Joueuse de rugby : qu’en pensent nos parents ?Le dessous des pelouses (Épisode 7)

Rugby joueuses
Avec leur joyeux podcast « Le dessous des pelouses », nos trois rugbywomen, Alexandra, Delphine et Marion, nous embarquent en équipe dans les coulisses d’un sport « peu recommandable » pour une fille, dit-on encore aujourd’hui. Vraiment ?

Publié le 06 mai 2020 à 16h36, mis à jour le 29 juillet 2021 à 15h33

Chez les filles, le rugby se commence souvent sur le tard. C’est rarement une activité pratiquée depuis l’enfance et de fait… choisie par les parents ! Ils en pensent quoi de ce sport auquel on consacre autant de temps ?

Parce que, les parents, c’est toujours une fierté de les avoir sur le terrain pour nous encourager, sympa de leur montrer ce sport auquel on consacre autant de temps.

Dans ce nouvel épisode du «  Dessous des pelouses », allons à la rencontre des familles de nos joueuses de rugby.

Une mère y confie  :

«  Au début, j’étais surprise que ma fille choisisse le rugby car je ne serais jamais allée vers ce type de sport. Mais après, j’étais fière, je me suis dit qu’elle avait raison de s’approprier des terrains masculins. Je trouve ça génial !

La seule réserve que j’émets, c’est qu’elle se fait mal. Elle s’est cassée le nez trois fois et je trouve ça dommage d’abîmer son beau visage de femme… Si c’était un garçon, je ne m’en ferais pas autant, c’est moins impactant. C’est la casse qui me fait peur. »

Sa fille lui répond  :

«  Moi, ça ne me préoccupe pas. C’est parce que je fais du rugby que je suis aujourd’hui moins dépendante de mon image. »

On les écoute ?

Vous aimerez aussi écouter…

Marie Martinod : « Quand j'ai découvert le ski freestyle, j'avais 8 ans, j'ai été subjuguée. »

Marie Martinod : « J’ai toujours été pote avec mon corps. »

Toujours la plus petite de sa classe, mais qu’à cela ne tienne, sa priorité est le half-pipe depuis un certain hiver 1992, quand les Jeux Olympiques ont fait escale dans sa vallée de la Tarentaise. La skieuse Marie Martinod a fait de sa taille une force dans un sport où il est préférable d’avoir un centre de gravité bas. Et c’est ce qu’elle nous raconte à l’occasion de notre partenariat avec le podcast 1m60max.

Écoutez »
Kids

La parité aux JO fera-t-elle bouger les jeunes filles ?

Cet été, à Paris, les premiers Jeux paritaires de l’histoire vont s’ouvrir. Mais le sport français fait-il pour autant la part belle aux jeunettes ? Le podcast le plus déjanté de la parentalité, Papas Poules, met le sujet sur la table dans ce nouvel opus dont ÀBLOCK! est partie prenante.

Écoutez »

Vous aimerez aussi…

Djihène Abdellilah : « Comme toutes les nanas qui s'assument, je suis perçue comme une grande gueule. »

Djihène Abdellilah : « Comme toutes les nanas qui s’assument, je suis perçue comme une grande gueule. »

Elle a commencé par la gym, puis l’athlé, avant de mener carrière dans les disciplines de combat. Djihène Abdellilah, 43 ans, championne du monde de grappling en 2015, a toujours lutté pour réaliser son rêve d’athlète. Un parcours, parfois contrarié, souvent douloureux, qui lui a très tôt donné envie de se battre. Aujourd’hui, à la tête d’une académie de self-défense, elle s’est donné pour mission de libérer les femmes. Rencontre avec une fille qui tombe… à poing nommé !

Lire plus »

Recherche

Soyez ÀBLOCK!

Abonnez-vous à la newsletter

Mentions de Cookies WordPress par Real Cookie Banner