championne du monde de grappling en 2015, a toujours lutté pour réaliser son rêve d’athlète. Un parcours, parfois contrarié, souvent douloureux, qui lui a très tôt donné envie de se battre. Aujourd’hui, à la tête d’une académie de self-défense, elle s’est donné pour mission de libérer les femmes. Rencontre avec une fille qui tombe… à poing nommé !

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